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jeudi 26 novembre 2009

En refusant de mentionner à son arrivée, à l’aéroport de Laâyoune, sa nationalité sur sa fiche d’entrée au territoire, Aminatou


En refusant de mentionner à son arrivée, à l’aéroport de Laâyoune, sa nationalité sur sa fiche d’entrée au territoire, Aminatou



En refusant de mentionner à son arrivée, à l’aéroport de Laâyoune, sa nationalité sur sa fiche d’entrée au territoire, Aminatou Haidar a, dès lors, choisi son bord…

Dans une déclaration faite, lundi 16 novembre 2009, à la 1ère chaîne de télévision marocaine publique le président du CORCAS, Khelli Hanna Oueld Rachid, a déploré que « Aminatou Haidar, anciennement militante des droits de l’homme, se soit perfidement convertie en porte-voix et en porte-étendard des ennemis de notre intégrité territoriale ». Allusion faite aux actions qu’elle mène à l’international pour promouvoir les thèses algéro-polisariennes et à l’acte hautement provocateur, de défiance aussi, qu’elle a commis à son arrivée à l’aéroport de Laâyoune.

Qui est Aminatou Haidar ?
Activiste des droits de l’homme, Aminatou sera arrêtée en 1987. A cette époque la machine répressive de Driss Basri, qui ne faisait pas dans le détail, happait, sans états d’âme, autant au nord qu’au sud du Royaume. Libérée, elle bénéficiera, quelque temps plus tard, dans le cadre de l’IER d’une indemnisation de 480.000 DHS. Arrive alors pour cette jeune femme sahraouie l’heure de faire le choix entre aller rejoindre la très faible minorité établie en territoire algérien, à Tindouf, ou s’établir dans les provinces du sud où vit en toute quiétude la très grande majorité de Sahraouis. Aminatou n’optera de façon claire pour aucune des deux alternatives qui s’offrent à elle. Elle préfère jouir des avantages et privilèges qu’elle pourra glaner en tanguant entre les deux. Cette situation lui permet de jouir pleinement des droits que lui confère sa citoyenneté marocaine et de tirer parallèlement profit des avantages que peut procurer son instrumentalisation par ses employeurs algériens. D’autant plus qu’Alger paye bien ce genre de services…

Drapée dans l’étendard algérien
Ainsi, on la verra un peu partout dans les capitales européennes et américaines, où elle part prêcher l’indépendantisme. Le plus souvent accompagnée et encadrée par des officiels algériens qui, soit dit en passant, ne se donnent même plus la peine de rester en retrait. Comme le montre d’ailleurs la photo qui accompagne ce papier et où l’on voit A. Haidar drapée dans l’étendard algérien en compagnie de l’ambassadeur d’Alger à Washington, Abdallah Baâli.

Cette photo parle et surtout renseigne sur le degré de félonie atteint par celle que certains s’emploient à ériger au rang d’icône, en Ghandi du coin entre autres comparaisons aussi légères que ridicules. Aminatou Haidar, c’est juste l’intelligence… Avec l’ennemi.

En refusant de mentionner à son arrivée à l’aéroport de Laâyoune sa nationalité sur sa fiche d’entrée dans le territoire, Aminatou Haidar a, dès lors, choisi son bord : celui des félons.

Aussi, lors du dernier discours du Souverain – 6 novembre 2009 – un avertissement a clairement été signifié à tous ceux qui s’adonnent au double jeu, à la collusion et à l’intelligence avec les ennemis de l’intégrité territoriale. Visiblement, Aminatou Haidar s’adonnait aux trois.

Elle devait savoir par ailleurs qu’entre prêcher l’indépendantisme et servir les desseins des galonnés d’Alger, la nuance est, sans équivoque aucune, de taille.

communiqué ASM


communiqué ASM


Suite au communiqué diffusé hier soir par le Secrétaire Général de l’Onu Monsieur Ban Ki-moon, l’Association le Sahara Marocain de par sa position d’un des acteurs de la société civile marocaine active dans le dossier du sahara, informe Monsieur le Secrétaire Général de l’Onu qu’il n’y’a pas de quoi être préoccupé, la situation dans les provinces du sud du Maroc est calme, ses habitants vivent dans la sérénité et la quiétude dans leur pays tout en exerçant leurs droits en tant que citoyens marocains, d’après des informations crédibles de l’ASM, le Maroc officiel est engagé positivement pour la recherche d’une solution pacifique au conflit du sahara sous les auspices de l’ONU.


Concernant l’arrestation des 7 personnes interpellés au Maroc dont parle le communiqué, il ne s’agit pas d’une arrestation due à leurs opinions politiques ou leur voyage à Tindouf mais à cause de leur coopération avec un groupe armée et avec un service de renseignement étranger ennemi en vue de déstabiliser la sécurité intérieur du Maroc et les preuves matériels de ce complot sont disponibles sans oublier que tout pays aussi démocratique soit il réagirait comme l’a fait le Maroc tout en leur garantissant un procès équitable.


Concernant Aminatou Haidar qui en collaboration avec les séparatistes dudit ‘’Front Polisario’’ et autorités algériennes avait mis en exécution son scénario de provocation envers le Maroc, arrivée à Laâyoune le 13 novembre courant, elle a refusé de remplir la fiche de police, provoquée les forces de l’ordre en les insultant avant de demander à être destituée de sa nationalité marocaine.


Les autorités marocaines n’ayant pas réagit comme le stipule la loi, de l’arrêter et la présenter devant un juge pour outrage à agents des forces de l’ordre comme le ferait tout pays, ils l’ont installé dans une salle, autoriser sa famille à rester avec elle et respectés leur intimité avant de faire venir le procureur du Roi après que Haidar ait réclamé et exigé sa présence pour entamer la procédure de destitution de sa nationalité. Aussitôt elle a rendue de son propre gré au procureur le passeport et sa carte d’identité nationale pour reprendre l’avion vers les îles Canaries donc il ne s’agit nullement d’une expulsion.


L’Association le Sahara Marocain tient à rappeler en tant qu’acteur de la société civile marocaine qu’il n’y’a aucun regain de tension de la part du Maroc, il ne s’agit que d’un leurre à l’ONU et avec elle les instances internationales de la part des séparatistes dudit ‘’Front Polisario’’ soutenus par l’Algérie.


Par contre, l’ASM demande au Secrétaire Général de l’ONU de se pencher sur le cas urgent de la population des camps de Tindouf à travers le HCR en procédant sans délai à son recensement afin de pouvoir définir leurs besoins humanitaires, mettre en exécution le projet d’ouverture d’un pont terrestre entre l’Algérie et le Maroc pour les échanges des visites familiales, octroyer à la population la liberté de choisir de rallier le Maroc ou autre destination de son choix, se pencher sur la situation des droits de l’Homme dans les camps qui sont les seuls camps au monde contrôlé et dirigé par un groupe armé conjointement avec l’armée algérienne

mardi 24 novembre 2009

Clarté, fermeté et détermination


Clarté, fermeté et détermination


Dans Son discours claire, ferme et déterminé, à l'occasion de la célébration du 34ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte, S.M. le Roi a réitéré la fidélité au serment de la Marche Verte et à son esprit créateur et l'attachement à l'intégrité territoriale, à la souveraineté nationale et à la marocanité du Sahara qui constitue pour le peuple marocain une cause sacrée.

S.M. le Roi a renouvelé l'engagement de poursuivre le processus démocratique et de réaliser le développement général en accordant la priorité à nos provinces sahariennes.
Dans ce cadre, S.M le Roi a tracé les bases d'un plan intégré qui comporte cinq orientations en donnant la priorité dans le processus de la régionalisation avancée aux provinces du Sud et pour en faire un modèle de décentralisation et de bonne gouvernance.
Ce plan comporte aussi la restructuration du CORCAS et la révision des compétences de l'Agence de développement des provinces sahariennes.
S.M. le Roi appelle aussi les instances politiques, syndicales, associatives et médiatiques à se mobiliser pour encadrer les citoyens et ancrer les valeurs de civisme et de patriotisme.
Le peuple marocain, qui est unanime en ce qui concerne la défense de la marocanité de son Sahara, reste mobilisé pour faire échec à tout plan de conspiration contre son intégrité territoriale et contre ses institutions sacrées.
Le Maroc, qui est un Etat de droit, ne peut accepter que les acquis réalisés en matière de libertés et de Droits de l'Homme soient exploités pour comploter contre son unité, sa souveraineté et son intégrité territoriale.
Il n'y a plus de place pour l'ambiguïté et la duplicité. L'heure est à la clarté et au devoir assumé et il n'y a pas de juste milieu entre la trahison et le patriotisme.
Le Maroc n'a de leçons à recevoir de personne en matière de démocratie et de respect des Droits de l'Homme et aucun pays ne peut accepter qu'on complote contre son intégrité territoriale, sa souveraineté et sa sécurité.
Le Maroc est respectueux des textes de loi et il est en droit de sanctionner les conspirateurs et les traîtres.
Le peuple marocain est unanime derrière son Roi pour défendre la marocanité de ses provinces du Sud et pour faire face à toutes les manœuvres qui visent son intégrité territoriale.
Le peuple marocain adhère pleinement au plan royal relatif aux provinces du Sud et soutient toutes les initiatives de S.M. le Roi pour faire aboutir le processus de paix onusien relatif à la mise en place d'une autonomie interne avancée au Sahara, dans le cadre la souveraineté nationale et du respect de notre intégrité territoriale.

Abolir l’émigration forcée des mineurs à Tindouf


Abolir l’émigration forcée des mineurs à Tindouf

La Ligue Marocaine pour la Défense des Droits Humains, toute acquise à ses principes de défendre les libertés fondamentales de l’individu comme ils sont énoncés par les conventions et les pactes internationaux et la condamnation des violations des valeurs de ces droits, a appelé le samedi 21 novembre 2009 à une conférence internationale en association avec l’Alliance Marocaine pour la Protection de l’Enfant, sous le thème : Emigration forcée des enfants mineurs, quelles perspectives et à laquelle avaient participé en première partie le docteur imminent M. Wassef Mansour, Mme la ministre conseiller auprès de l’ambassade de Syrie Khouzam Mustapha, M. Hafid Zaïdi représentant le ministère de la Justice, M. Mustapha Al Horr du ministère des Affaires étrangères, M. Jamal Shimi du ministère de la Jeunesse et des Sports et M. Abderrazak Boughambour représentant la LMDDH.
Cette première partie s’est étalée sur des expériences personnelles vécues dans l’enfance pour soi-même ou pour l’entourage. Les représentants des différents ministères avaient évoqué chacun dans son domaine les problématiques rencontrées puis les quelques solutions à pouvoir élaborer dans l’intention d’arrêter l’hémorragie qui gagne en espace et en temps un pays comme le Maroc facilement atteint.
La seconde partie fut plutôt sociologique avec le long mais intéressant exposé du professeur Mustapha Mohcine qui a mis sous la loupe les causes de cette émigration dont notamment l’infrastructure primitive de nos écoles, taux de rétention avec 4 millions d’élèves hors écoles, l’analphabétisme, etc. Rachid Bekkaj, chercheur méritant de l’AMPE, dévoilera plutôt le côté esprit de l’enfance qui nie son réel marocain pour s’attacher à l’extérieur donnant en exemple l’attachement au duel Réal Barça et ce qui s’en suit… ce mental qui s’enfuit ailleurs, M. Taoufiq Qbab relatera le militantisme, puis M. Nordine Ben Haddad, ce spécialiste dans les affaires du Sahara, Zhari Mohamed régisseur, ensuite Fouad Massara.
Quant à M. Abdelkader Alami, président de la LMDDH, le référentiel de la LMDDH est le patrimoine culturel humanitaire refusant l’injustice et la répression et défendant la liberté. M. Alami n’a pas tari d’appeler avec fermeté à la levée de « l’embargo » sur nos enfants séquestrés à Tindouf et recourir, par tous les moyens, à la sensibilisation nationale et internationale aux valeurs et principes des droits des enfants forcés d’émigration et séquestrés dans des conditions on ne peut inhumaines.
Cette conférence, organisée à l’Institut Supérieur de Justice, a eu l’impact souhaité en attendant davantage d’interventions sur le terrain à l’intérieur comme à l’extérieur du Royaume.

