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lundi 9 août 2010

Les enlèvements et assassinats aux camps de Tindouf sont planifiés d'une manière méthodique au sein de la soi-disant "direction de sureté"


Laâyoune, 09/08/10 - Les enlèvements et les assassinats aux camps de Tindouf sont planifiés d'une manière méthodique au sein de la soi-disant "direction de la sureté", a indiqué Fateh Ahmed Ould Mohamed Fadel Ould Ali Salem, ancien dirigeant du polisario, qui a rallié récemment la mère-patrie.
M. Fateh, plus connu dans les camps de Tindouf sous le pseudonyme d'"Ahmed Felipe", a souligné, dans un entretien accordé à la Radio régionale de Laâyoune diffusé dimanche soir, que la "direction de la sureté" avait la main mise sur tout ce qui touchait la gestion, ajoutant que "des assassinats ont eu lieu dans les champs des combats engagés par le Polisario que les habitants des camps ignoraient".
Et d'ajouter que cette direction comprenait un service en charge des interrogatoires où plusieurs personnes ont été tuées sans procès et sans enquête.
L'ancien responsable du Polisario est revenu sur les circonstances entourant son recrutement au sein du mouvement séparatiste et les entraînement militaires auxquels il a participé en compagnie de plusieurs autres personnes sur le sol algérien et sous les ordres d'officiers algériens.
Fateh Ahmed Ould Mohamed Fadel Ould Ali Salem a rejoint le front polisario en 1975. Il a été affecté à la base "Al Janine Bourzek" en Algérie où il a suivi ses premiers entrainements. Il a ensuite regagné Tindouf où il a été chargé de l'intendance avant d'être nommé à la soi-disant "direction de la sureté", puis directeur de la sécurité publique du soi-disant "croissant rouge sahraoui".
Fadel Ould Ali Salem, né en 1954 aux environs d'Essmara, a ensuite été nommé "chef de sureté de la 3ème zone militaire" relevant des renseignements civils dans les camps.

Camps de Tindouf : des centaines de filles mineures forcées au mariage avec des mercenaires

L’opération du mariage forcé a suscité l’indignation des habitants des camps de Tindouf qui ont vu leurs jeunes filles et garçons contraints au mariage à un âge précoce juste pour servir les intérêts du Polisario.


