La proposition du polisario "n'apporte aucune valeur ajoutée" au processus de négociations (Fassi Fihri)
Rabat - La proposition du polisario lors de la deuxième réunion informelle de pourparlers autour de la question Sahara, tenue dernièrement à Armonk dans la banlieue de New York, "n'apporte aucune valeur ajoutée" au processus de négociations, a affirmé, jeudi à Rabat, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, M. Taib Fassi Fihri.
Le ministre, qui présentait un exposé devant la commission des Affaires étrangères, de la défense nationale et des affaires islamiques à la Chambre des représentants, a indiqué que la délégation marocaine à cette réunion était parfaitement consciente que l'examen de cette proposition figée, à la demande de l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU d'écouter toutes les parties concernées, n'aboutira à rien car celle-ci ne porte en elle aucune valeur ajoutée comme l'avaient prouvé les quatre précédents rounds de Manhasset ainsi que la première réunion informelle de pourparlers en Autriche.
Cette proposition s'inscrit uniquement dans le cadre d'une tactique de diversion et n'est autre qu'une reproduction des plans antérieurs, notamment le Plan Baker II, a souligné M. Fassi Fihri, ajoutant que cette proposition n'est en réalité qu'une tentative de faire diversion pour occulter la justesse de notre question nationale et de présenter des interprétations unilatérales et tendancieuses du principe d'autodétermination.
La délégation marocaine, a poursuivi le ministre, a dénoncé à nouveau les tentatives de faire dévier le processus de négociations de son cours normal et de porter atteinte à la dynamique de négociations enclenchée par l'initiative marocaine.
A ce propos, la délégation a mis à nu les vraies mobiles qui poussent les séparatistes à entraver le processus de négociations et souligné que le Maroc a adressé plusieurs correspondances à ce sujet au secrétaire général de l'ONU, a-t-il dit.
En parallèle, les adversaires se sont tenus à leur discours habituel de diversion et de surenchère autour de soi-disant violations des droits de l'Homme, des prisonniers politiques et de guerre et des supposés disparus, a fait savoir M. Fassi Fihri, notant que la délégation marocaine a démenti les allégations tendancieuses du polisario concernant la détention par le Maroc de 151 prisonniers de guerre, sachant que ce dossier a été clos définitivement en 2005.
Et d'ajouter que ce dossier devait être résolu conformément à l'esprit de l'article 113 de la 3-ème convention de Genève de 1949, dès la conclusion du cessez-le feu, vu l'instrumentalisation ignoble de ce dossier pendant des années par le polisario.
La délégation marocaine a également démenti les allégations concernant le cas de 500 disparus, a souligné M. Fassi Fihri, faisant observer, à ce propos, que le secrétaire général de l'ONU n'évoque plus cette question dans ses derniers rapports sur la question du Sahara marocain.
Le ministre a également mis en relief la pleine coopération du Maroc avec la commission internationale de la Croix rouge à laquelle le Royaume a présenté toutes les explications nécessaires, outre sa collaboration constructive avec le groupe de travail onusien sur les disparitions forcées et involontaires qui a effectué une visite au Maroc en juin dernier, la première du genre dans un pays arabe et africain, et qui a qualifié le Royaume de "pays modèle" dans la région.
Concernant les allégations de l'autre partie au sujet des prisonniers politiques, la délégation marocaine a réfuté ces mensonges, soulignant que nombre d'entre eux jouissent de la liberté et que d'autres sont seulement détenus pour des crimes de droit commun après avoir fait l'objet de procès justes qui ont été entourés de toutes les garanties juridiques, dans le respect total des lois et législations en vigueur dans l'ensemble du territoire national.
M. Fassi a ajouté que la délégation marocaine a souligné que ces cas, abstraction faite de leur inconsistance, ne sont invoqués, en fin de compte, que comme cas isolés à l'encontre d'un pays connu pour son respect des libertés fondamentales et des droits de l'Homme.
La délégation marocaine a, insisté, d'autre part, sur la nécessité pour l'Algérie d'assumer ses responsabilités et ses engagements au niveau du droit humanitaire international. Les quelques cas isolés, imputés au Maroc, a souligné le ministre, ne sauraient aucunement occulter les souffrances et l'oppression collective subies par des dizaines de milliers de personnes des camps de Tindouf, à un moment où les autorités algériennes persistent dans leur refus d'ouvrir ces camps et de coopérer avec le Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés pour que les séquestrés des camps soient recensés et que leurs droits soient garantis conformément aux conventions internationales, en particulier celle de Genève de 1951, a souligné M. Fassi Fihri.
Et d'ajouter que la délégation marocaine a été scandalisée par les paradoxes" dans lesquels s'empêtre le polisario en soutenant que les "lois" de la prétendue "rasd" sont applicables sur le territoire algérien, et ce, en violation flagrante du droit international, surtout que l'Algérie n'a formulé aucune réserve sur la convention de Genève de 1951 relative au statut des réfugiés.
L'Algérie en tant que partie signataire de ladite convention et de son protocole annexe de 1967, ne doit pas se soustraire à ses engagements vis-à-vis des habitants des camps de Tindouf, a insisté M. Fassi Fihri.