Laâyoune: la caravane “Oui à l’autonomie” met en exergue le rôle central des médias


Laâyoune: la caravane “Oui à l’autonomie” met en exergue le rôle central des médias

Les participants à la caravane “Oui à l'autonomie”, organisée, vendredi à Laâyoune, ont mis en exergue le rôle central des médias dans la défense des causes nationales, notamment l'appui du projet d'autonomie au Sahara marocain sur les plans national et international.

Lors de la 2ème rencontre nationale de la caravane, placée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, les intervenants ont appelé les médias à tirer profit des Nouvelles technologies de l'information pour mettre en avant les avantages et les dimensions de l'initiative d'autonomie, à l'intérieur comme à l'extérieur du Royaume, ainsi que les réalisations accomplies dans différents domaines dans les provinces du sud.

Le Maroc a adopté la politique de décentralisation depuis 1976 et dispose actuellement d'une bonne expérience en matière de régionalisation, ont-ils relevé, rappelant le contenu du discours royal, prononcé à l'occasion de la Marche verte, appelant à ce que les provinces du sud bénéficient d'une régionalisation avancée.

L'accent a été également mis, lors de cette rencontre qui se poursuivra jusqu'au 25 décembre prochain à Assilah, Fès et Rabat, sur la communication via Internet, citant en exemple la stratégie du Conseil Royal Consultatif pour les affaires sahariennes (CORCAS), représenté à la manifestation par son Secrétaire général Dr. Maouelainin Ben Khali Hanna Maouelainin, qui s'était doté de six sites Internet, en huit langues (Araba, Français, Espagnol, Anglais, Russe, Italien, Allemand et Portugais).

Ils ont également souligné le rôle important que peuvent jouer les médias locaux dans la mobilisation et la sensibilisation sur les questions nationales, à travers le lancement de débats pour donner l'occasion au public de s'exprimer et de présenter des propositions consacrant le processus démocratique et l'unité nationale.

Le directeur et initiateur de la caravane, M. Larbi Aqasbi, a indiqué à cette occasion que cette initiative vise essentiellement à soutenir le projet d'autonomie marocain aux niveaux national et international, précisant que cette rencontre intervient pour confirmer l'unanimité nationale autour de ce projet qualifié de “sérieux” et de “crédible” par la communauté internationale.

lundi 23 novembre 2009

Aminatou Haidar; La diva préfabriquée


Aminatou Haidar; La diva préfabriquée

Selon APS, l’agence de presse algérienne, «Les autorités sahraouies ont appelé le gouvernement espagnol à permettre à la militante sahraouie de retourner à son pays, le Sahara occidental, et d’œuvrer pour qu’elle puisse jouir de tous ses droits, y compris la liberté d’expression et de circuler». Cet appel imputable au pseudo ministre sahraoui des Affaires étrangères, M. Mohamed Salem Ould Salek, laisse très perplexe. Comment exiger pour Aminatou Haidar ce qui est strictement refusé, avec l’aide de l’armée algérienne, pour les dizaines de milliers de Sahraouis marocains séquestrés à Tindouf. Il y a là, au-delà de l’aspect politique, un vrai problème de bon sens et de responsabilité morale. La diva préfabriquée refuse de s’identifier comme marocaine alors qu’elle est porteuse de documents de voyage et d’identité marocains. C’est son choix, elle en tire les conséquences. Mais réclamer pour elle la liberté de circuler celle-là même dont sont privés les séquestrés est le comble de l’absurde. Nous sommes, certes, habitués avec le Polisario à ce type de raisonnement mais il y a un nouveau palier qui vient d’être franchi. Dans ce cas, pourquoi Mohamed Abdelaziz, lui-même, ne viendrait-il pas à Laâyoune réclamer ce qui prévalait pour Aminatou, Salek et ses amis, à savoir profiter de la démocratie marocaine pour mieux dépecer la Nation pour le compte de l’Algérie. Aujourd’hui les choses sont claires. Il y a une ligne à la fois physique et politique. Celle de la clarification. Au-delà de la ligne, c’est du séparatisme — il a un coût juridique —, en deçà, c’est de l’unionisme, il génère des droits que confère la citoyenneté marocaine. En quelques semaines perdre Aminatou, Salek et ses amis c’est la preuve que le Polisario est désormais en mode panique. Il perd la main.

Manifestation à Barcelone de soutien au projet d'autonomie au Sahara marocain


Manifestation à Barcelone de soutien au projet d'autonomie au Sahara marocain


Une manifestation de soutien au projet d'autonomie de la région du Sahara, dans le cadre de la souveraineté du Maroc et de son unité nationale, a eu lieu samedi dans la soirée à Barcelone, avec la participation de centaines de Marocains résidant en Espagne.

La manifestation, qui s'est déroulée à la célèbre Place de la Cathédrale dans la capitale catalane Barcelone, a été marquée par la présence de nombre de présidents d'Associations Sahraouies en Espagne, de présidents des associations Catalanes d'Origine Marocaine et de plusieurs organisations de la société civile en Espagne.

Convoquée à l'appel de plusieurs associations de la communauté Marocaine établie en Catalogne ainsi que par des associations Sahraouies en Espagne, la manifestation entre dans le cadre de la mobilisation des Marocains d'Espagne, en réponse au discours historique de SM le Roi Mohammed VI à l'occasion de du 34e anniversaire de la Marche Verte.

Organisée sous le slogan "Oui au statut d'Autonomie au Sahara Marocain", cette manifestation a connu la participation de centaines de Marocains venus de l'ensemble des régions d'Espagne, ainsi que des Sahraouis des provinces du sud du Maroc qui ont arboré avec fierté le drapeau Marocain et des banderoles, appelant à mettre un terme au conflit artificiel sur le Sahara entretenu par le Polisario.

Cette manifestation réaffirme le soutien des Sahraouis à la proposition du Maroc d'accorder une large autonomie au Sahara, a affirmé à la MAP, le président de l'Association Sahraouie de l'Unité Territoriale (ASUT) en Espagne, Ahmed Salla, pour qui "la proposition du Maroc constitue la solution pour résoudre le contentieux du Sahara".

Il a également ajouté que la manifestation se veut "un appel" lancé à toutes les consciences vives de par le monde, dans la ville internationale de Barcelone, pour libérer les populations sahraouies séquestrées dans les camps de Tindouf en Algérie et de permettre aux organisations internationales de procéder à leur recensement.

M. Salla, a dénoncé les violations systématiques des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf et les tortures auxquelles sont soumises les populations sahraouies par les tortionnaires du Polisario.

Avec cette manifestation, les Marocains d'Espagne ont exprimé en toute clarté leur sentiment envers la cause nationale et leur totale adhésion au discours de SM le Roi Mohammed VI à l'occasion du 34e anniversaire de la Marche Verte, a souligné, de son côté, le président de l'Association sahraouie de défense des droits humains (ASADEH), basée en Catalogne, Messaoud Ramadan.

Dénonçant les actes de certains individus qui profitent à mauvais escient du climat d'ouverture et de démocratie au Maroc pour porter atteinte au sentiment de l'ensemble des Marocains de Tanger à Lagouira au sujet de l'intégrité territoriale du Royaume, M. Messaoud Ramadan a tenu à renouveler l'attachement des Sahraouis à leur marocanité.

Pour la parlementaire Marocaine d'origine Sahraouie, Mme Salla Boussoula, cette manifestation est l'occasion pour faire entendre la voix de la diaspora sahraouie en Espagne au sujet du conflit du Sahara, se félicitant de la grande mobilisation des associations sahraouies en Espagne pour la défense de la cause nationale et de l'intégrité territoriale du Royaume.

La manifestation, qui a drainé des centaines de personnes, a offert aussi l'opportunité de dévoiler devant l'opinion publique espagnole les violations des droits de l'Homme perpétrées par le Polisario.

La manifestation de Barcelone vient confirmer l'attachement de l'ensemble des Marocains, dans le Royaume et à l'étranger, pour la défense de l'unité territoriale du Maroc et leur soutien du projet d'Autonomie du Sahara comme la solution la mieux indiquée pour résoudre le conflit artificiel autour du Sahara, a indiqué le président de l'Association Sahara Marocain (ASM), Réda Taoujni qui a pris part à la manifestation.

Les manifestants ont revendiqué, à cette occasion, la levée du blocus imposé aux populations sahraouies dans les camps de Tindouf, appelant le Haut Commissariat de l'ONU pour les Réfugiés (HCR) à procéder à un recensement des Sahraouis de Tindouf pour identifier leurs besoins et leurs aspirations.

Le président de la Fédération des Entités Culturelles Catalanes d'origine Marocaine (FECCOM) et parlementaire Catalan d'origine Marocaine, Mohamed Chaib, a réaffirmé, pour sa part, la totale adhésion des Marocains de Catalogne et sa mobilisation pour la défense de l'unité et de l'intégrité territoriale du Maroc.

"Il est du devoir de tout Marocain et de toute marocaine, au Maroc et à l'étranger, de faire de la défense de la cause nationale son sacerdoce", a-t-il dit, affirmant que la proposition marocaine d'accorder une large autonomie aux provinces sahariennes est le meilleur moyen pour résoudre la question du Sahara.

La vice-présidente de l'association des femmes immigrées en Catalogne (UMMI), Mme Latifa Hassani, a affirmé, quant à elle, que l'ensemble de la communauté Marocaine établie en Espagne, qui a fait part de sa totale adhésion au discours Royal du 6 novembre dernier, est mobilisée pour la défense de l'intégrité territoriale du Royaume.

