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mercredi 30 septembre 2009

Après les déclarations du président du gouvernement andalou au Maroc le Polisario condamne.




Après les déclarations du président du gouvernement andalou au Maroc le Polisario condamne.

Une autre défaite pour le Polisario suite aux déclarations du Président du gouvernement autonome d'Andalousie, José Antonio Grignan, qui a qualifié lundi d' «intéressant» le projet marocain d'autonomie pour les provinces du Sud.

Dans une déclaration à la presse à l'issue de ses entretiens à Rabat avec le président de

la Chambre
des représentants, Mustapha Mansouri, le responsable espagnol a souligné que le projet marocain d'autonomie est une initiative «intéressante pour le règlement de la question du Sahara», ajoutant que les pays qui connaissent de près le problème du Sahara «doivent œuvrer ensemble au sein des Nations Unies pour trouver une solution appropriée à cette question, à travers le dialogue».

D'autre part, le président andalou a indiqué que cette rencontre qu'il a qualifiée de «satisfaisante « a été une occasion d'examiner les moyens à même de développer la coopération entre le Maroc et l'Andalousie dans les différents domaines, notamment le secteur culturel.

M. Grinan a fait observer que sa visite officielle dans le Royaume est la première à l'étranger en tant que chef de l'exécutif régional andalou, ajoutant que «le Maroc est un pays prioritaire dans notre action extérieure». Il a dans ce sens rendu hommage aux Marocains qui ont largement contribué au développement de la région sud de l'Espagne.

Lors de son séjour dans le Royaume, M. Grinan se réunira avec plusieurs responsables marocains, ainsi qu'avec des hommes d'affaires espagnols et marocains. Il prendra également part à des activités prévues dans le cadre de

la Semaine
d'Andalousie au Maroc.

grand sahara ; Al-Qaïda réapparaît



grand sahara ; Al-Qaïda réapparaît

Sept membres présumés d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ont été arrêtés par l'armée dans le désert mauritanien près des frontières malienne et algérienne, a affirmé lundi à l'AFP un haut responsable des services de sécurité mauritaniens.

«Les hommes étaient armés, ils sont au nombre de sept et circulaient à bord de véhicules dont un camion utilisé par les terroristes de l'Aqmi», a déclaré un haut responsable des services de sécurité, qui s'exprimait sous couvert de l'anonymat. Ils ont été arrêtés «la semaine dernière», a-t-il ajouté. Selon ce haut responsable, le groupe circulait dans le désert mauritanien, près de la localité de Lemgheity, qui avait été la cible en juin 2005 d'une attaque du GSPC algérien (groupe salafiste pour la prédication et le combat, devenu Aqmi en 2007) faisant 15 morts parmi les militaires mauritaniens. Les hommes armés ont été «encerclés et ont fini par se rendre à l'armée qui suivait leurs mouvements dans le cadre de sa surveillance de cette zone, véritable repère de terroristes et de trafiquants», a affirmé la même source.

«Nous sommes sûrs qu'ils appartiennent à l'Aqmi et nous continuons de les interroger», a-t-elle encore affirmé.
Mais dans le nord du Mali, des proches des personnes arrêtées ont affirmé qu'il s'agissait de «civils» et non de combattants islamistes. «Ce sont nos parents, des bérabiches (Arabes de Tombouctou). Ils ont été arrêtés en territoire malien, à l'ouest de Taoudénit. Ils allaient dépanner un camion qui est tombé en panne», a assuré à l'AFP, M. Dina Ould Daya, conseiller municipal dans la région de Tombouctou, notable et parent des personnes arrêtées.

«Ils ont été arrêtés vendredi dernier à 10H00 (heures locale et GMT). Parmi eux, il y a avait Elly Ould Natmo, le mécanicien-chef, quatre apprentis, un jeune de seize ans, et un sourd-muet», a poursuivi la même source.
«Ce sont nos parents. Je reconnais qu'ils avaient quelques armes, parce qu'ici dans le désert, quand on va loin, on prend une arme, parce qu'on ne sait jamais», a affirmé de son côté, Sidi Mohamed Oudl Amed, un autre parent des personnes arrêtées.

Selon la même source, le camion que le groupe allait dépanner, appartient à un richissime commerçant de la région de Tombouctou, Sidi Mohamed Ould Taleb.
Le désert du Sahara, difficilement contrôlable par les Etats, est une zone de repli pour les cellules jihadistes, notamment dans le nord du Mali et dans l'est de la Mauritanie.
Depuis deux ans, la Mauritanie est la cible d'attaques de la mouvance d'Aqmi.

Le Maroc déterminé à poursuivre sa coopération avec l’ONU


Le Maroc déterminé à poursuivre sa coopération avec l’ONU


Le Maroc déterminé à poursuivre sa coopération avec l’ONU
Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taïeb Fassi Fihri, a souligné, samedi 26 septembre, à New York, la détermination du Maroc à poursuivre sa coopération avec l’ONU en perspective d’une solution définitive à la question du Sahara.

Le Maroc est déterminé à poursuivre sa coopération étroite avec l’ONU en vue de parvenir à une solution définitive à la question du Sahara dans le cadre du respect total de la souveraineté nationale. C’est ce qu’a affirmé, samedi 26 septembre, à New York, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taïeb Fassi Fihri. Intervenant à l’occasion de la 64ème session de l’Assemblée générale de l’ONU, le chef de la diplomatie marocaine a souligné que la solution définitive à ce différend régional dans le cadre de l’intégrité territoriale du Maroc est à même de garantir à la région du Sahara l’autonomie, garante du développement, de la prospérité de sa population et de la gestion démocratique de ses affaires locales.
«Le Maroc a répondu avec sérieux, responsabilité et bonne foi aux appels du Conseil de sécurité pour la recherche d’une solution politique définitive et négociée au différend régional sur le Sahara marocain, et ce, à travers la soumission de son initiative courageuse d’autonomie», a précisé M. Fassi Fihri, ajoutant que cette initiative d’autonomie a été qualifiée de sérieuse et crédible par la communauté internationale en tant que base réaliste pour parvenir à une solution définitive de ce différend artificiel.
M. Fassi Fihri a affirmé que le Maroc s’est engagé dans cette nouvelle dynamique, initiée par la proposition marocaine, et avec l’appui du Conseil de sécurité, dans le processus de négociations, tenues, sous l’égide des Nations unies.
«Le Conseil de sécurité a appelé les parties, dans ses résolutions 1813 et 1871, à faire preuve de réalisme et d’esprit de compromis pour engager des négociations sérieuses et substantielles en vue de parvenir à une solution politique, définitive et négociée, en parfaite conformité avec le principe de l’autodétermination», a rappelé le chef de la diplomatie marocaine, expliquant que le principe de l’autodétermination ne saurait être l’apanage de quiconque, ni faire l’objet d’une interprétation sélective en vue de satisfaire des desseins inavoués.
Taïeb Fassi Fihri a, par ailleurs, réitéré la profonde conviction du Royaume de la nécessité d’activer le projet maghrébin et de surmonter les entraves à sa réalisation. Le ministre a rappelé dans ce sens que SM le Roi Mohammed VI a exprimé la volonté forte et inébranlable du Maroc de contribuer de bonne foi à l’édification de l’Union du Maghreb Arabe, la redynamisation de ses structures et le renforcement des relations entre ses cinq Etats membres, particulièrement avec l’Algérie, pays frère.
M. Fassi Fihri a mis l’accent dans ce cadre sur le rôle primordial que pourrait jouer ce groupement régional dans la réalisation de la stabilité et de la sécurité, dans les espaces africain, du Moyen-Orient et de la Méditerranée. «Notre conviction de la nécessité d’activer le projet maghrébin, tel qu’exprimée par la volonté et les aspirations de ses peuples, n’a d’égale que notre volonté de surmonter les divergences qui entravent la réalisation des aspirations des peuples maghrébins et le renforcement des relations fraternelles entre ses cinq pays membres», a conclu Taeïb Fassi Fihri.n

Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taib Fassi Fihri, a été reçu, lundi soir à New York, par le Secréta


Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taib Fassi Fihri, a été reçu, lundi soir à New York, par le Secréta


"Lors cette rencontre, le Secrétaire général de l'ONU a tenu à rendre hommage à SM le Roi Mohammed VI pour Son leadership et Sa grande vision pour la paix, particulièrement dans la région méditerranéenne", a affirmé, à la presse, M. Fassi Fihri à l'issue de ses entretiens avec le responsable onusien.

M. Ban Ki-moon a, en outre, mis en exergue "le rôle joué par SM le Roi Mohammed VI et Son engagement aux niveaux régional, international et au sein des Nations Unies, concernant aussi bien les questions du Moyen Orient, des changements climatiques que de la coopération et du développement en Afrique", a ajouté le ministre.

A cette occasion, a-t-il indiqué, "nous avons aussi abordé la question du Sahara marocain au sein des Nations Unies, relevant que grâce à l'initiative marocaine d'autonomie nous avons entamé un nouveau cycle de négociations ".

Il a, en outre, rappelé que "depuis la désignation du nouvel Envoyé personnel du Secrétaire général pour le Sahara, M. Christopher Ross, des pourparlers ont eu lieu en Autriche et une visite de ce dernier est attendue dans la région en vue de poursuivre les efforts dans le cadre de la mise en œuvre des résolutions du Conseil de sécurité".

A ce propos, le ministre a indiqué que " les résolutions du Conseil de sécurité sont claires, soulignent l'originalité de l'initiative marocaine et demandent à ce que toutes les parties entament ces négociations en faisant preuve d'un esprit de compromis et de réalisme".

"Le Maroc est prêt et attend de nouvelles rencontres et de nouvelles négociations", a-t-il dit, précisant que le Royaume "poursuit, naturellement, ses efforts de développement dans l'ensemble de son territoire" dans la perspective d'une solution politique à ce différend régional artificiel.

Fassi Fihri achève à New York une semaine d'intenses activités


Fassi Fihri achève à New York une semaine d'intenses activités


Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taib Fassi Fihri, a achevé, lundi soir à New York, une semaine marquée par une participation active du Royaume dans les principales réunions et rencontres à l'ordre du jour de la 64-ème session de l'Assemblée Générale de l'ONU, couronnée par un important discours prononcé à la tribune des Nations Unies.