Pour le front Polisario, tous les moyens sont bons pour garantir le surplus démographique dans les camps des séquestrés de Tindouf. Selon des sources concordantes, la direction du front séparatiste a organisé récemment la plus grande opération de mariage forcé dans les camps. Cette opération, entamée il y a trois mois, vise à forcer le plus grand nombre de jeunes filles et jeunes garçons au mariage. L’objectif étant, selon des observateurs, «la production massive d’enfants» pour faire face à l’hémorragie occasionnée par le ralliement massif des jeunes vers la mère patrie. Ainsi, des centaines de filles mineures ont été forcées au mariage avec des mercenaires. Selon des informations publiées par le site Internet «Algeria times», le Polisario aurait construit, dans le cadre de cette opération, pas moins de 120 tentes réparties sur l’ensemble du territoire de Tindouf pour abriter les jeunes mariés. Joint par ALM, Mohamed Taleb, secrétaire général de la Ligue des défenseurs sahraouis des droits de l’Homme, souligne que cette opération s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations du dernier congrès du Polisario. «Lors du douzième congrès du front séparatiste tenu à Tifariti, il y a eu une commission secrète nommée «la commission du peuplement». Cette commission a travaillé en toute discrétion en marge des travaux du congrès du Polisario. A l’issue de son travail, elle a adressé trois recommandations principales à la direction du front. La première étant l’obligation du mariage pour les filles du camp à partir de l’âge de 13 ans. Ladite commission a recommandé également que les femmes divorcées et les veuves soient mariées à des membres des forces armées. La troisième recommandation, et qui est la plus dangereuse, est l’interdiction des moyens de contraception», explique M. Taleb. (Voir entretien ci-contre). Ceci dit, d’après la même source, cette opération réalisée avec le soutien des services de renseignement algériens a suscité l’indignation des habitants des camps de Tindouf qui ont vu leurs jeunes filles et garçons contraints au mariage à un âge précoce juste pour servir les intérêts et les calculs étriqués du Polisario. Contacté par ALM, Bachir Dkhil, président du Forum Alternatives, ex-représentant du Polisario à Barcelone, affirme que l’opération récente du mariage forcé n’est pas une première en son genre. «Depuis sa création par l’Algérie, le front Polisario a fondé sa politique envers les habitants des camps de Tindouf sur la répression. Pour la direction polisarienne, l’habitant des camps n’est nullement un être humain digne du respect, mais uniquement un chiffre parmi d’autres ni plus ni moins. Le seul souci du front séparatiste était d’alimenter ses rangs par des soldats afin de pouvoir poursuivre la guerre contre le Maroc. Etant donné qu’en 1976, selon des statistiques, seulement 8% des habitants des camps étaient des hommes et le reste des femmes. Ainsi vers la fin des années 70 et le début des années 80, le front séparatiste a mis en place «la politique de la multiplication», consistant en l’interdiction du divorce pour les jeunes mariés pendant une durée de quatre ans», explique M. Dkhil. Et d’ajouter que «par la suite, le Polisario a suivi une autre démarche consistant en la réunion des jeunes filles et jeunes hommes dans le cadre de conférences. Ainsi on forçait chaque fille à choisir son mari parmi trois jeunes hommes. Le Polisario avait également mis en place une prison pour recevoir les jeunes filles enceintes en dehors d’une relation conjugale jusqu’à ce qu’elles donnent naissance à leurs bébés. Le seul objectif du Polisario à travers ces démarches était de garantir un surplus démographique dans les camps pour pouvoir poursuivre la lutte armée contre le Maroc». Ainsi, le calvaire des populations dans les camps de Tindouf se poursuit, étant livrées à une bande de mercenaires dont le seul et unique souci étant de faire perdurer, par tous les moyens, le conflit artificiel autour de la marocanité du Sahara.
737 ralliés à la mère patrie en trois mois
Le nombre de personnes ayant rallié la mère patrie, depuis le 25 mars dernier jusqu’à la fin du mois de juin dernier, s’élève à 737, dont 117 femmes et 95 enfants. Les trois derniers groupes ayant regagné la mère patrie, fuyant la misère et la répression exercées sur les séquestrés des camps de Tindouf, contrôlés par les milices du Polisario, sont constitués de 73 personnes 6 femmes et 14 enfants de 1 an à 12 ans. Ces ralliés ont été unanimes à souligner le ras-le-bol des habitants des camps vis-à-vis des agissements du Polisario.

vendredi 6 août 2010

Un nouveau groupe de 83 sahraouis des camps de Tindouf rallie la mère-patrie via le poste frontalier de Guergarat


Dakhla- Un nouveau groupe de 83 personnes ayant fui les camps de Tindouf, en territoire algérien, vient de regagner la mère-patrie, le Maroc, via le poste frontalier de Guergarat, dans la région de Oued-Eddahab-Lagouira.
Ce nouveau groupe comprend des femmes, des hommes, des enfants et des jeunes de différents âges.
Depuis fin mars dernier, des centaines de sahraouis sont arrivés, par groupes de 20 à 45 personnes, dans différentes villes des provinces du sud, après avoir réussi à fuir le calvaire qu'endure la population sahraouie séquestrée dans les camps de Tindouf, sous contrô le des milices du "polisario".
Selon les déclarations de ces ralliés, le retour en grand nombre de sahraouis des camps de Tindouf à la mère-patrie, le Maroc, reflète le ras-le-bol général des séquestrés de ces camps vis-à-vis des agissements et des thèses des dirigeants du "polisario" et de l'Algérie qui ne cherchent plus qu'à faire perdurer ce conflit au détriment des souffrances des familles séquestrées.