"La communauté marocaine établie en Espagne dénonce avec force les derniers agissements des ennemis de notre intégrité territoriale et revendique la libération immédiate des citoyens Marocains séquestrés dans les camps de Tindouf", a-t-elle dit.

L'initiative d'autonomie, mettra un terme aux souffrances des femmes dans les camps de Tindouf (organisations féminines)


L'initiative d'autonomie, mettra un terme aux souffrances des femmes dans les camps de Tindouf (organisations féminines)


Des organisations féminines à Laâyoune ont plaidé, dimanche, pour l'accélération de la mise en oeuvre de l'initiative d'autonomie des provinces du sud, considérée comme étant l'unique solution possible pour régler définitivement le conflit artificiel du Sahara et mettre un terme aux souffrances des femmes et des enfants dans les camps de Tindouf.

"La mise en œuvre de cette solution mettra un terme aux souffrances des mères et des enfants dans les camps de Tindouf où ils sont soumis à des formes atroces d'exploitation et d'intimidation morales et sexuelles, tout comme ils sont victimes d'actes de séparation entre les femmes et leur progéniture, contraints d'ailleurs à vivre ailleurs loin du giron familial et de l'affection maternelle", ont souligné ces organisations dans une lettre adressée au Secrétaire général des Nations-Unies, M. Ban Ki-moon, et dont lecture a été donnée au cours de la rencontre de communication tenu au Palais des Congrès à Laâyoune.

Dans cette lettre, elles ont relevé que "les seuls bénéficiaires de cette catastrophe humanitaire "qui "ne doit pas être oubliée" sont "les dirigeants de l'Algérie et leurs pions au +polisario+ et certains séparatistes à l'intérieur qui ne représentent qu'eux même et font de la surenchère politique et de la question des droits de l'homme un fonds de commerce pour s'enrichir ".

Elles ont noté que "les derniers développements à travers lesquels les services de renseignement algériens ont tenté de détourner les regards des souffrances de nos parents vivant depuis plus de 35 ans sur le sol algérien, en créant de toutes pièces l'affaire de la dénommée Aminatou Haidar, constituent une fuite en avant et un désengagement des responsabilités pour ne pas s'asseoir à la table des négociations supervisées par les Nations-Unies en vue d'aboutir à une solution juste et durable de la question du Sahara".

"La seule représentativité féminine légale reconnue à l'échelle internationale est celle émanant des urnes au moyen d'élections démocratiques", ont-elle fait remarquer, condamnant "les tentatives vaines des services de renseignement algériens et leurs compères dans les camps de Tindouf visant à présenter et imposer certains noms comme étant des représentants des sahraouis et sahraouies".

Elles ont également exprimé leur confiance dans le travail effectué par M. Ban-Ki-moon, à la tête de l'ONU pour renforcer la paix et la sécurité internationales, mettant en valeur les efforts déployés par ses représentants et ses envoyés et l'ensemble des composantes de la mission de la MINURSO pour encourager toutes les parties au dialogue en vue d'aboutir à une solution juste et réaliste au conflit artificiel du Sahara marocain.

vendredi 20 novembre 2009

Le Sénat colombien réitère son appui à la souveraineté du Maroc et au plan d'autonomie au Sahara

Le Sénat colombien réitère son appui à la souveraineté du Maroc et au plan d'autonomie au Sahara
Le président du sénat colombien, le sénateur Javier Enrique Caceres Leal, a réitéré l'appui de l'institution qu'il préside à la souveraineté du Maroc et au plan d'autonomie au Sahara.
M. Javier Enrique Caceres Leal, qui recevait, mercredi à Bogota, l'ambassadeur du Royaume, M. Noureddine Khalifa a affirmé que les négociations constituent le moyen approprié pour parvenir à une solution juste et définitive de ce différend.

Lors de l'entretien, le diplomate marocain a informé son interlocuteur, également président du Congrès colombien, des derniers développements de la question du Sahara et de la situation dramatique des détenus dans les camps de Tindouf, rappelant à cet égard, la position exprimée par le Haut Commissaire des Nations Unies pour les Réfugiés, M. Antonio Gutierrez.

MM. Caceres Leal et Khalifa ont, par ailleurs, examiné les moyens de renforcer les relations de coopération entre les institutions législatives des deux pays, relevant notamment l'importance de la création d'un groupe d'amitié parlementaire Colombie-Maroc au niveau du Sénat.

Le polisario et ses partisans recourent à la désinformation en désespoir de cause (ONG maroco-américaine)

Le polisario et ses partisans recourent à la désinformation en désespoir de cause (ONG maroco-américaine)

Le polisario et ses partisans, telle que la dénommée Aminatou Haidar, recourent, dans une tentative désespérée, à la désinformation afin d'empêcher que la vérité n'éclate au grand jour, souligne jeudi l'ONG "Washington Moroccan Club".

"L'intention cachée derrière ces agitations est de détourner l'attention des abus dont souffrent nos frères dans les camps de séquestration en Algérie", dénoncent cette ONG maroco-américaine, pour qui la propagande ne peut en aucun cas s'élever au dessus de l'Etat de droit.

"Notre communauté ici à Washington et partout sur le territoire américain est fière des progrès réalisés au Maroc sur les plans politique, social et des droits de l'Homme sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI", souligne l'ONG dans un communiqué.

Le "Washington Moroccan Club" a salué, d'autre part, la dernière déclaration de la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, qui avait affirmé que la position de l'Administration Obama vis-à-vis du plan marocain d'autonomie au Sahara demeure inchangée, un plan que Washington avait, à plusieurs occasions, qualifié de "sérieux" et de "crédible".

"Il n'était donc pas surprenant que le polisario et ses partisans, telle que Aminatou Haidar, tentent de dévier l'attention de la véritable problématique en recourant à des accusations infondées", conclut le communiqué.

Dénonciation des actes de mercenariat


Dénonciation des actes de mercenariat

Les associations ont été unanimes à fustiger "les agissements irresponsables et les actions hostiles" d'Aminatou Haidar.
Les associations sahraouies en Espagne ont dénoncé les agissements provocateurs de la dénommée Aminatou Haidar qui, à travers ses actes de trahison et de mercenariat, a porté atteinte aux sentiments de l'ensemble du peuple marocain concernant la sacralité de l'unité territoriale du pays.
Ces associations ont été unanimes à fustiger, dans des déclarations à la MAP, "les agissements irresponsables et les actions hostiles" d'Aminatou Haidar, ainsi que "les vils instruments auxquels elle recourt dans une tentative désespérée de semer la zizanie".

Pour le président de l'Association sahraouie pour la défense des droits humains (ASADEH), Ramdan Mesaoud, "l'on ne peut être tolérant avec ce genre de personnes à la solde de parties étrangères adversaires de l'intégrité territoriale du Royaume, et qui sont utilisées pour porter atteinte au Maroc et comploter contre son unité".
Le président de l'ASADEH, basée à Barcelone en Catalogne, a également dénoncé "les agissements de Haidar qui a profité du climat de démocratie et de grande ouverture au Royaume pour trahir la Nation et provoquer les Marocains dans leurs sentiments".

"Nous ne pouvons accepter encore moins tolérer ce genre d'agissements et de provocations", a-t-il assuré.
Il a également affirmé que l'ensemble des citoyens sahraouis dénoncent les agissements séparatistes de la dénommée Haidar, une personne qui a renié ses origines et pour laquelle ils n'ont aucune considération.

Le président de l'Association sahraouie "Hiwar", dont le siège se trouve à Séville, Abderrahim Berdiji, a lui aussi fustigé avec virulence, dans des déclarations similaires à la MAP, "les agissements de certaines personnes qui reçoivent les ordres de parties étrangères dépitées par la grande dynamique que connaissent les provinces du Sud du Royaume aussi bien en termes de démocratie que de développement local".
Selon M. Berdiji, la dénommée Aminatou Haidar qui a provoqué par ses positions les sentiments de l'ensemble des Marocains attachés à leur Nation, utilise "une politique préméditée" pour porter atteinte au Maroc et à son intégrité territoriale, exploitant à mauvais escient le climat de liberté d'expression et de démocratie qui règnent dans le Royaume.

Aminatou Haidar qui prétend être "une militante des droits de l'Homme", instrumentalise cette question dans une tentative de plaire à certaines parties étrangères hostiles à l'intégrité du Royaume.
"Pourquoi cette pseudo-militante des droits de l'Homme n'a jamais pris la peine de dénoncer encore moins parler des terribles violations des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf et les 69 décès enregistrés dans le fameux bagne d'Errachid à Tindouf ?", s'est-il encore interrogé.

Pour sa part, le président de l'Association des amis de Sidi Ifni Baamrane de Catalogne, Hassan Bouhouche, a affirmé que le comportement provocateur d'Aminatou Haidar constitue non seulement une atteinte aux sentiments de l'ensemble des Marocains attachés à l'unité de leur pays, mais également aux constantes sacrées de la nation marocaine. "L'on ne saurait être tolérant avec ce genre d'agissements répréhensibles", a-t-il dit.
Il a également dénoncé les tentatives de certaines parties pour faire échouer le processus de négociations sous les auspices des Nations unies et porter atteinte à la proposition d'Autonomie du Sahara présentée par le Royaume et qui a été favorablement accueillie au niveau national et international.

Aminatou Haidar avait refusé, à son arrivée vendredi matin à l'aéroport de Lâayoune, d'accomplir les formalités de police, notamment la fiche de débarquement comportant, comme l'exige la réglementation internationale, des renseignements sur l'identité, la résidence et la nationalité du voyageur.
Lors de son audition, l'intéressée a renié sa nationalité marocaine et réaffirmé son engagement permanent à défendre et à appuyer les thèses des séparatistes.

Une personne qui renie sa nationalité ne mérite aucun respect
Le président du Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes (CORCAS), Khalihenna Ould Errachid, a estimé lundi qu'une personne qui renie sa nationalité ne mérite aucun respect. «Nous estimons qu'une personne qui renonce à sa nationalité et qui la renie ne mérite aucun respect», a affirmé M. Ould Errachid à la presse, en référence au comportement de la dénommée Aminatou Haidar, ajoutant qu'une telle personne est «dépourvue des attributs minimaux de l'humanité.» «La nationalité est sacrée et tout le monde doit la respecter», a-t-il souligné notant que cette nationalité «ne doit faire l'objet d'aucun marchandage politique».M. Ould Errachid qui a condamné ces agissements, estimant qu'ils «se situent en dehors de l'unanimité nationale et des intérêts des citoyens» a également rappelé que la dénommée Aminatou Haidar qui «prétendait être une militante des droits de l'Homme rencontrait, en cette qualité, les organisations internationales de défense des droits de l'Homme et s'activait en tant que telle.» «Elle n'avait pas auparavant renoncé à sa nationalité marocaine, ni à ses droits en tant que citoyenne marocaine», a-t-il poursuivi, soulignant qu'elle a trahi tout le monde, en premier lieu les autorités qui lui réservaient un bon traitement et les personnes auxquelles elle se présentait comme militante des droits de l'Homme n'intervenant pas en politique.