Ce discours a été l'occasion pour M. Fassi Fihri de réaffirmer la détermination du Maroc à poursuivre son étroite coopération avec les Nations Unies en vue de parvenir à une solution définitive à la question du Sahara dans le cadre du respect total de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale du Royaume.

Cette position a été, par ailleurs, appuyée par les représentants de plusieurs pays aussi bien à l'occasion de leur intervention dans le débat général de l'AG que lors de rencontres bilatérales.

Au cours de cette semaine, le Royaume a démontré, de nouveau, une parfaite adéquation entre son action au plan national et aux niveaux régional et international, conformément aux Hautes orientations définies par SM le Roi Mohammed VI.

Qu'il s'agisse du Moyen Orient, du Changement climatique, du Désarmement ou de la réponse à apporter à la crise économique mondiale, principales thématiques développées au cours de cette session, le Maroc a prouvé la convergence entre les engagements nationaux clairs et les impératifs internationaux.

De fait, le Maroc s'est inscrit, sur Hautes Directives de SM le Roi Mohammed VI, de manière constructive, dans les efforts régionaux et internationaux visant la consolidation du régime de non-prolifération et du désarmement.

En effet, le Maroc, qui a ratifié en 2000 le traité d'interdiction complète des essais nucléaires (TICEN), un des piliers du régime international de désarmement et de non-prolifération, a co-présidé avec la France l'importante Conférence spéciale sur ce traité qui a coïncidé avec la réunion au sommet du Conseil de sécurité, présidée par les Etats-Unis, sur le désarmement et la non-prolifération nucléaire, illustrant, si besoin en était, l'engagement du Royaume pour la paix et la sécurité mondiales.

Quant à la question du changement climatique, la délégation marocaine n'a pas manqué de faire état des Très Hautes instructions Royales au gouvernement pour l'adoption d'une charte nationale globale pour l'Environnement. Celle-ci vise la sauvegarde des espaces, des réserves et des ressources naturelles ainsi que du patrimoine culturel dans le cadre du développement durable, en tant que bien commun de la Nation. Vision, selon laquelle, la stratégie nationale adoptée par le Maroc en matière énergétique sera mise en œuvre, à travers le développement des énergies renouvelables et la réutilisation des eaux usées.

La question du Moyen Orient a également été au centre des activités de la délégation marocaine, aussi bien, au niveau du débat général de l'AG, que des réunions ministérielles du groupe arabe que de l'ASPA (Amérique latine-Pays arabes), en passant par la cérémonie de l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine au Proche-Orient (UNRWA), le Comité de suivi de l'initiative arabe de paix, le G77 que de l'Organisation de la conférence islamique et du dialogue interreligieux.

Lors de ces rencontres, les membres de la délégation marocaine ont réitéré le soutien du Royaume à la reprise des négociations israélo-palestiniennes, dénonçant les agissements illégaux d'Israël, notamment à Al Qods asharif et dans les autres territoires occupés.

Cette semaine a aussi été marquée par de nombreuses rencontres avec de hautes personnalités d'organisations internationales, et à leur tête les Secrétaires généraux de l'ONU et de l'OTAN.

M. Fassi Fihri s'est, également, entretenu avec le Président de l'Assemblée générale de l'ONU, le Haut commissaire aux droits de l'Homme ainsi qu'avec le Haut représentant de l'UE, une occasion d'examiner les relations du Royaume avec ces organisations internationales.

Par ailleurs, les réunions bilatérales ont occupé une place de choix dans l'agenda du ministre. Avec ses homologues européens, arabes, africains et latino-américains, les discussions ont porté sur les dernières évolutions de la question du Sahara marocain ainsi que des relations du Maroc avec ces pays.

Lors de ces rencontres, plusieurs partenaires africains notamment d'Afrique sub-saharienne ont salué la pertinence de l'action initiée par SM le Roi, dans le cadre de la coopération Sud-Sud, pour favoriser le développement humain durable dans les pays africains.

La construction de l'UMA exige d'aplanir les obstacles objectifs qui entravent sa marche ( Fassi Fihri)


La construction de l'UMA exige d'aplanir les obstacles objectifs qui entravent sa marche ( Fassi Fihri)


La construction de l'Union du Maghreb arabe (UMA) exige d'aplanir les obstacles objectifs qui entravent sa marche depuis des décennies et qui tiennent principalement à des questions politiques, a affirmé M. Taib Fassi Fihri, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération.

Le ministre, qui était l'invité mardi de la chaîne qatarie " Al Jazeera ", dans le cadre de son journal de la mi-journée, a affirmé que "la construction du Maghreb arabe figure parmi les priorités du Royaume du Maroc ", mais que pour réaliser cet objectif "nous devons aplanir les obstacles objectifs existant depuis des décennies ".

M. Fassi Fihri, qui était interrogé par le journaliste Abderrahim Fokarae depuis New York, a souligné que "ces obstacles sont liés à certaines questions politiques" , en particulier "le problème essentiel qui est la question du Sahara marocain". Le Maroc, a-t-il indiqué, a présenté à cet égard une proposition consistant à octroyer l'autonomie aux provinces du Sud dans le respect de la souveraineté et de l'unité territoriale du Maroc, ajoutant que " cette proposition jouit de crédibilité", de l'avis même du Conseil de sécurité de l'Onu qui l'a qualifié de "sérieuse". Il s'agit, a-t-il insisté, d'"un différend régional plus particulièrement avec les voisins algériens qui ont, cependant, une tout autre vision et assument une responsabilité dans la création de ce différend régional".

"Le Maroc, a-t-il poursuivi, développe une vision d'avenir et focalise son intérêt sur les attentes et les défis présents dans la région, notamment ceux à caractère sécuritaire" , a affirmé le ministre.

" La mise en valeur judicieuse des potentialités économiques de la région du Maghreb arabe, a-t-il plaidé, est propre à faire accéder nos peuples à la prospérité et au développement", faisant valoir que les partenaires de cette région "ont aussi besoin aujourd'hui d'une Union Maghrébine intégrée et apte à jouer son rôle dans son environnement africain, ainsi que vis-à-vis des frères arabes au Moyen Orient et au sein de 'Union Pour la Méditerranée (UPM)". M. Fassi Fihi a dans cette même optique réitéré l'appel du Maroc pour " une normalisation des relations avec les frères algériens" et au dialogue " afin de parvenir à l'ouverture des frontières " qui, a-t-il regretté, "restent fermées par décision des frères algériens ".

" Ce dialogue, a t-il soutenu, ne pourra être que fructueux " , ajoutant que " tout un chacun, que ce soit dans la région du Maghreb arabe ou ailleurs, est d'accord qu'il est temps d'engager un dialogue et une coopération entre le Maroc et l'Algérie" , tout en réaffirmant la disponibilité du Royaume pour un tel dialogue et une telle coopération".

Association le Sahara Marocain



Association le Sahara Marocain

Mardi 29 septembre 2009


COMMUNIQUE

Suite à l’appel du Maroc lancé hier au Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) pour réinstaller, conformément à son mandat, les séquestrés des camps de Tindouf dans des pays tiers, l’ASM qualifie cette initiative de sage et démontre une énième fois les bonnes intentions du Maroc en vue de trouver une solution définitive au conflit du sahara et mettre fin au calvaire que vivent au quotidien nos frères dans les camps de la honte en Algérie.

Le HCR en saisissant l’appel du Maroc qui est un début de solution effectif à ce conflit et le mettant en œuvre, l’Algérie qui fait de l’affaire du sahara un ‘’fond de commerce’’ pour s’acharner contre le Maroc sera dessaisit ce dossier et de ce fait il n’y’aura aucun contentieux majeur qui entravera le retour à la normalité des relations entre les deux pays et la stabilité du Maghreb arabe ainsi que la coopération sur tout les plans entre les pays membres sera un acquis définitif.

Concernant les séquestrés des camps de Tindouf, si le HCR prend les mesures nécessaires pour mettre en œuvre l’appel du Maroc et d'informer les populations des camps sur leur droit de pouvoir quitter ces camps et choisir librement de se réinstaller dans des pays tiers, la majorité écrasante de la population choisira de rejoindre la mère patrie et leurs familles dont ils ont été séparés durant plus de trois décennies.

L’ASM demande aux instances internationales de saisir la solution proposée par le Maroc et réclame la mobilisation générale de l’ensemble de la société civile marocaine en vue que cette initiative soit concrétisée par le HCR avec le soutien de la communauté internationale.

mardi 29 septembre 2009

Le Polisario tente de s’inviter à la 64ème assemblée Général de l’ONU


Le Polisario tente de s’inviter à la 64ème assemblée Général de l’ONU

De source proche du ministère des affaires étrangères algérien, des membres de la direction du Front Polisario ont tenté de se joindre à la délégation algérienne qui accompagnait le Président Bouteflika lors de la 64ème session de l’assemblée générale de l’ONU. Un seul petit problème semblait avoir été omis par les « invités spéciaux » du régime algérien : le service de sécurité de l’ONU n’accorde l’entrée du bâtiment qu’aux personnes dument accréditées et mandatées par leur gouvernement. Il y eut donc un moment de flottement qui dura plusieurs minutes à la porte des Nations %Unies, durant lequel le Président Bouteflika s’est emporté, avant de se rendre compte que plusieurs journalistes et caméras étrangères étaient présents. Grosse colère également des deux membres de la direction du Front Polisario, qui doivent néanmoins accompagner le Président algérien lors du 2 ème sommet Afrique-Amérique du sud qui doit se tenir au Venezuela aujourd’hui. Ce n’est pas la première fois que Bouteflika tente de faire passer des dirigeants du Polisario pour membres de sa délégation, et sa dernière tentative, lors des célébrations des 40 ans de pouvoir de Mouammar Kadhafi, a été à l’origine d’une tension diplomatique entre la Libye et le Maroc.

En réalité, se faire accompagner par des membres de la Guérilla n’est Rion de moins pour le Président Algérien qu’une illustration d’une réalité historique pour le Front Polisario : sans l’Algérie, aucun cénacle n’accepterait de les recevoir…

polisario confidentiel

Le projet d'autonomie, une initiative «intéressante»


Le projet d'autonomie, une initiative «intéressante»

Le Président du gouvernement autonome d'Andalousie, José Antonio Grignan, a qualifié lundi d' «intéressant» le projet marocain d'autonomie pour les provinces du Sud.