46.000 personnes ni plus ni moins bénéficient des aides humanitaires dans les camps de Tindouf (ancien dirigeant du polisario)


Rabat, 05/08/10 - Quelque 46.000 personnes ni plus ni moins bénéficient des aides humanitaires dans les camps de Tindouf, a indiqué M. Fateh Ahmed Ould Mohamed Fadel Ould Ali Salem, ancien dirigeant du front polisario, qui a rallié récemment la mère-patrie.

"J'étais directeur de la sécurité publique du croissant rouge et le nombre des personnes qui bénéficient des aides humanitaires ne dépassent selon les documents mêmes du polisario guère 46.000", a précisé cet ancien dirigeant du polisario, plus connu dans les camps de Tindouf sous le pseudonyme d'"Ahmed Felipe".
"C'est le Croissant rouge sahraoui qui est en charge de la distribution des aides à la fin de chaque mois aux populations des camps ", a dit M. Oud Ali Salem, dans une interview diffusée jeudi par la chaine Al Oula dans son journal du soir.
Il a précisé que "le nombre des bénéficiaires selon les documents mêmes du polisario ne dépasse guère 46.000 personnes ni plus ni moins".
L'ancien dirigeant du polisario a, à cet égard, appelé la communauté internationale et les associations de défense des droits humains à ouvrir une enquête sur les crimes commis par le polisario dans les camps de Tindouf, sur le sol algérien.
"Ces camps ont été, depuis longtemps, et sont encore le théâtre de drames et de calvaires subis par les séquestrés. Les enlèvements n'ont jamais cessé depuis les premiers jours", a affirmé M. Ould Ali Salem.
Il a, d'autre part, souligné que le large soutien à l'initiative d'autonomie dans les provinces du Sud a "sérieusement déstabilisé les rangs du polisario", affirmant que la majeure partie des séquestrés dans les camps appuie le projet marocain qui jouit d'une confiance totale et se distingue par son sérieux.
M. Fateh Ahmed Ould Mohamed Fadel Ould Ali Salem a rejoint le front polisario en 1975. Il a été affecté à la base "Al Janine Bourzek" en Algérie où il a suivi ses premiers entrainements. Il a ensuite regagné Tindouf où il a été chargé de l'intendance avant d'être nommé à la soi-disant " direction de la sureté ", puis directeur de la sécurité publique du soi-disant "croissant rouge sahraoui". M. Fadel Ould Ali Salem a ensuite été nommé "chef de sureté de la 3ème zone militaire" relevant des renseignements civils dans les camps.

Le polisario s'adonne au trafic d'armes dans la région du grand Sahara (ancien dirigeant du polisario)

Rabat, 05/08/10 - Le polisario s'adonne au trafic d'armes dans la région du grand sahara lequel bénéficie à des organisations terroristes notamment Al Qaida, a indiqué M. Fateh Ahmed Ould Mohamed Fadel Ould Ali Salem, ancien dirigeant des séparatistes qui a regagné récemment la mère patrie.

"Nous savons pertinemment que le polisario s'adonne au trafic d'armes dans la région du grand sahara, mais la question qui se pose : à qui profite ce trafic ?", s'est-il interrogé dans une interview diffusée jeudi par " Al Oula " dans son journal du soir.
M. Ould Ali Salem, connu dans les camps de Tindouf sous le pseudonyme "Ahmed Felipe" et qui a occupé plusieurs fonctions sécuritaires au sein du polisario, a souligné que l'organisation Al Qaida n'a jamais exécuté d'opérations contre le polisario, allusion faite à la connivence entre les deux parties qui ont des intérêts mutuels.
"Nous n'avons jamais entendu parler d'un quelconque incident entre le polisario et Al Qaida, alors qu'ils opèrent tous les deux à partir de la région du grand sahara", a-t-il noté, s'interrogeant comment l'organisation terroriste peut-elle commettre des enlèvements d'Européens à partir de son repaire vers la Mauritanie.
M. Fateh Ahmed Ould Mohamed Fadel Ould Ali Salem a rejoint le front polisario en 1975. Il a été affecté à la base "Al Janine Bourzek" en Algérie où il a suivi ses premiers entrainements. Il a ensuite regagné Tindouf où il a été chargé de l'intendance avant d'être nommé à la soi-disant " direction de la sureté ", puis directeur de la sécurité publique du soi-disant "croissant rouge sahraoui". M. Fadel Ould Ali Salem a ensuite été nommé "chef de sureté de la 3ème zone militaire" relevant des renseignements civils dans les camps.