En réalité, «elle représente les séparatistes et œuvre dans ce sens,» a-t-il fait remarquer, ajoutant que la dénommée Haidar «s'est engagée dans une entreprise séparatiste évidente commanditée par des parties étrangères pour comploter contre les intérêts nationaux suprêmes du Royaume du Maroc, notamment son intégrité territoriale».

Visite à Dakhla d'un ancien démocrate au Congrès américain

Visite à Dakhla d'un ancien démocrate au Congrès américain


L'ancien leader et ex-chef adjoint de la majorité démocrate au Congrès américain, Bill Gray, s'est informé, mercredi à Dakhla, du processus de développement local, avant de s'entretenir avec des ralliés qui ont fui les camps de Tindouf pour regagner la mère-patrie.

Dans une déclaration à la presse à l'issue d'une entrevue avec le wali de la région de Oued-Eddahab-Lagouira, gouverneur de la province de Oued-Eddahab, Hamid Chabar, M. Gray a souligné que cette rencontre «lui a permis de s'informer sur l'expérience de la région et de prendre connaissance du processus en cours pour assurer une meilleure vie aux populations locales, en droite ligne de la vision Royale concernant le développement économique et la justice sociale».

Lors de ses entretiens avec les ralliés, M. Gray a assisté à une série de témoignages sur les violations des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf et les pratiques d'intimidation auxquelles se livrent le «polisario» pour réprimer la population de ces camps et faire taire toutes les voix qui s'élèvent contre ses agissements.

Les intervenants ont passé en revue des actes de répression et d'humiliation commis à l'encontre des séquestrés dans les geôles du «polisario» et les manœuvres de ce dernier pour détourner les aides humanitaires destinées aux populations de Tindouf et faire perdurer ce conflit artificiel.

Une activiste du Polisario refuse d’exercer son droit au retour


Une activiste du Polisario refuse d’exercer son droit au retour

C’est une première dans les annales du droit international qui s’est déroulée vendredi 13 Novembre 2009 à l’aéroport International Hassan 1er de Laayoune : une activiste du Front Polisario, vivant néanmoins au sein du Maroc, a décidé de ne pas décliner sa nationalité lors de son arrivée, obligeant les autorités marocaines à lui refuser l’entrée sur le territoire.

L’originalité de la démarche réside dans le fait qu’Aminatou Haïdar, qui a par la même occasion tenté d’instrumentaliser deux journalistes étrangers qui l’accompagnaient, a tenté de faire croire qu’elle était une ressortissante d’un pays virtuel, reconnu par aucune instance internationale, le « Sahara Occidental ».

Ce dernier serait ainsi passé d’une localisation géographique (l’ouest du Sahara), à un pays imaginaire grâce à un simple coup de baguette magique des donneurs d’ordre de Aminatou Haïdar, en l’occurrence le pouvoir algérien, qui ne peut plus supporter les revers diplomatiques récents qu’il a subis, et a donc décidé de passer à l’offensive en déployant cette ancienne fonctionnaire marocaine, reconvertie dans l’activisme en faveur du mouvement de guérilla du Front Polisario.

Cette situation pourrait être risible s’il n’y avait là tous les ingrédients pour enclencher une véritable crise diplomatique –une de plus- entre le Maroc et l’Algérie, le Royaume chérifien ne pouvant accepter que soit entravé le droit au retour à la mère patrie, applicable non seulement à Aminatou Haïdar, mais à toutes les populations sahraouies vivant sous le double joug de l’armée régulière algérienne, ainsi que du mouvement de guérilla

jeudi 19 novembre 2009

Aminatou Haïdar drapée dans l’étendard algérien avec l’ambassadeur Baali


Aminatou Haïdar drapée dans l’étendard algérien avec l’ambassadeur Baali

Si des doutes pouvaient encore persister dans certains esprits, cette image exclusive vient tous les balayer : oui, Aminatou Haïdar, présentée par certains médias comme la « passionaria » du Front Polisario, est en réalité un agent du pouvoir algérien. Si ce n’était le cas, comment expliquer qu’elle accepte de poser drapée avec l’étendard algérien durant l’été 2008, en compagnie de l’ambassadeur algérien à Washington Abdallah Baali. Cette photo vient également éclaircir un certain nombre de zones d’ombres relatives aux déplacements et au train de vie de M. Haïdar, qui serait donc intégralement prise en charge par le pouvoir algérien. Une source proche du ministère des affaires étrangères algérien explique : « L’argent importe peu, pourvu que des coups médiatiques puissent être montés pour gêner les marocains et continuer à détourner l’attention de l’opinion publique algérienne des vraies questions… ». Le fait que Aminatou Haïdar soit si proche d’Abdallah Baali est également un révélateur de la position de l’ambassadeur algérien à Washington dans le dispositif mis en place pour promouvoir le front Polisario à l’international. En effet, comme l’a dévoilé « Polisario Confidentiel », Abdallah Baali gère directement la question du Sahara aux Etats-Unis, assisté par le cabinet de lobbying « Foley Hoag », qui a encadré Aminbatou Haïdar lors de ses déplacements dans la capitale américaine et lui a organisé des entretiens avec la presse US.



Puisqu’ « une image vaut mille mots », cette photo exclusive de l’activiste en compagnie de son « sponsor » devrait faire méditer un certain nombre de sympathisants du Front Polisario, qui pensent que Mme Haïdar serait victime d’un mauvais procès de la part du Maroc. Ce dernier a, rappelons-le, a décidé de la renvoyer vers les Iles Canaries samedi 14 novembre 2009, après qu’elle ait refusé de s’acquitter des formalités d’entrée. Le militantisme serait-il soluble dans les pétrodollars ? Il semblerait que oui, puisque Mme Haïdar a semble-t-il cédé à la tentation, et s'est compromis avec le pouvoir algérien au point de tout accepter...

Une personne qui renie sa nationalité ne mérite aucun respect (Khalihenna Ould Errachid)

Une personne qui renie sa nationalité ne mérite aucun respect (Khalihenna Ould Errachid)

Le président du Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes (CORCAS), M. Khalihenna Ould Errachid, a estimé lundi qu'une personne qui renie à sa nationalité ne mérite aucun respect.

"Nous estimons qu'une personne qui renonce à sa nationalité et qui la renie ne mérite aucun respect", a affirmé M. Ould Errachid à la presse, en référence au comportement de la dénommée Aminatou Haidar, ajoutant qu'une telle personne est "dépourvue des attributs minimaux de l'humanité."

"La nationalité est sacrée et tout le monde doit la respecter", a-t-il souligné notant que cette nationalité "ne doit faire l'objet d'aucun marchandage politique".

M. Ould Errachid qui a condamné ces agissements, estimant qu'ils "se situent en dehors de l'unanimité nationale et des intérêts des citoyens" a également rappelé que la dénommée Aminatou Haidar qui "prétendait être une militante des droits de l'homme rencontrait, en cette qualité, les organisations internationales de défense des droits de l'homme et s'activait en tant que telle."

"Elle n'avait pas auparavant renoncé à sa nationalité marocaine, ni à ses droits en tant que citoyenne marocaine", a-t-il poursuivi, soulignant qu'elle a trahi tout le monde, en premier lieu les autorités qui lui réservaient un bon traitement et les personnes auxquelles elle se présentait comme militante des droits de l'homme n'intervenant pas en politique.

En réalité, "elle représente les séparatistes et œuvre dans ce sens," a-t-il fait remarquer, ajoutant que la dénommée Haidar "s'est engagée dans une entreprise séparatiste évidente commanditée par des parties étrangères pour comploter contre les intérêts nationaux suprêmes du Royaume du Maroc, notamment son intégrité territoriale"

Le président du CORCAS a par ailleurs souligné que "le séparatisme va totalement à l'encontre des intérêts des habitants de la région, porte atteinte à l'intérêt sécuritaire du Royaume et viole la constitution."

"Celui qui appelle au séparatisme ne cherche pas les intérêts de cette population", a-t-il dit.

"Par conséquent, Aminou Haidar, ceux qui suivent son exemple, ceux qui épousent ses idées et ceux qui travaillent dans le même sens doivent assumer leurs responsabilités, surtout qu'après la proposition d'autonomie présentée par SM le Roi pour régler définitivement la question du Sahara, il ne reste plus aucune raison ni justification pour suivre la voie du séparatisme", a-t-il déclaré.

M. Ould Errachid a en outre signalé que tous ceux qui "soutiennent le séparatisme, oeuvrent dans ce sens ou tentent de porter atteinte à l'unité nationale marocaine, à son unité territoriale ou à sa souveraineté n'ont pas leur place dans la région", considérant qu'ils "traitent de façon évidente et directe avec les ennemis du pays et de ses intérêts suprêmes".

"Il n'y a plus de place chez nous pour l'ambiguïté des positions", a conclu le président du CORCAS.

Les actes de trahison et de mercenariat contre l'intégrité du Royaume dénoncés par les associations Sahraouies en Espagne

Les actes de trahison et de mercenariat contre l'intégrité du Royaume dénoncés par les associations Sahraouies en Espagne


Les associations Sahraouies en Espagne ont dénoncé les agissements provocateurs de la dénommée Aminatou Haidar qui, à travers ses actes de trahison et de mercenariat, a porté atteinte aux sentiments de l'ensemble du peuple Marocain concernant la sacralité de l'unité territoriale du pays.





Ces associations ont été unanimes à fustiger, dans des déclarations à la MAP, "les agissements irresponsables et les actions hostiles" de Aminatou Haidar, ainsi que "les vils instruments auxquels elle recoure dans une tentative désespérée de semer la zizanie".

Pour le président de l'association sahraouie pour la défense des droits Humains (ASADEH), Ramdan Mesaoud, "l'on ne peut être tolérant avec ce genre de personnes à la solde de parties étrangères adversaires de l'intégrité territoriale du Royaume, et qui sont utilisées pour porter atteinte au Maroc et comploter contre son unité ".

Le président de l'ASADEH, basée à Barcelone en Catalogne, a également dénoncé "les agissements de Haidar qui a profité du climat de démocratie et de grande ouverture au Royaume pour trahir la Nation et provoquer les Marocains dans leurs sentiments".

"Nous ne pouvons accepter encore moins tolérer ce genre d'agissements et de provocations", a-t-il assuré.

Il a également affirmé que l'ensemble des citoyens Sahraouis dénoncent les agissements séparatistes de la dénommée Haidar, une personne qui a renié ses origines et pour laquelle ils n'ont aucune considération.