Dans une déclaration à la presse à l'issue de ses entretiens à Rabat avec le président de la Chambre des représentants, Mustapha Mansouri, le responsable espagnol a souligné que le projet marocain d'autonomie est une initiative «intéressante pour le règlement de la question du Sahara», ajoutant que les pays qui connaissent de près le problème du Sahara «doivent œuvrer ensemble au sein des Nations Unies pour trouver une solution appropriée à cette question, à travers le dialogue».

D'autre part, le président andalou a indiqué que cette rencontre qu'il a qualifiée de «satisfaisante « a été une occasion d'examiner les moyens à même de développer la coopération entre le Maroc et l'Andalousie dans les différents domaines, notamment le secteur culturel.

M. Grinan a fait observer que sa visite officielle dans le Royaume est la première à l'étranger en tant que chef de l'exécutif régional andalou, ajoutant que «le Maroc est un pays prioritaire dans notre action extérieure». Il a dans ce sens rendu hommage aux Marocains qui ont largement contribué au développement de la région sud de l'Espagne.

Lors de son séjour dans le Royaume, M. Grinan se réunira avec plusieurs responsables marocains, ainsi qu'avec des hommes d'affaires espagnols et marocains. Il prendra également part à des activités prévues dans le cadre de la Semaine d'Andalousie au Maroc.

Appel à réinstaller les séquestrés de Tindouf


Appel à réinstaller les séquestrés de Tindouf

Le Maroc a appelé, lundi, le Haut commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR) à réinstaller, conformément à son mandat, les séquestrés des camps de Tindouf dans des pays tiers.

Face au blocage humanitaire actuel, le Maroc voudrait demander au HCR de prendre les mesures nécessaires pour mettre en œuvre cette solution et d'informer les populations des camps sur leur droit de pouvoir quitter ces camps et choisir librement de se réinstaller dans des pays tiers, a affirmé l'ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l'Office des Nations unies à Genève, Omar Hilale, qui intervenait devant la 60e session du Comité exécutif du HCR.

M. Hilale a ajouté que la décision du Maroc est motivée par plusieurs raisons, expliquant notamment que le Royaume rejette avec force les motivations politiques de l'Algérie pour son opposition au retour librement consenti de ces populations marocaines à leur mère-patrie, comme il n'acceptera jamais qu'elle les prive de leur droit légitime à la réinstallation.

Cette décision est aussi motivée par le fait que le cas des camps de Tindouf fait partie des «situations de réfugiés prolongées» et en tant que tel, ils sont directement concernés par la mise en œuvre des solutions durables préconisées par le HCR, conformément à son mandat, a poursuivi le diplomate marocain, ajoutant que les populations des camps vivent dans des conditions dramatiques insupportables.

L'Algérie a abdiqué sa responsabilité internationale dans les camps en faveur du polisario et œuvré à leur militarisation, en violation du droit international humanitaire et le polisario vient de créer dans ces camps des tribunaux pour y juger ceux qui osent s'opposer à son autoritarisme stalinien de parti unique, ou tentent de fuir les camps, a encore dénoncé l'ambassadeur marocain, qui a évoqué la poursuite des violations des droits de l'homme des populations des camps au vu et au su et avec la complicité du pays hôte, l'Algérie.

Il a réaffirmé, à cet égard, l'impossibilité pour le Maroc de se résigner à la perpétuation de la séquestration de ses citoyens dans les camps de Tindouf pour servir l'agenda caché de l'Algérie.

S'agissant du timing de la requête marocaine au HCR, M. Hilale a précisé qu'il a été dicté par plusieurs considérations, à savoir que le blocage, depuis 35 ans, par l'Algérie du mandat du HCR à l'égard des camps de Tindouf est intolérable moralement, inacceptable politiquement et illégal juridiquement.

Le HCR ne devrait plus se limiter, dans les camps de Tindouf, à son seul mandat d'assistance alimentaire, mais devrait l'élargir, comme l'y obligent ses statuts, à la protection en général et la mise en œuvre des solutions durables en particulier, car les populations ont désormais plus besoin de liberté et de dignité humaine que de farine et de lait en poudre, a-t-il encore expliqué.

Selon le diplomate marocain, ce timing se justifie en outre par l'inquiétante confirmation par l'Algérie, lors du récent périple du Haut commissaire dans la région, de son veto au recensement des populations des camps, et partant de leur droit au rapatriement volontaire, ce qui est, a-t-il dénoncé, synonyme de leur condamnation à une peine collective d'exil à perpétuité.

Il a aussi mis en avant la profonde conviction du Maroc, confortée par la conclusion du rapport du Haut commissaire à cette session, que l'assistance humanitaire, tout comme l'autosuffisance, ne constituent nullement des solutions durables au problème des réfugiés de longue durée, la préoccupation du Royaume face à l'impact traumatique et aux conséquences négatives de la prolongation de l'exil sur ces populations, particulièrement les plus vulnérables parmi elles, les enfants et les femmes, ainsi que la crainte que le sentiment de désespoir qui taraude les populations des camps, ne soit exploité par les réseaux terroristes qui sévissent dans la région sahélo-saharienne.

Pour toutes ces raisons, a affirmé M. Hilale, le Maroc ne peut rester les bras croisés face à ce drame et laisser ses citoyens séquestrés à Tindouf grandir et mourir dans les camps et ne saurait se résigner, non plus, à ce qu'ils n'aient que l'amer choix entre accepter d'endurer l'exil dans ces camps ou risquer leur vie en s'en évadant. La démarche marocaine, a-t-il dit, ambitionne uniquement de leur donner le droit de s'affranchir des affres de l'exil, en optant de vivre dans la liberté et la dignité et leur offrir l'espoir d'une vie meilleure sous d'autres cieux.

Il a fait observer que la demande du Maroc de mettre en œuvre la solution de réinstallation n'aura aucun impact sur le processus de règlement politique définitif, qui relève exclusivement du Conseil de sécurité, ajoutant que les futurs bénéficiaires de toute réinstallation garderont leur droit légitime, plein et entier, de pouvoir participer, le moment venu, à toute consultation sur la solution politique et définitive qui émergerait des négociations actuelles sous les auspices du Conseil de sécurité, sur la base de l'initiative marocaine pour la négociation d'un statut d'autonomie pour la région du Sahara, dans le cadre de la souveraineté et l'intégrité territoriale du Royaume du Maroc.

M. Hilale a, dans la perspective de la mise en œuvre de cette solution, appelé le HCR à tout mettre en œuvre afin d'informer les populations des camps de Tindouf sur leur droit légitime de choisir librement de s'installer dans un pays tiers.

Il a, aussi, sollicité du HCR de sonder les pays susceptibles d'offrir des places de réinstallation aux personnes des camps qui désireraient les quitter et l'a invité à sensibiliser les agences onusiennes afin qu'elles puissent apporter leur contribution à la réalisation de cette opération éminemment humanitaire.

Quand le Sahara se jette à l'eau

Quand le Sahara se jette à l'eau

La première édition de Dakhla Kiteboard World Pro Tour a démarré, samedi soir, sous le signe "Sables de désert et vagues de l'océan". Le lancement de cette manifestation sportive, qui va se poursuivre jusqu'au 3 octobre, a eu lieu dans une ambiance festive riche en couleurs, en présence du wali de la région d'Oued-Eddahab-Lagouira, gouverneur de la province d'Oued-Eddahab, Hamid Chabar, de la gouverneure-coordinatrice nationale de l'Initiative nationale pour le développement humain, Nadira El Guermai, des élus, responsables et des acteurs locaux et des personnalités civiles et militaires, ainsi que des participants et une foule nombreuse venue assister à la première soirée artistique de cet évènement. La cérémonie de démarrage de cette première édition, qui réunit près de 50 meilleurs kitesurfeurs du monde représentant 46 pays, a été marquée par une série d'allocutions mettant en valeur l'importance de la tenue de cette compétition nautique dans le développement touristique de la région d'Oued-Eddahab-Lagouira et la promotion de la pratique des sports de glisse. Cette cérémonie d'ouverture, qui a été l'occasion pour le public de Dakhla de découvrir les champions participant à Dakhla Kiteboard World Pro Tour, s'est poursuivie par un spectacle de musique animé, entre autres, par la troupe Crescen Doom (percussion sur tonneaux), le chanteur de rai Said Mosker, et le groupe Mazagan (Chaâbi-groove), qui ont enchanté, jusqu'à une heure tardive dans la nuit, les spectateurs de très belles chansons. Durant les six jours de cette compétition, initiée par le Kiteboard World Pro Tour, en partenariat avec la wilaya d'Oued Eddahab-Lagouira et l'Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du Sud du Royaume, les kitesurfeurs s'affrontent, et ce depuis dimanche matin, dans plusieurs épreuves, telles que le Free Style, les Vagues, le Speed-crossing et le Hang-time. Un village d'animation sera mis en place à cette occasion pour permettre au public de découvrir de près cette discipline sportive. Dakhla aux atouts multiples S'exprimant lors de la cérémonie d'ouverture de ce événement, Hamid Chabar a mis l'accent sur le dynamisme culturel, artistique et économique que connaît la région d'Oued-Eddahab-Lagouira et sur les potentialités dont elle regorge, soulignant que la tenue de «telle manifestation à Dakhla permet de valoriser ses atouts et de faire connaître le patrimoine culturel et les traditions locaux». Kiteboard World Pro Après Dakhla, le Kiteboard World Pro Tour fera escale au Brésil, à Cumbuco où se déroulera la 9è étape du 2 au 8 novembre prochain, avant de revenir au Maroc, à Essaouira plus précisément qui abritera la 10è et dernière étape, du 21 au 29 novembre. Les sept premières étapes ont eu lieu à Sylt, Tarifa, Cabarete (Rep.Dominicaine), Santa Cruz (Portugal), Dunkerque (France) et Shippagan (Canada). Les créateurs du kite Flysurf, kitesurf, kiteboard, cerf-volant de traction… diverses appellations pour la même passion. Ce sport d'eau a été inventé au milieu des années 80 par trois hommes, deux Bretons, les frères Legaignoux, et Manu Bertin, un Français qui habitait alors à Hawaï. Grâce à un grand cerf-volant de 5 à 20 m², le kitesurfeur se déplace librement sur l'eau à l'aide d'une planche. Perle du désert Appelée le "joyau du désert" ou encore "la perle du Sud", la péninsule de Dakhla s'est forgée au cours des dernières années une notoriété mondiale de "paradis des sports de glisse" et a vu se défiler sur ses vagues à maintes reprises des champions du monde de windsurf, kitesurf et de la planche à voile. La péninsule de Dakhla compte une dizaine de sites adaptés aux pratiques de glisse en mer.