Un ancien dirigeant du polisario appelle à une enquête internationale sur les crimes commis à Tindouf


Rabat, 05/08/10 - M. Fateh Ahmed Ould Mohamed Fadel Ould Ali Salem, ancien dirigeant du front polisario, qui a rallié récemment la mère-patrie, a appelé la communauté internationale et les associations de défense des droits humains à ouvrir une enquête sur les crimes commis par le polisario dans les camps de Tindouf, sur le sol algérien.

"Ces camps ont été, depuis longtemps, et sont encore le théâtre de drames et de calvaires subis par les séquestrés. Les enlèvements n'ont jamais cessé depuis les premiers jours", a affirmé M. Ould Ali Salem, connu dans les camps sous le pseudonyme d'"Ahmed Felipe".
Dans une interview diffusée jeudi dans le journal du soir de la chaîne "Al Oula", il a fait état "de kidnappings et de meurtres perpétrés de manière invraisemblable" durant la fin des années 1970, des " atrocités " commises, selon lui, "sans procès et sans considération aucune du côté humain".
Parmi les victimes de ces exactions, il a cité Salem Barka et des ressortissants espagnols qui se trouvaient dans les camps, aux côtés de feu Dah Ould Al-Bakkar qui avait quitté à cette époque la France pour rejoindre les camps.
Et de relater qu'au début des années 1980, il y avait un grand nombre d'enlèvements et d'actes de torture ayant visé aussi bien les femmes, les enfants que les hommes, assurant qu'il a été témoin de ces pratiques.
"Je venais de rentrer d'Ain Atturk où j'étudiais quand j'ai trouvé les séquestrés sur le qui-vive, sans oublier les problèmes inconcevables auxquels ils étaient confrontés", a-t-il dit.
L'ancien dirigeant du polisario a rappelé aussi "la vérité affligeante" et "le souvenir immuable " de l'assassinat d'un septuagénaire, avant la liquidation corporelle de sa fille âgée à peine de 9 ans.
D'autre part, M. Ould Ali Salem a souligné que le large soutien à l'initiative d'autonomie dans les provinces du Sud a "sérieusement déstabilisé les rangs du polisario", affirmant que la majeure partie des populations des camps appuie le projet marocain qui jouit d'une confiance totale et se distingue par son sérieux.
M. Fateh Ahmed Ould Mohamed Fadel Ould Ali Salem a rejoint le front polisario en 1975. Il a été affecté à la base "Al Janine Bourzek" en Algérie où il a suivi ses premiers entrainements. Il a ensuite regagné Tindouf où il a été chargé de l'intendance avant d'être nommé à la soi-disant "direction de la sureté", puis directeur de la sécurité publique du soi-disant "croissant rouge sahraoui". M. Fadel Ould Ali Salem a ensuite été nommé "chef de sureté de la 3ème zone militaire" relevant des renseignements civils dans les camps.

jeudi 5 août 2010

Mustapha Naïmi : «Le Maroc responsabilise directement l’Algérie sur la situation de blocage au Sahara»