Le président de l'association Sahraouie "Hiwar", dont le siège se trouve à Séville, M. Abderrahim Berdiji, a lui aussi fustigé avec virulence, dans des déclarations similaires à la MAP, "les agissements de certaines personnes qui reçoivent les ordres de parties étrangères dépitées par la grande dynamique que connaissent les provinces du sud du Royaume aussi bien en terme de démocratie que de développement local".

Selon M. Berdiji, la dénommée Aminatou Haidar qui a provoqué par ses positions les sentiments de l'ensemble des Marocains attachés à leur Nation, utilise "une politique préméditée" pour porter atteinte au Maroc et à son intégrité territoriale, exploitant à mauvais escient le climat de liberté d'expression et de démocratie qui règnent dans le Royaume.
Aminatou Haidar qui prétend être "une militante des Droits de l'Homme", instrumentalise cette question dans une tentative de plaire à certaines parties étrangères hostiles à l'intégrité du Royaume.

"Pourquoi cette pseudo militante des droits de l'Homme n'a jamais pris la peine de dénoncer encore moins parler des terribles violations des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf et les 69 décès enregistrés dans le fameux bagne d'Errachid à Tindouf ?", s'est-il encore interrogé.

Pour sa part, le président de l'association des amis de Sidi Ifni Baamrane de Catalogne, M. Hassan Bouhouche, a affirmé que le comportement provocateur de Aminatou Haidar constitue non seulement une atteinte aux sentiments de l'ensemble des Marocains attachés à l'unité de leur pays, mais également aux constantes sacrées de la Nation Marocaine. "L'on ne saurait être tolérant avec ce genre d'agissements répréhensibles", a-t-il dit.

Il a également dénoncé les tentatives de certaines parties pour faire échouer le processus de négociations sous les auspices des Nations-Unies et porter atteinte à la proposition d'Autonomie du Sahara présentée par le Royaume et qui a été favorablement accueillie au niveau national et internationale.

Aminatou Haidar avait refusé, à son arrivée vendredi matin à l'aéroport de Lâayoune, d'accomplir les formalités de police, notamment la fiche de débarquement comportant, comme l'exige la réglementation internationale, des renseignements sur l'identité, la résidence et la nationalité du voyageur.

Lors de son audition, l'intéressée a renié sa nationalité marocaine et réaffirmé son engagement permanent à défendre et à appuyer les thèses des séparatistes.

Le Maroc a transformé la région désertique du Sahara en un véritable espace de développement dynamique (journalistes congolais)



Le Maroc a transformé la région désertique du Sahara en un véritable espace de développement dynamique (journalistes congolais)


Le Maroc a réussi à transformer la région désertique du Sahara en un véritable espace de développement dynamique et aux perspectives prometteuses, ont souligné mardi des journalistes de la République démocratique du Congo, actuellement en visite à Dakhla.





Les journalistes congolais qui ont tenu une rencontre au centre régional d'investissement, se sont dits très impressionnés par les programmes et projets initiés par le Maroc pour consolider davantage cette dynamique de développement local et doter les provinces du sud de tous les équipements et infrastructures nécessaires.

Selon M. Freddy Mulumba Kabuayi du journal "Le Potentiel", "la région du Sahara a réussi une mue spectaculaire, à la faveur des efforts conséquents consentis au fil des ans et qui témoignent de la ferme volonté du Maroc de renforcer l'essor socio-économique de la région et assurer son intégration dans la grande dynamique que connaît le Royaume".

Dans une déclaration à la presse, il a indiqué que cette visite lui a permis de s'enquérir de près de la situation dans la région, signalant qu'il va réaliser des reportages et des articles pour faire connaître ces avancées auprès de l'opinion publique dans son pays.

Lors de cette rencontre au CRI, les journalistes congolais ont suivi des explications sur les potentialités dont regorge la région de Oued-Eddahab-Lagouira, les opportunités d'investissement qu'elle offre et les projets structurants initiés dans différents domaines.

En réponse à des questions soulevées par les journalistes, M. Hicham Sebbar, du CRI, a donné un aperçu sur l'évolution constante des indicateurs de développement dans différents secteurs depuis le retour de la région à la mère-patrie, mettant l'accent sur l'essor que connaissent les activités liées à la pêche, au tourisme, à l'élevage et à l'agriculture.

Arrivés lundi soir à Dakhla, les membres de la délégation congolaise, qui ont été reçus par le wali de la région de Oued-Eddahab-Lagouira, gouverneur de la province de Oued-Eddahab, M. Hamid Chabar, tiendront une rencontre avec des représentants de la société civile avant de visiter des projets de développement dans la ville.Le Maroc a transformé la région désertique du Sahara en un véritable espace de développement dynamique (journalistes congolais)

Dakhla,17/11/09- Le Maroc a réussi à transformer la région désertique du Sahara en un véritable espace de développement dynamique et aux perspectives prometteuses, ont souligné mardi des journalistes de la République démocratique du Congo, actuellement en visite à Dakhla.

Les journalistes congolais qui ont tenu une rencontre au centre régional d'investissement, se sont dits très impressionnés par les programmes et projets initiés par le Maroc pour consolider davantage cette dynamique de développement local et doter les provinces du sud de tous les équipements et infrastructures nécessaires.

Selon M. Freddy Mulumba Kabuayi du journal "Le Potentiel", "la région du Sahara a réussi une mue spectaculaire, à la faveur des efforts conséquents consentis au fil des ans et qui témoignent de la ferme volonté du Maroc de renforcer l'essor socio-économique de la région et assurer son intégration dans la grande dynamique que connaît le Royaume".

Dans une déclaration à la presse, il a indiqué que cette visite lui a permis de s'enquérir de près de la situation dans la région, signalant qu'il va réaliser des reportages et des articles pour faire connaître ces avancées auprès de l'opinion publique dans son pays.

Lors de cette rencontre au CRI, les journalistes congolais ont suivi des explications sur les potentialités dont regorge la région de Oued-Eddahab-Lagouira, les opportunités d'investissement qu'elle offre et les projets structurants initiés dans différents domaines.

En réponse à des questions soulevées par les journalistes, M. Hicham Sebbar, du CRI, a donné un aperçu sur l'évolution constante des indicateurs de développement dans différents secteurs depuis le retour de la région à la mère-patrie, mettant l'accent sur l'essor que connaissent les activités liées à la pêche, au tourisme, à l'élevage et à l'agriculture.

Arrivés lundi soir à Dakhla, les membres de la délégation congolaise, qui ont été reçus par le wali de la région de Oued-Eddahab-Lagouira, gouverneur de la province de Oued-Eddahab, M. Hamid Chabar, tiendront une rencontre avec des représentants de la société civile avant de visiter des projets de développement dans la ville.

Des acteurs de la ville de Laâyoune dénoncent les agissements irresponsables d'Aminatou Haidar


Des acteurs de la ville de Laâyoune dénoncent les agissements irresponsables d'Aminatou Haidar


Plusieurs acteurs de la ville de Laâyoune ont exprimé leur ferme condamnation des agissements irresponsables de la dénommée Aminatou Haidar, soulignant qu'en reniant sa nationalité marocaine elle a déclaré la désobéissance aux valeurs auxquelles est attachée sa famille qui est connue, au fil de l'histoire, par son attachement au trône alaouite et à l'unité nationale.

Ces acteurs ont dénoncé, dans des déclarations à la MAP le comportement provocateur de Haidar à l'aéroport de Laâyoune, notant que cette attitude constitue une offense aux sentiments des Marocains en général, et aux habitants des provinces du sud en particulier.

La famille de Haidar, qui est connue pour son patriotisme, a toujours été Marocaine, son grand-père "était pacha de la ville de Tarfaya et son oncle occupe actuellement le poste de pacha par dahir de feu SM Hassan II, de même que son père était résistant", a indiqué Ibrahim Douihi, l'un des notables de la tribu Zerguiyine d'où est originaire Haidar.

Et d'ajouter que Aminatou "qui perçoit un salaire mensuel du trésor de l'Etat marocain a dépassé avec ses agissements (le polisario) et a dévoilé la réalité de l'Algérie qui la manipule pour servir ses intérêts selon un agenda clair".

"Aminatou doit voir un psychiatre parce que ce genre d'agissements irréfléchis ne peuvent émaner d'une personne jouissant de toutes ses facultés mentales", a-t-il dit.

Il a noté que Aminatou qui "a refusé de remplir les formalités d'usage à l'aéroport et renié sa famille et sa patrie doit, au cas où elle veut retourner au Maroc, déclarer à l'extérieur du pays qu'elle est Marocaine et qu'elle est la fille de Ali Ould Ahmed Hidar de la tribu nationaliste Zerguiyine et dénoncer les agissements de l'Algérie".

De son côté, le président de l'association des portés disparus du "Polisario", M. Dahi Akay, a fait part de sa vive condamnation de la position séparatiste de Aminatou surtout qu'elle appartient à sa tribu (Zerguiyine), qui est connue pour ses positions patriotiques.

Il s'est interrogé si Aminatou Haidar était vraiment un défenseur des droits de l'homme, elle devrait interpeller la direction du Polisario sur le sort de plus de 800 sahraouis, dont 25 jeunes de sa tribu perdus dans leurs geôles. M. Akay a ajouté, dans ce sens, que "si Aminatou se réclame sahraouie elle a l'obligation de chercher tous les portés disparus dans les geôles du (Polisario), faisant remarquer que les dernières activités de Haidar démontrent, à n'en pas douter, qu'elle est à la solde du "Polisario" et de l'Algérie en vue de porter atteinte à la nouvelle dynamique que connaît la région".

"Ni le (Polisario) ni l'Algérie, ni Aminatou ne peuvent, avec leurs agissements, briser notre détermination à appliquer le plan intégré annoncé par SM le Roi Mohamed VI dans le discours de la Marche Verte, et qui constitue le véritable garant pour répondre aux aspirations" des habitants des provinces du sud, a-t-il affirmé.

De son côté, le président de l'association de l'unité et du développement pour la défense du droit des réfugiés des camps de Tindouf au retour, M. Ahmed Khor, a souligné que les déclarations de Aminatou Haidar sont une révolte contre sa famille qui est connue pour son patriotisme avant d'être un dénigrement au pays, relevant que les agissements de Haidar qui appartient, et elle le sait bien, à une famille marocaine est une révolte contre la loi".

Ses déclarations reflètent son niveau d'attachement à l'étranger qui manipule ses idées haineuses et séparatistes, a-t-il ajouté, avant de s'interroger sur la nature de sa position si demain les Sahraouis adhèrent à l'initiative marocaine d'autonomie, et comment elle va rencontrer sa famille et son pays.

M. Khor a précisé que l'intéressée adopte des positions hostiles à l'intégrité territoriale du pays, ajoutant qu'elle n'a pas tiré la leçon de ceux qui ont porté l'arme et des idées hostiles et séparatistes à un certain moment avant qu'ils ne se rendent compte de l'existence d'une seule patrie qu'est le Maroc et y sont retournés en réponse à l'appel royal "la patrie est clémente et miséricordieuse".