Le Maroc confirme de nouveau sa position à New York


Le Maroc confirme de nouveau sa position à New York

La résolution des conflits s'avère être un processus graduel qui suppose l'acceptation et la prise en compte de la variable temps dans la mise en œuvre de ladite démarche. Aussi, l'on conçoit aisément que l'on ne peut passer du jour au lendemain d'un état paléogène à une situation de paix. Plusieurs étapes doivent être franchies dont les fondements ont pour origine des situations historiques bien déterminées et particulières.

Les conditions, ayant prédisposé à la création d'un différend bilatéral, une fois comprises et admises par la communauté internationale, reflèteront la fin d'une hostilité longtemps entretenue par tiers Etat.Dans le cas du Sahara marocain, l'efficacité du processus de résolution est tributaire de la dynamique de négociation. C'est un fait. En la question, le Royaume du Maroc a, récemment, confirmé de nouveau sa position à New York.

« Le Maroc est déterminé à poursuivre son étroite coopération avec le Secrétaire général des Nations unies et son Envoyé personnel, en vue de parvenir à une solution définitive à ce différend régional, dans le cadre du respect total de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale du Royaume, à même de garantir à la région du Sahara l'autonomie, garante du développement, de la prospérité de sa population et de la gestion démocratique de ses affaires locales", a souligné Taib Fassi Fihri, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, à l'occasion du débat général de la 64ème session de l'Assemblée générale de l'ONU. Néanmoins, une question fondamentale demeure. Est-ce que la création d'une dynamique de négociation suffira à résoudre le différend ? Difficile de répondre à cela sachant que l'hostilité du régime algérien saborde l'exploitation des intérêts des parties réelles tandis que la distance relationnelle sape les discussions de fond.

« Le Maroc a répondu avec sérieux, responsabilité et bonne foi aux appels du Conseil de sécurité pour la recherche d'une solution politique définitive et négociée au différend régional sur le Sahara marocain, et ce, à travers la soumission de son initiative courageuse d'Autonomie qualifiée de sérieuse et crédible par la Communauté internationale, en tant que base réaliste pour parvenir à une solution définitive de ce différend artificiel » a rappelé le ministre de la diplomatie marocaine à New York. « Avec la même détermination, le Maroc s'est engagé dans cette nouvelle dynamique, initiée par la proposition marocaine, et avec l'appui du Conseil de sécurité, dans le processus de négociations, tenu, sous l'égide des Nations unies », a-t-il indiqué. Autrement dit, la position marocaine dévoile une stratégie visant à restaurer une dynamique de négociation positive et à faciliter le processus de médiation. Mais il n'en demeure pas moins que le rôle de Christopher Ross, représentant spécial du secrétaire général de l'ONU, consisterait à guider et non imposer, les parties tout le long de l'établissement d'une dynamique de négociation appropriée à l'approche axée sur la résolution du conflit artificiel. La proposition marocaine étant sur la table, la recherche d'une solution sera d'autant plus aisée lorsqu'une telle dynamique aura été bien établie. Le rapport de la visite d'Antonio Guterres, Haut Commissaire de l'Agence des Nations unies pour les réfugiés, dans la région.

En raison de son contenu et de sa nature humanitaire et de la connaissance dudit rapport, des pays- membres présents à la 4ème Commission seraient appelés à trouver de nouvelles alternatives pour clarifier leurs positions pro-algériennes alors que pour les gouvernements avisés, la conception dominante aujourd'hui est que les négociateurs doivent discuter de la proposition marocaine.

Elle répond aux normes et standards internationaux. Ajoutons à cela que les preuves de la marocanité du Sahara sont aussi multiples que diverses. Elles sont rapportées par l'Histoire, la géographie, l'anthropologie et la volonté des populations. Il y a tout un faisceau d'arguments qui établit que les provinces sahariennes sont, depuis que le Maroc existe en tant qu'Etat-nation, des provinces éminemment marocaines et qu'elles n'ont jamais cessé de l'être.
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Arguments juridiques

Les arguments juridiques qui attestent de la marocanité du Sahara sont nombreux. Les données politiques qui confirment la volonté des Sahraouis de s'insérer dans les institutions politiques et professionnelles et de prendre une part active au développement économique, social et culturel de leur région sont multiples.
Les mutations qui s'opèrent dans le monde et particulièrement en Afrique où l'on assiste à une prise de conscience des pays africains, qui, abusés, avaient reconnus la fantomatique rasd, une «république» créée dans (mais aussi par) une autre République, le retrait en cascade de ces reconnaissances, soulignent combien le dossier marocain repose sur des vérités pertinentes, des preuves irréfutables et sur la volonté, constamment et librement exprimée des populations. Dans le même ordre d'idées, les Nations unies devraient tirer les conséquences des résultats des différentes élections qui sont un authentique référendum et déclarer, dans les prochaines réunions du Conseil de sécurité, clos le dossier du Sahara.

Par Latifa Cherkaou

lundi 28 septembre 2009

Dakhla Kiteboard


Dakhla Kiteboard


La première édition de Dakhla Kiteboard World Pro Tour a démarré, samedi soir, sous le signe "sables de désert et vagues de l'océan".

Le lancement de cette manifestation sportive, qui va se poursuivre jusqu'au 3 octobre, a eu lieu dans une ambiance festive riche en couleurs, en présence du wali de la région de Oued-Eddahab-Lagouira, gouverneur de la province de Oued-Eddahab, M. Hamid Chabar, Mme gouverneur coordinatrice nationale de l'Initiative nationale pour le développement humain, Mme Nadira El Guermai, des élus, responsables et des acteurs locaux et des personnalités civiles et militaires, ainsi que des participants et une foule nombreuse venue assister à la première soirée artistique de cet évènement.

La cérémonie de démarrage de cette première édition qui réunit près de 50 meilleurs kitesurfeurs au monde représentants 46 pays, a été marquée par une série d'allocutions mettant en valeur l'importance de la tenue de cette compétition nautique dans le développement touristique de la région de Oued-Eddahab-Lagouira et la promotion de la pratique des sports de glisse.

S'exprimant à cette occasion, M. Chabar a mis l'accent sur le dynamisme culturel, artistique et économique que connaît la région de Oued-Eddahab-Lagouira et les potentialités qu'elle regorge, soulignant que la tenue de " telles manifestations à Dakhla permet de valoriser ces atouts et de faire connaître le patrimoine culturel et les traditions locaux".

Après avoir rendu hommage aux efforts déployés par les différents intervenants et acteurs pour l'organisation à Dakhla de cette 8è étape du Kiteboard World Pro Tour, il s'est félicité du riche programme établi par le comité d'organisation pour réussir cette manifestation qui permettra de promouvoir davantage les atouts de la région à l'échelle nationale et internationale.

De son côté, le vice-président du conseil municipal de Dakhla, M. Hamma Dlimi, s'est réjoui du choix de la ville de Dakhla pour abriter cette étape du championnat du monde de Kitesurf, relevant que " l'organisation de cette manifestation constitue une fierté pour le sport national en général et un acquis important pour la région en particulier ". Pour sa part, M. Driss Senoussi, du comité d'organisation, a exprimé " sa conviction que cette manifestation contribuera à coup sûr au développement économique et social de la ville de Dakhla et à la promotion de ses sites touristiques".

Cette cérémonie d'ouverture, qui a été l'occasion pour le public de Dakhla de découvrir les champions participants à Dakhla Kiteboard World Pro Tour, s'est poursuivie par un spectacle de musique animé, entre autres, la troupe Crescen Doom (percussion sur tonneaux), le chanteur de Rai Said Mosker, et le groupe Mazagane (Chaabi Groove), qui ont enchanté, jusqu'à une heure tardive dans la nuit les spectateurs de très belles chansons.

Durant les six jours de cette compétition, initiée par le Kiteboard World Pro Tour en partenariat avec la wilaya d'Oued Eddahab-Lagouira et l'Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du sud du Royaume, les kitesurfeurs vont s'affronter à partir de dimanche matin dans plusieurs épreuves, telles que le Free Style, les Vagues, le Speed-crossing et le Hang-time.

Un village d'animation sera mis en place à cette occasion pour permettre au public de découvrir de près cette discipline sportive.

Dans le cadre de cet évènement international, une exposition artisanale sera organisée sur la corniche de la ville de Dakhla, ainsi que des ateliers d'initiation au kitesurf aux profit des enfants, outre une parade qui fera le tour de la ville de Dakhla.

Après Dakhla, le Kiteboard World Pro Tour fera escale au Brésil, à Cumbuco où se déroulera la 9è étape du 2 au 8 novembre prochain, avant de revenir au Maroc, à Essaouira plus précisément qui abritera la 10è et dernière étape, du 21 au 29 novembre.

Les sept premières étapes ont eu lieu respectivement à Sylt (Allemagne), Tarifa (Espagne), Cabarete (Rep.Dominicaine), Santa Cruz (Portugal), Dunkerque (France) et Shippagan (Canada).

Appelée souvent le "joyau du désert" ou encore "la perle du Sud", la péninsule de Dakhla s'est forgée au cours des dernières années une notoriété mondiale de "paradis des sports de glisse" et a vu se défiler sur ses vagues à maintes reprises des champions de monde de windsurf, kitesurf et de planche à voile.

De part son statut géographique de péninsule s'enfonçant sur presque 40 km dans l'atlantique et les conditions de vents quasiment constants qui s'abattent sur ses côtes, la péninsule de Dakhla compte une dizaine de sites adaptés aux différentes pratiques de glisse en mer, débutants et confirmés, en quête d'endroits propices pour pratiquer à longueur de l'année la glisse en mer.

Le Maroc déterminé à poursuivre sa coopération avec l'ONU en vue de parvenir à une solution définitive


Le Maroc déterminé à poursuivre sa coopération avec l'ONU en vue de parvenir à une solution définitive


Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taib Fassi Fihri, a réaffirmé, samedi à New York, la détermination du Maroc à poursuivre son étroite coopération avec les Nations unies en vue de parvenir à une solution définitive à la question du Sahara dans le cadre du respect total de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale du Royaume.