Mustapha Naïmi affirme que le Maroc adopte une position de fermeté à l’égard de l’Algérie, des Nations Unies et des pays susceptibles de demander certaines concessions supplémentaires au Maroc.
ALM: SM le Roi a affirmé dans son discours à la Nation que le Maroc ne renoncera pas au moindre pouce de son Sahara. Quelle lecture en faites-vous?
Mustapha Naïmi : C’est une position de principe qui indique la détermination de l’Etat et sa position initiale. On n’a aucun mal à la comprendre d’autant plus qu’elle constitue le socle de la position de l’Etat. C’est cette position inhérente à toute évolution possible du dossier qui seule peut conjuguer et articuler les contours de la fermeté de l’Etat, fait de la maîtrise des données relatives à l’unité territoriale le socle le plus fondamental de la construction du social, de l’économique et du politique. Pour établir les bases qui conditionnent sa permanence comme système étatique organisé, le discours royal imprime sa marque sur les communautés en les soumettant à ses normes et à ses canons, en socialisant en priorité les fonctions unionistes dont dépend sa perpétuation et en contrôlant la force du consensus sur lequel repose la reproduction des principes essentiels de l’Etat. Celui-ci doit, du mieux possible, protéger chacune des régions contestées contre les agressions externes et leur assurer les conditions de leur intégrité physique. En même temps, à l’autre terme de la position, chaque région concernée est soumise sans aucune médiation aux exigences et sollicitations de son propre corps et, même si une réponse ne peut leur être apportée que dans le cadre d’une relation avec la monarchie, l’exercice des fonctions de l’État et de son activité politique constitue le socle du système des échanges sur lequel repose tout lien avec les institutions internationales.

Le Souverain a appelé l’Algérie à cesser de contrarier la logique de l’histoire et à renoncer à ses manœuvres désespérées visant à torpiller la dynamique enclenchée par la proposition de l’autonomie. Qu’en pensez-vous?
Diplomatiquement c’est là une position de fermeté à l’égard de l’Algérie, des Nations Unies et des pays susceptibles de demander certaines concessions supplémentaires au Maroc. Le Maroc nomme et responsabilise directement un pays voisin sur la situation du blocage total dans lequel se trouve le dossier du Sahara. Il y a là matière à édifier un champ de convergences. Non pas en comparant un à un des faits que l’on dénaturerait en les sortant de leur contexte, mais plutôt en recherchant quelques similitudes ou rapprochements possibles du point de vue des positions standards de l’État algérien. C’est là qu’un projet politique de l’opposition stratégique peut prendre corps, fondé sur les incompréhensions des situations génératrices des conflits, c’est-à-dire tout le contraire d’un discours sur l’efficacité morale des systèmes de solidarité interrégionale. Seule une vision totalement externe aux intérêts stratégiques de l’État algérien est a priori en mesure d’accélérer les phénomènes d’intégration régionale du Maroc et de l’Algérie dans un processus de proximité et de compréhension politique. Les déconnexions actuelles sont à la limite de la légalité, et éclairent d’une manière particulière l’action de l’État en tant qu’institution régulatrice du conflit régional avec un État tiers.

En réaction au discours de SM le Roi, le front séparatiste a dit que ce discours attise la guerre. Comment réagissez-vous à cela?
Le message de fermeté a été compris comme une volonté d’avancement dans la position unilatérale du Maroc face à la résistance algérienne et polisarienne. Il reste aux Nations Unies de le comprendre et de faire en sorte que les suites du processus de règlement prennent en conséquence cette détermination. L’analyse de la position du front Polisario suppose donc une position d’observateur qui permet de saisir les enjeux d’une situation et aussi les restes. D’un point de vue stratégique, l’observation rapprochée selon une volonté d’aggravation de la déclaration royale se déploie comme une volonté de responsabilisation du Maroc. Les enjeux se calquent des positions antérieures qui rappellent la volonté conflictuelle, les repères et les indices implicites, les fragments d’attention, les objets d’obsession et aussi ces détails dont l’importance peut être mise entre parenthèses. De ce point de vue, il ressort un enjeu important que l’on peut associer à l’objectif général confronté au risque, si souvent critiqué et évité en milieux internationaux, préférant d’emblée articuler le vécu conflictuel au schéma relationnel : le suivi du dossier à travers les efforts déployés par les Nations Unies.