Le président de l'amicale des défenseurs des droits de l'homme au Sahara, M. Baba Mbara, a indiqué pour sa part que les déclarations de Aminatou Haidar constituent une trahison manifeste à son identité nationale et à sa famille, qualifiant ses actes de comportement s'inscrivant dans le sillage des manÂœuvres ourdies pour le compte de parties hostiles à l'unité territoriale du Royaume selon un agenda bien défini.

Aminatou Haidar, et avec elle certains individus, exploitent le dossier des droits de l'homme et fournissent à des organisations internationales des informations fausses sur la réalité des droits de l'homme dans les provinces du sud pour comploter contre l'unité territoriale du Maroc et servir les intérêts des ennemis de ce pays, a-t-il dit.

Il a souligné la nécessité du respect de la loi, surtout que le discours royal à l'occasion de la Marche Verte a appelé à contrecarrer toute atteinte à la souveraineté de la nation, ajoutant que "Aminatou ne peut nous convaincre avec ses idées et ses positions d'autant plus qu'elle sert les intérêts de parties hostiles au Maroc.

Le président de l'association pour l'unité, le développement et les droits de l'homme, M. Sabouih Dah Mohamed, a indiqué que Aminatou, en reniant sa patrie, a renié le père, l'origine, le trône, la tribu, l'histoire et la société.

Il a relevé que celui qui renie ce pays et ne respecte pas sa souveraineté doit être traité comme un traître comme c'est le cas dans les autres pays du monde, exprimant son rejet de l'exploitation de la défense des droits de l'homme en complicité avec un pays étranger pour véhiculer une certaine position politique et porter atteinte à l'intégrité territoriale du Maroc.

Il a exprimé à cette occasion sa fierté de l'ouverture et de la liberté d'expression et du climat de démocratie et des droits de l'homme dont jouissent les Marocains, appelant à s'attaquer à ceux qui ne respectent pas la souveraineté nationale et ses valeurs sacrées.

Interpellation d’Aminatou Haidar à l’aéroport de Laâyoune


Interpellation d’Aminatou Haidar à l’aéroport de Laâyoune

Aminatou Haidar, chef de file des séparatistes de ’intérieur, a été interpellée, vendredi 13 novembre, par les services de police de l’aéroport Hassan 1er de Laâyoune. Elle a embarqué, samedi, à destination des îles Canaries.

Les services de police de l’aéroport Hassan 1er de Laâyoune ont interpellé, vendredi 13 novembre, la dénommée Aminatou Haidar à sa descente d’avion après avoir refusé d’accomplir les formalités de police. Devant son refus de remplir ces formalités, l’intéressée a été soumise, vendredi soir, à un examen de situation dans la zone internationale de l’aéroport par la police des frontières, sous l’autorité du Parquet. Le jour d’après, Aminatou Haidar a embarqué à bord d’un avion de l’aéroport de Laâyoune à destination des îles Canaries, lieu de sa provenance. Selon les services de l’aéroport, la dénommée Aminatou Haidar a rejeté sa nationalité marocaine devant les services de police de l’aéroport de Laâyoune, en affirmant être titulaire d’une autre nationalité, ce qui constitue un acte de trahison très grave. Des membres de la famille de la dénommée Aminatou Haidar ont pu discuter avec elle et assister à la signature de ses déclarations faites en présence du procureur du Roi, dans lesquelles elle a clairement rejeté sa nationalité marocaine. Pour rappel des faits, l’intéressée a refusé d’accomplir les formalités de police lors de son arrivée à l’aéroport de Laâyoune, notamment la fiche de débarquement comportant, comme l’exige la réglementation internationale, des renseignements sur l’identité et la résidence.
Des sources sécuritaires ont affirmé à ALM que Aminatou Haïdar s’est contentée de remplir la case de la nationalité du voyageur, en signalant qu’elle est titulaire de la nationalité sahraouie. Une nationalité qui n’est pas reconnue par l’ONU, ce qui a constitué une provocation aux fonctionnaires de l’aéroport et aux services sécuritaires.
Aminatou était accompagnée de deux journalistes espagnols, qui se sont rendus dans les provinces du Sud, sans respect des lois marocaines en vigueur exigeant une autorisation du ministère de la Communication, qui veille à réglementer le travail de la presse étrangère.
Bien au contraire, les deux journalistes ont fait preuve d’une grande partialité, malgré la sommation des autorités qui leur ont notifié qu’ils sont des persona non grata. Ils ont continué à défier les autorités locales, qui leur ont confisqué leur caméra et appareil-photo, mais la séquence qui contient les moments de l’interpellation d’Aminatou Haidar n’a pas été trouvée.
Peu de temps après, la séquence de l’interpellation a été trouvée cachée auprès d’une hôtesse de l’air, de nationalité espagnole, qui était à bord du même avion transportant les journalistes espagnols. Cette hôtesse de l’air a manqué à son obligation de neutralité. Après avoir pris connaissance de l’incident, le pilote de l’avion a immédiatement établi son rapport contenant les manquements par cette hôtesse à son devoir et devait le transmettre à ses supérieurs pour prendre les mesures nécessaires.
La dénommée Aminatou Haidar est titulaire d’un passeport et d’une carte d’identité nationale marocains qui lui permettent de sillonner le monde entier pour défendre la «cause des séparatistes». Aminatou Haidar est fonctionnaire de la municipalité de Boujdour et continue de toucher son salaire de l’Etat marocain, en tant que salariée fantôme.

mardi 17 novembre 2009

La forfaiture de Aminatou Haidar unanimement condamnée


La forfaiture de Aminatou Haidar unanimement condamnée

«En toute responsabilité, nous affirmons qu’il n’y a plus de place pour l’ambiguïté et la duplicité : ou le citoyen est marocain, ou il ne l’est pas. Fini le temps du double jeu et de la dérobade. L’heure est à la clarté et au devoir assumé. Ou on est patriote ou on est traître. Il n’y a pas de juste milieu entre le patriotisme et la trahison. On ne peut jouir des droits de la citoyenneté, et les renier à la fois en complotant avec les ennemis de la patrie ». Sa Majesté le Roi Mohammed VI l’a déclaré dans le dernier discours de la Marche Verte avec la clarté et la fermeté nécessaires. Mais, apparemment, il y en aurait qui s’entêtent à ne pas vouloir comprendre et qui donnent l’air de trop se complaire dans une ambigüité et dans une duplicité innommables. Exemple : la dénommée Aminatou Haidar qui s’est obstinée à ne pas accomplir les formalités habituelles de police, lors de son arrivée samedi à l’aéroport de Laâyoune et qui a renié sa nationalité marocaine tout en réaffirmant son engagement à défendre les thèses des séparatistes et des ennemis de l’intégrité territoriale du Maroc, de son unité et de sa souveraineté nationale.
Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taib Fassi Fihri, a déclaré que le Maroc rejette totalement les allégations de certains médias et organisations étrangers, qui se sont empressés de recourir à la désinformation, faisant état “d’arrestation”, de “pression”, de “contrainte exercée” sur la dénommée Aminatou Haidar ou encore de “violation de la légalité internationale”.
Et le ministre de demander pourquoi l’intéressée a choisi aujourd’hui de ne pas reconnaître sa nationalité marocaine après avoir usé et abusé, des années durant, du passeport marocain, au service de son activisme à l’étranger, encadrée par les chancelleries algériennes.
Pourquoi a-t-elle eu recours à cette démarche surprenante et intentionnnelle au lendemain des contacts entrepris par un groupe d’individus à Alger et à Tindouf avec des responsables sécuritaires et militaires? se demande le ministre.
“Quelques personnes, dont Aminatou Haidar, qui ont été identifiées ne sont pas des militants supposés des droits de l’Homme ou de la liberté d’expression mais bel et bien des personnes qui travaillent au service d’un agenda défini à l’extérieur par les adversaires connus de l’intégrité territoriale” du Royaume, a-t-il souligné.
Pour leur part, tous les partis politiqués ont dénoncé, rejeté et condamné les propos de Aminatou Haidar et les considèrent comme une provocation à l’égard de tous les Marocains. D’un autre côté et à l’issue de sa neuvième session ordinaire tenue, samedi, à Casablanca, le Conseil supérieur des Ouléma a rappelé à la Nation marocaine les impératifs de la Béiâ qui lie le Trône au peuple pour la défense de l’unité de la patrie. Il a fait remarquer également que quiconque déroge à cet impératif ne peut être qu’un séditieux qui déserte la Oumma, un traître au service de convoitises étrangères visant à porter atteinte à l’unité de son pays, se faisant ainsi l’exécutant du projet colonialiste, basé sur la division, que les Marocains ont mis en échec, grâce à leur Jihad et leurs immenses sacrifices.

Le président du CORCAS condamne avec force les agissements "ennemis et provocateurs" de la dénommée Aminatou Haidar


Le président du CORCAS condamne avec force les agissements "ennemis et provocateurs" de la dénommée Aminatou Haidar


Le président du Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes (CORCAS), M. Khalihenna Ould Errachid, a condamné avec force les agissements "ennemis et provocateurs" de la dénommée Aminatou Haidar à l'encontre de l'intégrité territoriale du Maroc, offensant les sentiments de l'ensemble des Marocains, unanimes autour de leur cause nationale sacrée, indique, dimanche soir, un communiqué du Conseil

Cette femme qui prétendait, des années durant, être une militante des droits de l'Homme, induisant ainsi en erreur les organisations internationales des droits de l'Homme qu'elle rencontrait régulièrement, a profité, avec mauvaise foi, des libertés garanties par la Constitution marocaine à l'ensemble des citoyens soutenue en cela par des parties étrangères opposées à l'intégrité territoriale du Maroc.

"Aujourd'hui, elle apparaît sous son vrai visage, n'étant, en réalité, ni une militante ni un défenseur des droits de l'Homme, et n'ayant fait qu'exploiter le climat de liberté qui prévaut dans le Maroc, et qui s'est consacré davantage depuis l'intronisation de SM le Roi Mohammed VI, pour comploter contre l'intégrité territoriale du Royaume et servir les conspirateurs et séparatistes ", poursuit le communiqué.

Et de rappeler que la dénommée Aminatou Haidar voyageait avec un passeport marocain et était traitée sur le même pied d'égalité que l'ensemble des Marocains défenseurs des droits de l'Homme.

Or, du moment qu'elle a choisi de se mettre du côté du séparatisme, de renier sa nationalité d'origine et de s'aligner sur les options erronées, mensongères et fallacieuses, la dénommée Aminatou Haidar, et ses semblables, n'ont qu'à assumer les conséquences de leurs actes abjects et dangereux et qui resteront vains, conclu le communiqué.