«Le Maroc est déterminé à poursuivre son étroite coopération avec le Secrétaire général des Nations unies et son Envoyé personnel, en vue de parvenir à une solution définitive à ce différend régional, dans le cadre du respect total de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale du Royaume, à même de garantir à la région du Sahara l'autonomie, garante du développement, de la prospérité de sa population et de la gestion démocratique de ses affaires locales», a souligné le ministre à l'occasion du débat général de la 64ème session de l'Assemblée générale de l'ONU.

M. Fassi Fihri, qui a réitéré la profonde conviction du Royaume de la nécessité d'activer le projet maghrébin et de surmonter les entraves à sa réalisation, a ajouté que c'est sur cette base, que «le Maroc a répondu avec sérieux, responsabilité et bonne foi aux appels du Conseil de sécurité pour la recherche d'une solution politique définitive et négociée au différend régional sur le Sahara marocain, et ce, à travers la soumission de son initiative courageuse d'Autonomie qualifiée de sérieuse et crédible par la Communauté internationale, en tant que base réaliste pour parvenir à une solution définitive de ce différend artificiel».
«Avec la même détermination, le Maroc s'est engagé dans cette nouvelle dynamique, initiée par la proposition marocaine, et avec l'appui du Conseil de sécurité, dans le processus de négociations, tenu, sous l'égide des Nations unies», a-t-il indiqué.

Et de rappeler que «le Conseil de sécurité a appelé les parties, dans ses résolutions 1813 et 1871, à faire preuve de réalisme et d'esprit de compromis pour engager des négociations sérieuses et substantielles en vue de parvenir à une solution politique, définitive et négociée, en parfaite conformité avec le principe de l'autodétermination, principe qui ne saurait être l'apanage de quiconque, ni faire l'objet d'une interprétation sélective en vue de satisfaire des desseins inavoués».
Le ministre a, par ailleurs, rappelé que Sa Majesté le Roi Mohammed VI a «exprimé la volonté forte et inébranlable du Maroc de contribuer de bonne foi à l'édification de l'Union du Maghreb Arabe, la redynamisation de ses structures et le renforcement des relations entre ses cinq Etats membres, particulièrement, avec l'Algérie, pays frère, et ce compte tenu du rôle primordial que pourrait jouer ce groupement régional dans la réalisation de la stabilité et de la sécurité, dans les espaces africain, du Moyen-Orient et de la Méditerranée».

«Notre conviction de la nécessité d'activer le projet maghrébin, tel qu'exprimée par la volonté et les aspirations de ses peuples, n'a d'égale que notre volonté de surmonter les divergences qui entravent la réalisation des aspirations des peuples maghrébins et le renforcement des relations fraternelles entre ses cinq pays membres», a-t-il conclu.
Le Maroc pour le renforcement des relations de bon voisinage

Le Maroc ne cesse d'œuvrer pour le renforcement des relations de bon voisinage dans son environnement maghrébin et africain, a affirmé, samedi à New York, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taib Fassi-Fihri, devant l'Assemblée générale de l'ONU.
De même, a ajouté M. Fassi Fihri, «le Royaume appuie le processus de l'Union pour la Méditerranée en tant que cadre prometteur pour le renforcement du dialogue et de la coopération entre les deux rives de la Méditerranée».

Il a également indiqué que «le Maroc, conscient de l'importance de la zone atlantique et des opportunités de coopération qu'elle offre, a pris l'initiative d'abriter, le 4 août 2009, une +Réunion ministérielle des pays africains riverains de l'Atlantique+ en tant que levier de coopération plus large avec les autres pays riverains de cet espace géostratégique important».

Le Royaume, a-t-il poursuivi, s'est inscrit, de tout temps, dans les initiatives internationales et régionales visant la consécration des valeurs de dialogue, de tolérance et d'ouverture, particulièrement, en ce qui concerne le dialogue indispensable entre l'Islam et l'Occident, y compris en matière de renforcement des droits de l'Homme, tels qu'ils sont universellement reconnus».
Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taib Fassi Fihri, a réaffirmé, samedi à New York, la détermination du Maroc à poursuivre son étroite coopération avec les Nations unies en vue de parvenir à une solution définitive à la question du Sahara dans le cadre du respect total de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale du Royaume.

«Le Maroc est déterminé à poursuivre son étroite coopération avec le Secrétaire général des Nations unies et son Envoyé personnel, en vue de parvenir à une solution définitive à ce différend régional, dans le cadre du respect total de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale du Royaume, à même de garantir à la région du Sahara l'autonomie, garante du développement, de la prospérité de sa population et de la gestion démocratique de ses affaires locales», a souligné le ministre à l'occasion du débat général de la 64ème session de l'Assemblée générale de l'ONU.

M. Fassi Fihri, qui a réitéré la profonde conviction du Royaume de la nécessité d'activer le projet maghrébin et de surmonter les entraves à sa réalisation, a ajouté que c'est sur cette base, que «le Maroc a répondu avec sérieux, responsabilité et bonne foi aux appels du Conseil de sécurité pour la recherche d'une solution politique définitive et négociée au différend régional sur le Sahara marocain, et ce, à travers la soumission de son initiative courageuse d'Autonomie qualifiée de sérieuse et crédible par la Communauté internationale, en tant que base réaliste pour parvenir à une solution définitive de ce différend artificiel».
«Avec la même détermination, le Maroc s'est engagé dans cette nouvelle dynamique, initiée par la proposition marocaine, et avec l'appui du Conseil de sécurité, dans le processus de négociations, tenu, sous l'égide des Nations unies», a-t-il indiqué.

Et de rappeler que «le Conseil de sécurité a appelé les parties, dans ses résolutions 1813 et 1871, à faire preuve de réalisme et d'esprit de compromis pour engager des négociations sérieuses et substantielles en vue de parvenir à une solution politique, définitive et négociée, en parfaite conformité avec le principe de l'autodétermination, principe qui ne saurait être l'apanage de quiconque, ni faire l'objet d'une interprétation sélective en vue de satisfaire des desseins inavoués».
Le ministre a, par ailleurs, rappelé que Sa Majesté le Roi Mohammed VI a «exprimé la volonté forte et inébranlable du Maroc de contribuer de bonne foi à l'édification de l'Union du Maghreb Arabe, la redynamisation de ses structures et le renforcement des relations entre ses cinq Etats membres, particulièrement, avec l'Algérie, pays frère, et ce compte tenu du rôle primordial que pourrait jouer ce groupement régional dans la réalisation de la stabilité et de la sécurité, dans les espaces africain, du Moyen-Orient et de la Méditerranée».

«Notre conviction de la nécessité d'activer le projet maghrébin, tel qu'exprimée par la volonté et les aspirations de ses peuples, n'a d'égale que notre volonté de surmonter les divergences qui entravent la réalisation des aspirations des peuples maghrébins et le renforcement des relations fraternelles entre ses cinq pays membres», a-t-il conclu.
Le Maroc pour le renforcement des relations de bon voisinage

Le Maroc ne cesse d'œuvrer pour le renforcement des relations de bon voisinage dans son environnement maghrébin et africain, a affirmé, samedi à New York, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taib Fassi-Fihri, devant l'Assemblée générale de l'ONU.
De même, a ajouté M. Fassi Fihri, «le Royaume appuie le processus de l'Union pour la Méditerranée en tant que cadre prometteur pour le renforcement du dialogue et de la coopération entre les deux rives de la Méditerranée».

Il a également indiqué que «le Maroc, conscient de l'importance de la zone atlantique et des opportunités de coopération qu'elle offre, a pris l'initiative d'abriter, le 4 août 2009, une +Réunion ministérielle des pays africains riverains de l'Atlantique+ en tant que levier de coopération plus large avec les autres pays riverains de cet espace géostratégique important».

Le Royaume, a-t-il poursuivi, s'est inscrit, de tout temps, dans les initiatives internationales et régionales visant la consécration des valeurs de dialogue, de tolérance et d'ouverture, particulièrement, en ce qui concerne le dialogue indispensable entre l'Islam et l'Occident, y compris en matière de renforcement des droits de l'Homme, tels qu'ils sont universellement reconnus».

vendredi 25 septembre 2009

Alger bafoue à vue d'œil les droits élémentaires des séquestrés



Alger bafoue à vue d'œil les droits élémentaires des séquestrés

L'Algérie, chantre de l'autodétermination, n'hésite pas à violer les droits élémentaires des populations séquestrées dans les camps de Tindouf depuis trois décennies, a dénoncé, mardi devant la 12e session du Conseil des droits de l'Homme (CDH) de l'ONU, l'ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l'Office des Nations unies à Genève, Omar Hilale. Répondant à l'ambassadeur algérien qui n'a cessé d'évoquer lors de cette session, «le droit à l'autodétermination», M. Hilale a souligné que l'Algérie a tout d'abord l'obligation d'accorder à ces populations le droit à s'autodéterminer sur leur volonté de quitter les camps. «Une fois de plus, l'Algérie persiste dans son acharnement contre le Maroc», a encore dénoncé le diplomate marocain, déplorant qu'il n'y a pas un seul jour sans que l'ambassadeur algérien ne répète ses philippiques anti-marocaines. L'ambassadeur marocain a fait observer, concernant les allégations de l'ambassadeur algérien qui a prétendu que l'Algérie est un pays «voisin» et «observateur» dans le conflit du Sahara, que ni les agissements de la diplomatie algérienne, ni ses déclarations au quotidien ne confirment cette prétention.

La diplomatie algérienne est mono-causale et sa seule priorité est l'affaire du Sahara, a indiqué M. Hilale qui en veut pour preuve le fait que l'ambassadeur algérien n'ait abordé aucune autre situation dans le monde depuis le début de cette session du CDH. «Sa seule préoccupation, voire sa seule obsession, est le Maroc et même la question palestinienne n'a eu droit qu'à deux mots dans sa croisade en faveur .des droits de l'Homme», a-t-il noté.
Il a indiqué que l'Algérie que son ambassadeur présente comme un «pays voisin» abrite, entraîne et finance des bandes séparatistes qui menacent la paix et la sécurité dans la région, et dont certains éléments on eu des accointances avec les terroristes d'Al-Qaida.