Le Maroc rejette les allégations de certains médias et organisations étrangers sur le cas de la dénommée Aminatou Haidar


Le Maroc rejette les allégations de certains médias et organisations étrangers sur le cas de la dénommée Aminatou Haidar


Le Maroc rejette totalement les allégations de certains médias et organisations étrangers, qui se sont empressés à recourir à la désinformation, faisant état "d'arrestation", de "pression", de "contrainte exercée" sur la dénommé Aminatou Haidar ou encore de "violation de la légalité internationale".

Dans une déclaration à la MAP en marge de la commission des affaires étrangères, de la défense nationale et des affaires islamiques de la chambre des représentants sur le cas de la dénommée Aminatou Haidar, le ministre des affaires étrangères et de la coopération, M. Taib Fassi Fihri, a expliqué: "Aminatou Haïdar n'ayant pas voulu remplir les formalités ordinaires d'usage, elle a été - sans aucun préjudice moral ou physique- retenue dans la zone internationale de l'aéroport Hassan 1er de Laâyoune".

Le ministre a souligné que "des membres de la famille de la dénommée Aminatou Haidar ont pu discuter avec elle et assisté à la signature par elle de déclarations réalisées en présence du procureur du Roi, dans lesquelles elle a clairement rejeté sa nationalité marocaine".

"A l'issue de ces formalités, poursuit M. Fassi Fihri, cette dernière a dès lors repris l'avion, samedi matin, vers les Iles Canaries d'où elle provenait la veille".

"Il est donc légitime, affirme M. Fassi Fihri, de s'interroger pourquoi Aminatou Haidar a-t-elle choisi aujourd'hui de ne pas reconnaître sa nationalité marocaine après avoir usé et abusé, des années durant, du passeport marocain, au service de son activisme à l'étranger, encadrée par les chancelleries algériennes?".

"Pourquoi a-t-elle eu recours à cette démarche inédite et organisée au lendemain des contacts entrepris par un groupe d'individus à Alger et à Tindouf avec des responsables sécuritaires et militaires?", se demande le ministre.

"Pourquoi a-t-elle averti, prévenu et contacté, au préalable, des médias étrangers pour l'instrumentalisation de la réaction pourtant légitime et légale des autorités marocaines?", s'interroge, par ailleurs, M. Fassi Fihri.

Le ministre a rappelé que "depuis bientôt deux ans, le Maroc attire l'attention et prévient que les autres parties ont eu recours à une stratégie soutenue matériellement, programmée diplomatiquement et encadrée médiatiquement".

"Ces parties ont exploité et exploitent encore l'élargissement du champ des libertés réalisé au Maroc par, sous le prétexte fallacieux de défendre les droits de l'homme, cette stratégie négative qui vise en fait à développer la propagande et à susciter la tension et la crispation", a-t-il ajouté.

"Quelques personnes, dont Aminatou Haidar ont été identifiées et recrutées à cette fin. Elles agissent toutes sur instructions des autres parties et avec leur soutien et leur encadrement", ajoute le ministre, notant "qu'il ne s'agit pas de militants supposés des droits de l'homme ou de la liberté d'expression mais bel et bien de personnes qui travaillent au service d'un agenda défini à l'extérieur par les adversaires connus de l'intégrité territoriale" du Royaume.

"L'objectif exclusif de ce plan est, en fait et manifestement, de contrecarrer les avancées significatives qu'a connues le dossier du Sahara marocain au niveau international et des Nations Unies et en particulier la nouvelle dynamique de négociations, engagée à la faveur de l'initiative marocaine d'autonomie", a conclu le ministre.

Les propos d'Aminatou Haidar, une déviation de l'unanimité nationale et une trahison à la Nation (Biadillah)


Les propos d'Aminatou Haidar, une déviation de l'unanimité nationale et une trahison à la Nation (Biadillah)


Le secrétaire général du Parti authenticité et modernité (PAM), M. Mohamed Cheikh Biadillah a fermement dénoncé les déclarations faites, vendredi, par la dénommée Aminatou Haidar, affirmant que cet acte provocateur constitue "une déviation de l'unanimité nationale et une trahison à la Nation".

Dans une déclaration à la MAP, M. Biadillah a rappelé qu'"en dépit du fait qu'elle ait sillonné plusieurs capitales mondiales pour porter atteinte à l'intégrité territoriale du Maroc et offenser les sentiments patriotiques des Marocains, la dénommée Aminatou Haïdar était, il y a encore peu, une citoyenne marocaine", une réalité qu'elle renie aujourd'hui.

Tout le monde sait que "les services secrets d'un pays voisin sont derrière Aminatou Haidar et ses semblables qui naviguent dans le même sens", en mettant à profit le climat de liberté qui prévaut dans le Royaume à des fins personnelles qui n'ont rien à voir ni avec la liberté ni avec les droits de l'Homme, a souligné le SG du PAM.

Selon M. Biadillah, les agissements de la dénommée Aminatou Haidar s'inscrivent dans le cadre d'une campagne de mensonges et de fausses allégations, conduite par les ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume et certaines parties européennes qui ignorent la réalité dans la région. Aminatou Haidar perdra cette guerre et comprendra avec le temps ce qu'elle ignore aujourd'hui, a-t-il dit.

Le discours adressé par SM Le Roi Mohammed VI à la nation à l'occasion du 34è anniversaire de la glorieuse marche verte, institue pour une nouvelle étape où les populations des provinces du Sud auront une plus grande conscience de leur avenir et leurs droits, et s'inscriront ainsi dans la dynamique créée par le discours royal", a indiqué M. Biadillah.

Cette dynamique, a-t-il expliqué, a ressuscité l'esprit de la marche verte et du serment que nous avons fait de rester fidèle à cet esprit, de défendre notre patrie, son intégrité territoriale et sa souveraineté de toutes nos forces".

"Nous souhaitons une Intifada dans les camps de Tindouf pour que les populations qui y sont séquestrées prennent conscience qu'elles sont exploitées à des fins étrangères à leurs droits et le devenir de leurs enfants", a-t-il affirmé.

"Que font-ils là-bas depuis 33 ans", s'est interrogé M. Biadillah, affirmant que "les générations qui sont nées dans ces camps veulent être associées à l'édification de leur avenir et n'aspirent nullement à voir éclore un Etat nain dans la région".

Le Secrétaire général du PAM a, par ailleurs, indiqué que l'initiative marocaine d'autonomie, qui a suscité l'intérêt et l'adhésion de grandes puissances mondiales, de la communauté internationale et des Nations Unies, constitue la seule voie pour régler définitivement le conflit artificiel autour du Sahara marocain et "aller ensemble, la main dans la main, pour édifier notre avenir".

Cette option préserve la dignité de l'Algérie, du +polisario+ et de certains égarés", a-t-il estimé.

M. Biadillah a, dans ce sens, formé le vœu que "les générations d'après la Marche verte puissent bien comprendre ces +batailles auxiliaires+ que nous imposent des parties étrangères qui prennent pour alibi les droits de l'Homme pour s'élever contre nos intérêts".

"Tout le monde sait très bien que les droits de l'Homme dans les provinces du Sud sont respectés au point que Aminatou Haidar et ses semblables se permettent de sillonner le monde avec des passeports marocains et d'attaquer le Maroc", a-t-il conclu

La presse nationale dénonce le comportement de la dénommée Aminatou Haidar


La presse nationale dénonce le comportement de la dénommée Aminatou Haidar


Les quotidiens nationaux paraissant, ce lundi, sont unanimes à dénoncer le comportement et les propos de la dénommée Aminatou Haidar qui a renié, samedi à Laâyoune, sa nationalité marocaine et refusé de se conformer aux règles d'usage dans les aéroports du Royaume.

La presse retrace les tenants et aboutissants de cette nouvelle provocation orchestrée par les adversaires de l'intégrité territoriale du Royaume, précisant que cette banale traîtresse, refoulée sur les Iles Canaries, n'est qu'un pion de trop téléguidé par Alger et les séparatistes du polisario.

A cet égard, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, M. Taib Fassi Fihri, cité par la presse, a indiqué que le Maroc rejette totalement les allégations de certains médias et organisations étrangers, qui se sont empressés à recourir à la désinformation, faisant état "d'arrestation", de "pression", de "contrainte exercée" sur la dénommé Aminatou Haidar ou encore de "violation de la légalité internationale".

Les quotidiens qui se réfèrent au discours royal à l'occasion du 34ème anniversaire de la Marche Verte dans lequel le Souverain a notamment affirmé qu'"il n'y a plus de place pour l'ambiguïté et la duplicité: ou le citoyen est Marocain, ou il ne l'est pas", soulignent la nécessité d'une mobilisation contre les traîtres.

+Libération+ écrit qu'"apparemment, il y en aurait qui s'entêtent à ne pas vouloir comprendre et qui donnent l'air de trop se complaire dans une ambiguïté et dans une duplicité innommables" citant le cas de la séparatiste Aminatou Haidar.

Sous le titre "la renégate", +L'Opinion+ fait constater que "Aminatou Haidar, notoire activiste sahraouie, semble se complaire dans son statut de renégate à la solde des services algériens et des tortionnaires du polisario. Elle s'y plait et elle le fait savoir".

Il s'agit d'"une autre gesticulation au fait qui s'ajoute à celle du tristement célèbre Ali Tamek face aux avancées significatives qu'a connues le dossier du Sahara marocain au niveau international et des Nations Unies et en particulier la nouvelle dynamique de négociations engagée à la faveur de l'initiative marocaine d'autonomie", souligne la publication.

Deux associations sahraouies dénoncent la visite d'un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon du Sahara marocain

Deux associations sahraouies dénoncent la visite d'un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon du Sahara marocain



Deux associations sahraouies basées à Dakhla ont dénoncé la visite entreprise récemment par un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon de "Bir Lahlou" au Sahara marocain.

Dans un communiqué commun, l'Association Arrai pour la défense de la marocanité du Sahara et des séquestrés de Tindouf et l'Association de nos enfants pour la solidarité et le travail social se sont dites "sidérées par le comportement irresponsable imbibé d'esprit belliqueux dont a fait montre une délégation parlementaire algérienne dans les territoires du Sahara marocain, plus précisément à Bir Lahlou ".

"Cette visite, loin d'être une action de solidarité avec les sahraouis, est une action de sabotage des efforts de l'ONU et de la communauté internationale" et "une pleutre tentative pour contrecarrer l'accueil favorable réservée à l'initiative d'autonomie marocaine, solution idoine pour l'extinction de ce foyer de tension et l'avènement d'une paix dans cette région nord ouest africaine", souligne le communiqué.

Les deux associations sahraouies ont lancé à cette occasion un appel à l'ONU et à la communauté internationale pour intervenir en vue "de mettre fin à ces provocations algériennes qui interviennent au moment où l'on se rapproche d'une solution permettant aux Sahraouis de regagner leur mère-patrie et de se libérer du calvaire qu'ils endurent dans les camps de Tindouf".

Deux associations sahraouies dénoncent la visite d'un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon du Sahara marocain

Deux associations sahraouies dénoncent la visite d'un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon du Sahara marocain



Deux associations sahraouies basées à Dakhla ont dénoncé la visite entreprise récemment par un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon de "Bir Lahlou" au Sahara marocain.

Dans un communiqué commun, l'Association Arrai pour la défense de la marocanité du Sahara et des séquestrés de Tindouf et l'Association de nos enfants pour la solidarité et le travail social se sont dites "sidérées par le comportement irresponsable imbibé d'esprit belliqueux dont a fait montre une délégation parlementaire algérienne dans les territoires du Sahara marocain, plus précisément à Bir Lahlou ".

"Cette visite, loin d'être une action de solidarité avec les sahraouis, est une action de sabotage des efforts de l'ONU et de la communauté internationale" et "une pleutre tentative pour contrecarrer l'accueil favorable réservée à l'initiative d'autonomie marocaine, solution idoine pour l'extinction de ce foyer de tension et l'avènement d'une paix dans cette région nord ouest africaine", souligne le communiqué.

Les deux associations sahraouies ont lancé à cette occasion un appel à l'ONU et à la communauté internationale pour intervenir en vue "de mettre fin à ces provocations algériennes qui interviennent au moment où l'on se rapproche d'une solution permettant aux Sahraouis de regagner leur mère-patrie et de se libérer du calvaire qu'ils endurent dans les camps de Tindouf".

L'UJA réitère son soutien à l'intégrité territoriale du Maroc


L'UJA réitère son soutien à l'intégrité territoriale du Maroc

malgré le chantage algérien l'Union des journalistes arabes (UJA) a réitéré, jeudi, par la voix de son bureau permanent, son soutien à l'intégrité territoriale du Maroc face à toutes les formes de séparatisme.

Le bureau a souligné, dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion au Caire, que l'UJA réitère ses positions de soutien à l'intégrité territoriale du Royaume et salue les efforts que déploie le Maroc pour parvenir à un règlement politique négocié à la question du Sahara.

Dans ce sens, l'Union a souligné "l'importance de la proposition d'autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine", appelant à "l'ouverture des frontières entre les deux pays frères marocain et algérien".

Par ailleurs, l'UJA appelle l'ensemble des journalistes arabes à redoubler d'efforts pour la défense des droits de l'Homme dans le monde arabe et de l'intégrité de la nation arabe.

Au niveau professionnel, l'Union a plaidé pour le respect vigoureux du principe "un seul syndicat pour chaque pays arabe" en vue d'unifier les efforts visant la protection des libertés, des droits et acquis de la presse, tout en insistant sur le respect du droit de la minorité à exprimer son opinion et de l'action syndicale.

D'autre part, le bureau a exprimé sa volonté de préserver des relations "solides et équilibrées" avec l'Union internationale des journalistes et les autres organisations mondiales.

L'Union a aussi rejeté toute tentative visant à porter atteinte à la place de l'UJA ou à véhiculer l'idée de diversifier les organisations syndicales de la presse dans un seul pays.

Lors de sa réunion, le bureau a évoqué les derniers développements de la question palestinienne, demandant à toutes les organisations civiles et politiques arabes et à l'ensemble des acteurs à soutenir la résistance de la ville sainte d'Al Qods face à l'agression israélienne et à la politique de judaïsation menée par Israël. Le bureau a mis en garde contre toute tentative de "solution politique visant à retarder le règlement de la question d'Al Qods sous des prétextes quelle que soit leur nature".

Ont pris part à cette réunion de deux jours les représentants de 19 syndicats dans les pays arabes.

Le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a été représenté par son secrétaire général, M. Younès Moujahid et une journaliste de la station régionale de Laâyoune de la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT), Raaboube Abha, membre du Conseil national du SNPM, outre M. Abdellah Bekkali, en qualité de vice-président de l'UJA.

Dans une déclaration à la MAP, M. Moujahid a indiqué que la réunion a examiné notamment la question des libertés dans le monde arabe sur la base d'un rapport présenté par le président de la Commission des libertés, M. Abdelwahab Zghilate, et les relations entre l'UJA et les Organisations internationales, particulièrement l'Union internationale des journalistes.

Le bureau a également évoqué l'amendement des statuts de l'Union, projet soumis par le Congrès de l'UJA, ainsi que la question du financement.

vendredi 13 novembre 2009

Parution du "Le Moussem de Tan Tan" de Kitin Munoz Valcarcel


Parution du "Le Moussem de Tan Tan" de Kitin Munoz Valcarcel



"Le Moussem de Tan Tan, chef d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité" est l'intitulé du beau-livre de Kitin Munoz Valcarcel, qui a été présenté fin octobre dernier au siège de l'UNESCO à Paris, lors d'une cérémonie solennelle.

L'ouvrage, paru en deux versions bilingues (français-anglais et espagnol-arabe), est le fruit d'un partenariat entre l'Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du sud, la maison d'édition espagnole Planeta et l'appui financier de l'ONMT et du Conseil Provincial de Tan Tan.

Dans cet ouvrage, M. Kitin Munoz, qui est par ailleurs Ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO, relate la genèse du Moussem de Tan Tan, une grande manifestation annuelle réunissant une trentaine de tribus nomades qui avait pris une forme structurée en 1963 mais a été suspendue durant les débuts des années 70 avant d'être relancée fastueusement en septembre 2004, sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI .

Natif de Tarfaya en 1958, Kitin Munoz affirme avoir reçu un livre, il y a une dizaine d'années de cela, un soir à Sidi Ifni, sur le Moussem de TanTan et dont les photos avaient suscité son intérêt pour ce grand festival nomade où, une semaine durant, se retrouvaient des tribus marocaines et d'autres venant de Mauritanie, du Sénégal, du Niger, de Mali et d'ailleurs. Des retrouvailles qui se déroulaient autour de chants, de fêtes, de courses, de récits et de poèmes.

Cet intérêt pour le festival va le mener à user de son entregent auprès de ses pairs à l'UNESCO, afin que cette manifestation soit proclamée parmi les chefs d'Âœuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité, lors d'un vote unanime en novembre 2005, avant d'être inscrit en 2008 sur la Liste représentative établie dans le cadre de la Convention de 2003 afin d'assurer la sauvegarde et la revitalisation du patrimoine culturel immatériel.

Outre l'historique du Moussem, l'ouvrage livre des descriptions techniques de cette manifestation organisée chaque année sur la " Place de la Tolérance et de la Paix " -appellation décrétée par l'UNESCO, située à deux kilomètres du centre-ville de Tan Tan sur un espace de plus de treize hectares, délimitée au nord par Oued Benkhil, au sud par la ceinture verte de Tan-Tan, à l'est par le monticule dominant le quartier Tiguiria et à l'ouest par un espace de pâturage attenant à la zone de Lahmidia.

L'ouvrage moult autres détails sur la vie dans les provinces sahariennes et livre des glossaires sur divers aspects du quotidien nomade.

Pour l'ancien Directeur général de l'UNESCO, Koichiro Matsuura, l'ouvrage de M. Kitin est une " illustration parfaite du Maroc de l'engagement, du Maroc en faveur de la sauvegarde de ses cultures traditionnelles les plus représentatives et constitue un bel hommage aux cultures nomades par l'un de ses plus ardents défenseurs".

L'auteur, M. Kitin Munoz est chercheur en histoire et en ethnologie, dont les études s'inscrivent en continuité des travaux de l'explorateur norvégien Thor Heyerdahl sur la navigation primitive. Il a participé et dirigé de nombreuses expéditions notamment au Pérou, aux Marquises et à Tahiti et réalisé plusieurs documentaires sur l'Histoire, la nature et les peuples indigènes.

Un règlement politique de la question du Sahara possible si l'Algérie avait la volonté nécessaire


Un règlement politique de la question du Sahara possible si l'Algérie avait la volonté nécessaire


Un règlement politique de la question du Sahara aurait été possible si l'Algérie avait la volonté politique nécessaire, a affirmé le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, M. Taïb Fassi Fihri.

Dans un entretien au quotidien "Acharq Al Awsat", publié mercredi, M. Fassi Fihri a indiqué que "le dernier discours prononcé par SM le Roi Mohammed VI à l'occasion du 34è anniversaire de la glorieuse marche verte, était très clair", ajoutant que "l'initiative marocaine d'autonomie, qui a été à l'origine de la dynamique des négociations, est toujours là".

"Nous sommes toujours disposés à négocier, et si les autres parties avaient la volonté politique nécessaire, on serait parvenu au règlement politique souhaité par la communauté internationale, à savoir une solution consensuelle et négociée", a-t-il dit.

Le ministre a expliqué, à ce propos, que pour ce faire, les différentes parties doivent faire preuve de réalisme et de compromis, tel qu'il a été clairement stipulé dans les dernières résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU.

Les autres parties ont recouru, après l'annonce de la proposition marocaine, à des pratiques connues de tous visant à saper les efforts du Royaume, évoquant ce qu'ils ont qualifié d'"exploitation" des ressources naturelles du Sud par l'Etat ou encore de "violation" des droits de l'Homme, a rappelé M. Fassi Fihri, soulignant que le Maroc n'a de leçons à recevoir de personne dans ce domaine.

S'agissant de "certains individus qui traitent avec les autres parties pour servir leurs propres intérêts", le ministre a souligné qu'"il s'agit d'un acte inconcevable que ni la loi ni le peuple marocains ne peuvent accepter", faisant savoir que "la justice dira son mot et statuera sur la trahison de ces individus".

Abordant les relations maroco-algériennes, le ministre a déploré l'absence de toute évolution, jusqu'à présent, à ce sujet, soulignant que "le Maroc regrette cette situation, eu égard aux aspirations des peuples des cinq pays de l'Union maghrébine, notamment marocain et algérien pour une action commune".

"Malheureusement, a-t-il relevé, aucun signal ne nous est parvenu jusqu'à présent des frères algériens, concernant le processus de normalisation ou de communication, l'engagement d'actions bilatérales ou encore des signaux relatifs à la réouverture des frontières".

Sur la position du Royaume quant à l'incursion d'un groupe de rebelles sur le territoire de l'Arabie Saoudite, M. Fassi Fihri a réitéré l'entière solidarité du Maroc avec ce pays frère pour son intégrité territoriale, ainsi que sa condamnation de tout acte pouvant porter atteinte à la quiétude et à la stabilité de ce pays, quels qu'en soient les motivations ou les commanditaires.

La région est très sensible, et la stabilité et la sécurité du Golfe en général et de l'Arabie Saoudite en particulier, est une priorité pour le Maroc, a-t-il estimé.

M. Fassi Fihri a, par ailleurs, indiqué que la question de normalisation ou d'échange diplomatique avec Israël n'est pas à l'ordre du jour au vu de la conjoncture actuelle, rappelant que le Royaume du Maroc est partie prenante à l'Initiative arabe de paix et ne peut, de ce fait, qu'encourager les différentes parties à aller de l'avant dans le processus de paix.