«Bien plus, au lieu de consacrer ses ressources à ses propres problèmes socio-économiques de logement, de santé, d'accès à l'eau et à l'électricité, ce pays finance l'armement du polisario et le déplacement de ses responsables à travers le monde», a fait observer M. Hilale. Contrairement à ce que prétend son ambassadeur, l'Algérie n'est pas un simple pays observateur. Il est partie prenante dans l'affaire du Sahara depuis son déclenchement, a ajouté le diplomate marocain, précisant qu'un pays observateur ne mène pas au quotidien une campagne diplomatique hostile au Maroc, n'interfère pas dans les négociations et respecte la responsabilité du Conseil de sécurité dans ses efforts pour le règlement de ce problème. S'agissant des rapports des ONG internationales sur «la situation des droits de l'Homme au Sahara marocain» qu'évoque l'ambassadeur algérien, M. Hilale a fait savoir qu'à l'évidence, ces ONG et leurs rapports ne sont les bienvenus pour l'ambassadeur algérien que lorsqu'il veut les présenter comme soi-disant preuves, mais quand ces rapports épinglent et mettent à nu la situation des droits de l'Homme dans son propre pays, ils sont ignorés et ces ONG sont bannies, combattues et interdites d'accès sur le sol algérien.

L'ambassadeur marocain a, d'autre part, affirmé que les prétendues manifestations au sud du Maroc n'existent que dans les communiqués colportés par les médias à la solde d'Alger et dans l'esprit de l'ambassadeur algérien, soulignant que les villes que le diplomate algérien a citées sont régulièrement visitées par les ONG, les journalistes et les diplomates étrangers accrédités à Rabat.

M. Hilale a indiqué que l'ambassadeur algérien «aurait plutôt été mieux inspiré à lire les rapports des ONG, tels que Amnesty International, Human Rights Watch, la Fédération internationale des droits humains, le Comité des Nations unies des droits de l'Homme et le Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires sur la situation des droits de l'Homme en Algérie qui dressent tous un tableau sombre sur les violations des droits de l'homme dans ce pays».
«L'ambassadeur algérien s'est fait une fixation sur les soi-disant manifestations au Sahara marocain. Il aurait été plus approprié qu'il réfléchisse sur l'interdiction de manifester imposée au peuple algérien depuis des années», a ajouté M. Hilale, faisant remarquer à ce propos que les manifestations pacifiques au Maroc sont autorisées tant qu'elles respectent la réglementation en vigueur.

Sidati El-Ghallaoui, ex dirigeant du Polisario:"Le refus du recencement des réfugiés de Tindouf est une preuve de la manipulatio


Sidati El-Ghallaoui, ex dirigeant du Polisario:"Le refus du recencement des réfugiés de Tindouf est une preuve de la manipulatio


A l'occasion de la tenue de la 12ème session du Conseil des droits de l'Homme à Genève, l'ex représentant du Polisario en Italie, M.Sidati El-Ghallaoui, a dénoncé le refus de l'Algérie du recensement des réfugiés saharouis de Tindouf.Au micro de notre reporter, il revient sur la visite du dirigeant du Polisario, Mohamed Abdel Aziz en Libye, l'inquiétude de la communauté internationale sur le sort des réfugiés de Tindouf, sans oublier la position de l'Union Africaine sur la situation au Sahara...

Africaguinee.com:La situation au Sahara continue de préoccuper la communauté internationale. Que pensez-vous de la dernière visite du haut commissaire aux réfugiés, M. Antonio Guterres dans la région?

Sidati El Ghallaoui : Je pense que chaque fois qu’il y a une initiative humanitaire, c’est intéresant.Ca veut dire que la communauté internationale veut faire bouger le dossier. La visite du haut commissaire sur le terrain est très importante, car cela lui permet d’approfondir un peu plus ses connaissances sur la situation au Sahara. Il a eu l’occasion aussi de voir tous les développements qui ont été enregistrés et les acquis obtenus dans les provinces du sud, surtout dans le cadre des droits de l’Homme. Il a pu circuler à Laayoune et d’autres villes pour voir la différence avec la zone contrôlée par le Polisario où les libertés sont supprimées. M. Guterres a pu voir aussi les souffrances de nos compatriotes à Tindouf et je crois qu’il a compris la position de l’Algérie qui a refusé aux organismes des Nations unies de faire un recensement des réfugiés .Et cela est une preuve palpable de la manipulation exercée par l’Algérie sur ce dossier qui a des conséquences humanitaires considérables.

Justement, est ce que le recensement des réfugiés proposé par le HCR est une solution à cette crise ?

Je pense que ce n’est pas une solution définitive, mais c’est un pas en avant. On ne peut pas comprendre qu’il y a des détenus sur le territoire d’un pays frère depuis 30 ans, sans savoir leur nombre exact ! Il y a des manipulations en fonction de la volonté hégémonique de l’Algérie. On évoque la crise alimentaire dans la région, mais les donateurs ne peuvent pas évaluer leurs dons pour aider nos frères et sœurs retenus à Tindouf.

Mais pourquoi selon vous, l’Algérie refuse ce recensement dans les camps de Tindouf ?

Parce que le nombre réel des détenus ne dépasse pas 50.000 personnes contrairement aux affirmations de l’Algérie qui déclare qu’ils sont plus de 100.000.Je vous le dis, car je suis un ancien dirigeant du Polisario dans les 80-90, et je sais ce dont il s’agit. Au moment où l’Algérie déclare que les détenus sont de 164 ou 165.000, faites le calcul ! Car toutes les aides qui sont envoyées, vont dans des destinations inconnues. Et cela sur le dos des populations civiles.

Concrètement que proposez-vous à l’Algérie, pour fermer ces camps de Tindouf ?

L’Algérie doit mettre en valeurs l’intérêt du Maghreb arabe, avec le Maroc. C’est un pays frère, je crois que le Maghreb arabe n’a pas besoin de conflits, mais de stabilité de l’harmonie. L’Algérie doit laisser ces détenus, rejoindre leur patrie et ouvrir ses frontières avec le Maroc. C’est inacceptable que depuis 1994, nos frontières communes soient fermées.

Le Polisario a participé récemment à la cérémonie commémorant les 40 ans de pouvoir du Colonel Kadhafi à Tripoli, ainsi qu’à l’investiture du président élu Malam Bacam Sagna à Bissau. En tant qu’ex dirigeant du Polisario, quelle est votre réaction sur cette offensive diplomatique du Polisario ?

Je ne dirai pas qu’il y a eu une offensive diplomatique du Polisario. Sa participation à la cérémonie du 40 ème anniversaire de l’arrivée au pouvoir de Kadhafi a crée un incident diplomatique entre le Maroc et la Libye. Le Guide de la révolution libyenne a éclairci cet incident en disant qu’Abdel Aziz (le dirigeant du Polisario, Ndlr) n’était jamais invité à cette cérémonie de Tripoli. Le Polisario était présent en tant que participant car le Polisario est membre de l’OUA, ce que nous regrettons. Les représentants du Polisario étaient donc présents sans y être invités. D’ailleurs la délégation marocaine avait quitté la tribune officielle et la Libye a eu le courage qu’Abdel Aziz n’était pas invité.

Pour la Guinée-Bissau, le Polisario cherche toujours à être présent. Je pense que c’est un voyage de routine comme cela se passe d’ailleurs dans d’autres Etats africains. Ce n’est donc pas une offensive diplomatique.

Quel message adressez-vous à l’Union Africaine pour résoudre cette crise qui empoisonne les relations entre le Maroc et l’Algérie ?

Je rappelle à l’Union africaine que le Maroc est l’un des pays qui ont crée l’organisation de l’unité africaine (OUA) en 1963, avec des grandes personnalités de l’époque comme Sékou Touré de Guinée, Ahmadou Ahidjo du Cameroun .Le Maroc a un joué un rôle considérable pour l’Afrique et c’est un pont entre le monde arabe et l’Afrique au sud du Sahara. L’Union africaine doit donc faire comprendre aux algériens que sans le Maroc, il y a toujours un handicap.

Vous êtes ici à Genève, à l’occasion de la 12ème session du conseil des droits de l’Homme. Avez-vous un message pour la communauté internationale sur la situation des sahraouis à Tindouf ?

Mon message, c’est celui de nous aider à résoudre cette crise !La communauté internationale doit surveiller les aides humanitaires acheminées dans la région, pour éviter d’enrichir un petit groupe de dirigeants qui soutiennent un conflit qui n’a que trop duré.

Ismael Barry

La Gambie renouvelle son "soutien total" à l'intégrité territoriale du Maroc


La Gambie renouvelle son "soutien total" à l'intégrité territoriale du Maroc

Le Président gambien, M. Al Hadji Yahya Jammeh, a renouvelé, jeudi soir à New York, son "soutien total" à l'intégrité territoriale du Maroc.

"Ma délégation renouvelle son total soutien à l'intégrité territoriale et à la souveraineté du Royaume du Maroc", a souligné le Président gambien, lors de son intervention au débat général de la 64-ème session de l'AG de l'ONU.

Concernant la question du Sahara, "nous demeurons convaincus que la proposition du gouvernement d'octroyer une large autonomie à la région du Sahara sur la base des négociations initiées par le Conseil de sécurité de l'ONU, et conduites et convenues par les parties, mènera à une solution définitive et pacifique du conflit", a-t-il dit.

le Président comorien réaffirme le soutien indéfectible de son pays au Maroc


le Président comorien réaffirme le soutien indéfectible de son pays au Maroc

Le Président de l'Union des Comores, M. Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, a réaffirmé, jeudi à New York, le soutien " indéfectible " de son pays à l'intégrité territoriale du Maroc.

L'Union des Comores réitère son " soutien indéfectible " au Royaume du Maroc dans ses " efforts légitimes en vue de recouvrer son intégrité territoriale ", a affirmé M. Mohamed Sambi lors de son intervention à l'occasion du débat de la 64ème session de l'Assemblée Générale des Nations Unies.

Il a, par ailleurs, estimé que " la paix et la sécurité restent des conditions essentielles à la promotion du développement socio-économique ", soulignant que " les situations de conflit qui prévalent dans de nombreuses régions du monde devraient nous interpeller "

le Maroc peut compter sur la République dominicaine dans tous les fora (Ministre)


le Maroc peut compter sur la République dominicaine dans tous les fora (Ministre)

Le ministre des Affaires étrangères de la République dominicaine, Carlos Morales Troncos, a réaffirmé, jeudi soir à New York, le soutien de son pays au Maroc concernant la question du Sahara.

"Nous sommes avec les Marocains. Et le Maroc sait qu'il peut compter sur nous dans tous les fora ", a-t-il déclaré à la MAP à l'issue d'un entretien avec le ministre des affaires étrangères et de la coopération, M. Taib Fassi Fihri.

Il a, en outre, indiqué qu'il a examiné avec M. Fassi Fihri les moyens de renforcer la coopération économique entre le Maroc et la République dominicaine notamment dans le domaine du tourisme.

M. Fassi Fihri a également eu des entretiens avec le président du Palau, M. Johnson Toribiong, le président du Conseil de gouvernement et ministre des Affaires étrangères du Qatar, Sheikh Hamad bin Jassem bin Jaber Al Thani, ainsi qu'avec le chef de la diplomatie du Kenya, M. Moses Wetangula.

Le ministre s'est également entretenu avec le président de la 64-ème session de l'Assemblée général de l'ONU, M. Abdussalem Treki.

la ligue des défenseurs des droits de l’Homme au Sahara s'adresse au France libertés


la ligue des défenseurs des droits de l’Homme au Sahara s'adresse au France libertés

Laâyoune le 24 septembre 2009



Malheureusement, nous avons été surpris au sein de la ligue des défenseurs des droits de l’Homme au Sahara par vos déclarations relayées par la presse algérienne et les sites de propagandes du Polisario.

En tant que collectif intéressé par la défense de droits de l’Homme, nous refusons en bloc de telles déclarations. Et nous tenons à vous faire part de notre indignation face à ce comportement, inattendu de la part d’une ONG connue comme la votre, qui devrait s’armer de principes et valeurs d'honnêteté et d’équité.

Nous nous interrogeons sur la sincérité de votre engagement, surtout en ce qui concerne l’affaire du Sahara marocain, étant donné que vous n’écoutez que d’une seule partie.

Le ton général de vos déclarations démontre que votre organisation a succombé aux manipulations du Polisario, qui fait tout pour nuire à l’image de notre pays.

En tant que ligue basée à Laâyoune, nous protestons contre cette position qui n’accorde aucune attention aux efforts déployés par le Maroc qui a fait preuve d’un engagement sans faille pour faire respecter les valeurs et les principes des droits de l'Homme notamment dans la région du Sahara.

A ce propos, la ligue des défenseurs de droits de l’Homme au Sahara, et partant du grand intérêt qu'elle accorde au respect des droits humains, condamne vivement l’instrumentalisation odieuse et grotesque dont fait objet la noble cause des droits de l'homme par la machine de propagande Algérienne .

Pour cela, nous vous invitons à venir sur place, et vérifier vous-même l’authenticité des informations que le Polisario vous fait parvenir. Nous vous invitons aussi d'ouvrir une enquête sur le sort de 800 disparus sahraouis dans les prisons des séparatistes, sur le territoire algérien.

Nous vous prions d’accepter, l’expression de notre haute considération.



La ligue des défenseurs des droits de l'homme au sahara.

jeudi 24 septembre 2009

Le Maroc a investi en 4 ans au Sahara plus que ce que la colonisation espagnole y a consacré en 90 ans (diplomate


Le Maroc a investi en 4 ans au Sahara plus que ce que la colonisation espagnole y a consacré en 90 ans (diplomate


Le Maroc vient d'allouer 1,2 milliard de dollars pour le développement des Provinces du sud dans le cadre de l'action de l'Agence de développement des provinces du sud, soit plus que ce que la puissance occupante a investi au Sahara depuis 1884 jusqu'au départ des troupes espagnoles, a indiqué l'ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l'Office des Nations Unies à Genève, M. Omar Hilale.

Tous ceux qui ont pu se rendre au Sahara marocain ont pu témoigner de l'essor économique, social, culturel et urbanistique des villes sahariennes, qui n'étaient en 1975 qu'une étendue de désert infini, a souligné le diplomate marocain, faisant remarquer qu'en quatre ans le Maroc a ainsi investi dans cette région plus que ce que la puissance coloniale y a consacré en l'espace de 90 ans.

M. Hilale répondait, mardi lors de la 12ème session du Conseil des droits de l'homme (CDH) de l'ONU à une déclaration faite dans le même cadre par l'ONG "France Liberté" qui a, a-t-il dit, fait preuve, une fois de plus, de manque d'intégrité intellectuelle et politique en faisant une lecture tendancieuse de l'avis de M. Hans Corell, conseiller juridique de l'ONU sur l'exploitation des ressources des provinces sahariennes du Maroc.

L'ambassadeur marocain fait observer à l'adresse de ladite ONG que l'avis Corell n'a jamais considéré le Sahara comme étant un territoire occupé et n'a jamais qualifié le Maroc de puissante occupante, ni considéré que les contrats d'investissements au Sahara étaient illégaux.

Cet avis, a poursuivi M. Hilale, n'a jamais remis en cause la compétence du Maroc de conclure des accords d'investissement, incluant son Sahara, ni établi que l'exploitation et la promotion des ressources naturelles du Sahara marocain se font au détriment des intérêts des populations locales.

Bien au contraire, a-t-il fait observer, le Conseiller juridique de l'ONU a clairement déclaré que "les contrats qui font l'objet de la demande du Conseil de Sécurité ne sont pas illégaux".

"J'aurais souhaité que cette ONG puisse être intègre et honnête comme elle l'avait été lorsqu'elle avait fait son rapport sur les détenus marocains dans les camps de Tindouf, qui avait fait sensation en 2003", a-t-il déclaré, regrettant que "France Liberté" se limite à présent à lire les déclarations qui lui sont écrites par d'autres.

Il a fait remarquer que les allégations de cette ONG au sujet de l'avis juridique de Hans Corell sont loin d'être objectifs et impartiaux, mais trahissent un parti pris flagrant et portent un coup sévère à sa crédibilité.

Le diplomate marocain a, par ailleurs, récusé l'interprétation "tendancieuse" sur l'autodétermination à laquelle s'est livré au sein du Conseil son homologue algérien.

Il lui a rappelé à cet égard que c'est la Charte des Nations Unies qui prime et qui est la source de la légalité internationale, soulignant qu'elle avait donné la priorité à l'intégrité territoriale alors que le droit à l'autodétermination n'est qu'une norme du droit établie en 1960 et qui a été suivie par d'autres résolutions que le diplomate algérien, a-t-il dit, persiste à ignorer.

Le droit international n'est pas sélectif et n'est pas un menu à la carte. Le droit international est un arsenal global qu'il convient de prendre dans son intégralité. ce que malheureusement l'Algérie refuse toujours, a-t-il déploré.

Les rescapés de l'enfer", un appel pour une prise de position franche sur la question des Marocains ex-détenus du polisario

Les rescapés de l'enfer", un appel pour une prise de position franche sur la question des Marocains ex-détenus du polisario

Le film documentaire "Les rescapés de l'enfer", qui relate les souffrances de civils marocains ex-détenus du polisario au sud-ouest algérien, est "un cri du cœur et un appel à la communauté internationale pour une prise de position franche" sur cette question, a indiqué son auteur, la journaliste reporter marocaine, Mme Yasmine Khayat.




Ce film, produit par la Société Nationale de Radiodiffusion et de Télévision (SNRT), a été projeté, vendredi dans l'une des salles de l'Office des Nations-unies à Genève, dans le cadre d'une conférence, organisée par l'ONG internationale "Interfaith International", en marge de la 12ème session du Conseil des droits de l'homme de l'ONU.

Il comporte les témoignages de plusieurs de ces civils marocains qui ont passé un quart de siècle dans les geôles du polisario et qui sont au nombre de 94. Il s'agissait de marins pêcheurs civils marocains travaillant à bord de navires de pêche marocains ou battant pavillon étranger et qui au moment de leur enlèvement en plein nuit, se trouvaient au large de côtes marocaines, longeant des terres souveraines et indépendantes depuis 1956, soit 20 ans avant l'émergence du conflit du Sahara, a-t-elle précisé, qualifiant ces kidnappings d'"actes de piraterie".

En recueillant les témoignages de ces forçats du désert, je n'ai pu contenir ma stupeur, au point de m'en vouloir de mon ignorance de cet aspect de l'histoire, a indiqué Mme Khayat, dans une déclaration à MAP-Genève.

Réduits à piétiner la boue de leurs pieds et à courir avec les sacs de mortiers ou les briques de 20 kilos sur le dos. Réduits à construire tout ce qu'il y avait à construire dans cette région. Ils travaillaient nuit et jour et étaient réveillés plusieurs fois dans la nuit pour l'appel, a-t-elle dit.

Elle a précisé que ce n'est qu'avec la venue dans cette région du Comité Internationale de la Croix Rouge (CICR) que le monde a découvert leur existence et que l'espoir d'une libération était né chez ces détenus.

Décrivant les séquelles dont ces détenus souffrent au quotidien, l'auteur du film a indiqué que depuis leur libération, ces plus vieux prisonniers du monde tentent de renouer avec une société qui a avancé sans eux. Mais rien, ni personne ne pourra leur rendre la force de leur âge et leur vie volée perdue dans l'enfer des prisons du polisario, a-t-elle signalé.

L'objectif de ce film, a-t-elle ajouté, est de faire connaître une partie de l'histoire du conflit du Sahara, insistant sur la nécessité de parler des conséquences humanitaires de ce conflit et de ses répercussions sur les civils marocains.

"J'ai fait ce film avec une seule motivation profonde qu'est le refus de l'injustice", a expliqué Mme Khayat. Et d'ajouter: "lorsque j'ai croisé ces civils, je ne pouvais pas rester les mains croisées. Ces gens ont été coupés de la vie pendant un quart de siècle, endurant les affres de la séparation et toutes les conséquences humanitaires qui en découlent", a-t-elle déploré.

Mme Khayat a indiqué qu'à travers la projection, en avant première, de ce documentaire dans l'enceinte des Nations-unies elle vise à susciter des réactions et attirer l'attention des organisations en charge des droits de l'homme et des ONG internationales sur cette question.

La journaliste a indiqué avoir recensé, en collaboration avec l'association des civils ex-détenus par le polisario, "Annajma Al Khadra" et le collectif Watanouna, une quinzaine de marins pêcheurs qui sont encore en vie et qui ont vécu dans les geôles du polisario pendant plusieurs années.

C'est l'arbitraire qui a duré pendant un quart de siècle, a-t-elle dénoncé, faisant remarquer que ces gens ont perdu leur jeunesse, leur vie, mais sont revenus avec beaucoup de dignité sur leur passé douloureux.

"Les rescapés de l'enfer", réalisé par une équipe réduite (la journaliste elle-même, épaulée d'un cameraman et d'un ingénieur du son), pour assurer plus de mobilité, est un de trois documentaires portant sur la même thématique, à savoir les violations des droits de l'homme par le polisario, selon l'auteur.

la menace terroriste s’installe à Laâyoune



la menace terroriste s’installe à Laâyoune

Les services de police de Laâyoune ont saisi trente bouteilles de coktail molotov chez une bande de séparatistes .Une enquête avait été ouverte pour connaitre la véritable destination de ces bouteilles , dont les détenteurs pourraient en servir pour faire des actions terroristes.

saisi d'arme à Dakhla


saisi d'arme à Dakhla


Les services sécuritaires dans les postes frontaliers ont arrêté vendredi 17 septembre trois personnes venues de la Mauritanie , transportant des armes ( 3 kalachnikov ) . Ses même sources ajoutent ces armes auraient pour destination la ville de Laâyoune, où une minorité des pro-polisario veulent faire des actes terroristes, et menacent de faire entrer la région dans un lac de sang. Cette arrestation intervient quelques jours après le retour de ces pro-polisario de l’Algérie, où ils ont subi des formations en matière de provocation. Et vient également alors que le Polisario essaye de faire déclencher ce qu’il appelle Intifada dans la ville de Laâyoune. Tous ces indices montrent que ces armes ont été destinées aux pro-polisario, ce qui nécessité plus de vigilance.

vendredi 18 septembre 2009

Laâyoune ; L’agence algérienne de presse transforme un match de football en une Intifada


Laâyoune ; L’agence algérienne de presse transforme un match de football en une Intifada


L’agence algérienne de presse a transformé les événements de trouble à l’ordre publique qui ont suivi un match de Football à Laâyoune en une Intifada.

La presse algérienne et les sites de propagande du Polisario ne cessent de publier des mensonges sans fondement qui visent la désinformation et l'intoxication. Cette presse jaune a reporté dans ses éditions du 16 septembre qu’au moins 28 personnes ont été blessées ou arrêtées au cours d’une manifestation pacifique à Laâyoune.

La manifestation pacifique dont parle cette presse n’est autre que des troubles à l’ordre public semés par des supporters à l'issue d'un match ayant opposé deux équipes locales.

Après le match, trente personnes qui s'étaient attroupées au niveau de l'avenue Al Mamoune au quartier Moulay Rachid ex "Mâata Allah", ont lancé des pierres sur un véhicule de police qui s'est rendu sur place pour s'enquérir de la situation, causant des dégâts matériels au véhicule et blessant un policier.

Conformément à la législation en vigueur, le parquet a ordonné la dispersion de l'attroupement et l'arrestation de quatre personnes.

Aucune des personnes ayant fait partie de cet attroupement n'a été blessée lors de l'intervention de la police.

A Laâyoune, comme dans les autres villes du Maroc les services de police s’acquittent de leur mission conformément aux règlements en vigueur et dans le strict respect des droits de l’homme. Il est inadmissible de laisser les personnes qui sèment la zizanie sans punition.

Tout ce qui a été rapporté par l’agence algérienne de presse qui ne cesse d’inventer et de publier n´ importe quoi sur le Maroc est donc faux,

Le conflit du Sahara sert pour remplir les colonnes de cette presse, qui n a rien à dire. Alors qu’elle a beaucoup de choses à écrire sur la misère du peuple algérien et les affaires de corruption et de détournement d'argents des dirigeants et des militaires algériens, ainsi que leur complice du Polisario, qui s’enrichissent au détriment des pauvres séquestrés de Tindouf, au lieu d’essayer de tourner le regard vers Laâyoune.

Position positive de la Serbie


Position positive de la Serbie


Le président de la Chambre des conseillers, Maati Benkaddour, s'est félicité de la position positive de la République serbe sur la question du Sahara soutenant les résolutions de l'ONU.
M. Benkaddour a souligné, à l'issue d'un entretien mardi à Rabat avec le ministre serbe des Affaires étrangères, Vuk Jeremic, la convergence de vues des deux pays sur les questions d'intérêt commun. Le président de la Chambre des conseillers a indiqué que le Maroc ambitionne de renforcer la coopération et les échanges culturels et économiques avec la Serbie, appelant à réactiver le mécanisme des accords de coopération bilatéraux dans tous les domaines.Le ministre serbe a pour sa part mis en exergue l'excellence des relations entre le Maroc et la Serbie, soulignant que la position de son pays sur la question du Sahara est «connue et reste inchangée».

M. Jeremic a salué la position du Maroc vis-à-vis du Kosovo soutenant la légalité internationale, réitérant la disposition de son pays à coopérer avec le Maroc dans le cadre des Nations unies pour parvenir à une solution à cette question.
Le ministre serbe s'était entretenu auparavant avec le président de la Chambre des représentants, Mustapha Mansouri et avec Taieb Fassi Fihri, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération.

Ali Salem Tamek


Ali Salem Tamek

Selon des sources bien informées d’InfoSahara, le soi-disant défenseur sahraoui de droits l’homme , Ali Salem Tamek aurait reçu lors de ra rencontre avec le Mohamed Abdelaziz , le président de la chimérique RASD , la somme de 50.000 euros .Alors qu’elle est la véritable destination de cette somme colossale ? Finira –t- elle dans ses comptes privés en Europe ? Ou bien servira –t-elle dans le financement des actions terroristes au Sahara ?

mardi 15 septembre 2009

L'Algérie refuse le recensement


L'Algérie refuse le recensement


La tournée régionale du Haut commissaire des Nations unies pour les réfugiés, Antonio Guterres, qui l'a conduit en Algérie, aux camps de Tindouf et au Maroc n'a pas été vaine bien qu'il reste encore un long chemin à parcourir pour qu'Alger accepte le recensement exigé par la communauté internationale.
Un premier accord a été conclu. Toutes les parties ont convenu, selon le responsable onusien, d'effectuer des échanges de visites familiales par voie terrestre. Il affirme que certes 8.000 personnes ont bénéficié du programme d'échange de visites, mais cela reste insuffisant vu que 42.000 personnes sont inscrites pour bénéficier du processus : « Au rythme actuel avec la voie aérienne, il sera difficile de garantir la massification des visites. Nous espérons que la solution terrestre va donner lieu à une augmentation très significative des visites. »
Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taieb Fassi Fihri, confirme la volonté du Maroc de donner un coup de fouet aux visites familiales. Il signale que la voie terrestre sera étudiée sur le plan technique pour faciliter la rencontre entre les membres des familles. Il ne s'agit que de l'un des aspects proposés en attendant le règlement définitif de la question.

Un recensement des populations des camps de Tindouf s'avère, selon le responsable onusien, indispensable pour apporter l'assistance nécessaire aux populations. Mais, jusqu'à présent, l'Algérie s'oppose à cette mesure.
« Le recensement humanitaire n'a rien à voir avec des considérations de nature politique. C'est simplement un instrument pour l'aide humanitaire. L'Algérie n'a pas accepté ce recensement et nous n'avons pas changé nos estimations. », signale Guterres. Il explique que des estimations ont permis de définir le volume des aides humanitaires que l'Algérie a qualifiées d'insuffisantes.

Pour le HCR, l'augmentation reste liée à un recensement des populations de ces camps.
Le chef de la diplomatie marocaine a insisté sur l'importance du recensement pour le Royaume afin de connaître la réalité, déterminer ceux qui sont originaires du Sahara et permettre aux populations de s'exprimer sur leur désir d'y rester, de regagner le Maroc ou de s'installer dans un autre endroit à l'étranger. Le responsable gouvernemental a pointé du doigt la responsabilité politique et juridique de l'Algérie dans la persistance d'une situation « intolérable » du point de vue humanitaire.

Dans l'attente du recensement et d'une solution politique, le Haut Commissariat aux réfugiés s'attellera à la tâche pour aider les populations de Tindouf. Le HCR va mettre en place des mécanismes de coopération pour tenir compte des besoins humanitaires immédiats tout en accordant une importance particulière à la formation des jeunes à travers les bourses à l'étranger.
Antonio Guterres l'a confirmé à plusieurs reprises : le HCR ne fait que des opérations humanitaires mais qui ne sauraient être efficaces sans solution politique : « Il n'y a jamais une solution humanitaire pour les problèmes humanitaires. La solution est toujours politique. Pour résoudre un problème de réfugiés, c'est comme le traitement d'une pneumonie : il faut un antibiotique. Or, nous, en tant qu'humanitaires, nous n'avons que de l'aspirine. »

Taieb Fassi Fihri espère que la sagesse l'emportera. Il a tenu à conclure en signalant que le Maroc a besoin du HCR, non seulement pour réaliser le mandat humanitaire du HCR, mais aussi pour nous aider à trouver le traitement définitif à la situation dans les camps de Tindouf.


Pour le HCR, l'augmentation reste liée à un recensement des populations de ces camps.
Le chef de la diplomatie marocaine a insisté sur l'importance du recensement pour le Royaume afin de connaître la réalité, déterminer ceux qui sont originaires du Sahara et permettre aux populations de s'exprimer sur leur désir d'y rester, de regagner le Maroc ou de s'installer dans un autre endroit à l'étranger. Le responsable gouvernemental a pointé du doigt la responsabilité politique et juridique de l'Algérie dans la persistance d'une situation « intolérable » du point de vue humanitaire. Dans l'attente du recensement et d'une solution politique, le Haut Commissariat aux réfugiés s'attellera à la tâche pour aider les populations de Tindouf.

Le HCR va mettre en place des mécanismes de coopération pour tenir compte des besoins humanitaires immédiats tout en accordant une importance particulière à la formation des jeunes à travers les bourses à l'étranger. Antonio Guterres l'a confirmé à plusieurs reprises : le HCR ne fait que des opérations humanitaires mais qui ne sauraient être efficaces sans solution politique : « Il n'y a jamais une solution humanitaire pour les problèmes humanitaires. La solution est toujours politique. Pour résoudre un problème de réfugiés, c'est comme le traitement d'une pneumonie : il faut un antibiotique.

Or, nous, en tant qu'humanitaires, nous n'avons que de l'aspirine. » Taieb Fassi Fihri espère que la sagesse l'emportera. Il a tenu à conclure en signalant que le Maroc a besoin du HCR, non seulement pour réaliser le mandat humanitaire du HCR, mais aussi pour nous aider à trouver le traitement définitif à la situation dans les camps de Tindouf.