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vendredi 26 février 2010
Le Maroc a participé à la 2è réunion informelle, fort d'une vision stratégique claire pour les négociations (Fassi Fihri)

Le Maroc a participé à la 2è réunion informelle, fort d'une vision stratégique claire pour les négociations (Fassi Fihri)
Rabat,25/02/10- Le Maroc a participé à la 2ème réunion informelle restreinte sur le Sahara, tenue dans la banlieue de New York, les 10 et 11 février, avec "une vision stratégique claire et cohérente", a affirmé M. Taib Fassi Fihri, ministre des affaires étrangères et de la coopération.
Intervenant, jeudi, lors d'une réunion de la commission des affaires étrangères, de la défense nationale et des affaires islamiques de la Chambre des Représentants, M. Fihri a souligné que cette vision "s'appuie fondamentalement sur les hautes orientations royales pour affronter avec détermination les manœuvres des adversaires de la marocanité du Sahara, comme cela a été souligné par SM le Roi, le 6 novembre dernier, à l'occasion de la célébration du 34-ème anniversaire de la glorieuse Marche verte", ainsi que sur "les hautes orientations royales contenues dans le discours prononcé par le Souverain, en janvier dernier, relatif à la mise en place d'un système de régionalisation avancée.
En ce qui concerne le cadre général des négociations, M. Fassi Fihri a indiqué que la réunion s'est déroulée en présence de l'Algérie, de la Mauritanie, et du "polisario" et qu'elle a été centrée d'abord sur l'application des résolutions du Conseil de sécurité (1813 et 1871) se rapportant à l'amorce de négociations intenses et substantielles, la prise en compte des efforts déployés par le Maroc depuis 2006, la nécessité de faire preuve de réalisme et d'esprit de compromis, la coopération des pays du voisinage avec les Nations unies et les uns avec les autres pour trouver une solution à ce conflit et, enfin, la mise en exergue de la responsabilité et du rôle des parties concernées pour impulser le processus de négociations afin de parvenir à une solution politique, définitive et consensuelle.
Le ministre des affaires étrangères et de la coopération a également relevé que cette réunion est intervenue dans le contexte de campagnes diplomatiques et propagandistes du "polisario", avec un soutien fort et déclaré des autorités algériennes, pour entraver les négociations, campagnes qui s'articulent sur de soi-disant "violations des droits de l'Homme", ce qui a été derrière l'ajournement de la deuxième réunion, qui devait se tenir en décembre dernier, à la demande de l'autre partie.
Ces campagnes hostiles, a fait remarquer le ministre, "étaient intervenues dans la foulée des coups durs encaissés par la thèse séparatiste au niveau de différentes instances internationales et régionales ( au sein du Mouvement des Non-alignés et du Conseil des droits de l'Homme, en plus du Conseil de sécurité et de l'Assemblée générale de l'Onu) ce qui a poussé les adversaires, mis à mal par ces déconvenues, à adopter une stratégie agressive instrumentalisant de manière délibérée la question des droits de l'Homme, en direction de diverses régions, dans des tentatives désespérées de réaliser des percées auprès de pays connus pourtant par leur soutien au Royaume".
Cette deuxième réunion informelle restreinte, a-t-il souligné, a précédée la publication du rapport du secrétaire général et la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, prévues en avril prochain, pour proroger la mission de la Minurso, précisant qu'elle a coïncidée aussi avec une opération de mise en branle effréné des institutions de l'Etat algérien et de personnalités politiques, dans des campagnes hostiles.
Il a fait savoir que le Maroc avait, par les canaux officiels, avant même la tenue de cette réunion, attiré l'attention du secrétaire général de l'ONU sur la gravité de ses manœuvres, et rappelé l'objectif principal du processus de négociations, à savoir trouver une solution politique définitive, en insistant sur le fait que toute autre voie est porteuse de menaces réelles sur le processus de négociations.
La délégation marocaine a, lors de la réunion, mis en exergue les caractéristiques de l'initiative d'autonomie en tant qu'initiative de négociations novatrice, ouverte et en phase avec la démarche actuelle du Conseil de sécurité, dont les dernières résolutions étaient plus incitatives pour les parties en vue d'entamer des négociations substantielles et approfondies, de faire preuve de réalisme et d'esprit de compromis, en prenant en compte" les efforts constructifs et crédibles" déployés par le Maroc depuis 2006.
jeudi 25 février 2010
Une ONG lance un appel "pressant" pour l'arrêt de l'expropriation des biens des Marocains expulsés d'Algérie
Une ONG lance un appel "pressant" pour l'arrêt de l'expropriation des biens des Marocains expulsés d'Algérie
Rabat, 24/02/10 - L'Association de défense des Marocains victimes d'expulsion arbitraire d'Algérie (ADMEA) a lancé un appel "pressant" aux organisations nationales et internationales de droits de l'Homme pour faire face à la décision du gouvernement algérien de les exproprier de leurs biens.
Dans un communiqué rendu public mercredi, le bureau national de l'ADMEA a invité l'ensemble de ses membres, à l'intérieur du Maroc comme à l'étranger, à prendre part au sit-in que compte organiser, ultérieurement, l'association devant le consulat d'Algérie à Oujda.
"Le gouvernement algérien a décidé, dans un acte provocateur et en violation de toutes les lois et conventions internationales, d'exproprier définitivement de leurs biens les Marocains expulsés d'Algérie", indique le communiqué, précisant que le gouvernement algérien a intégré dans la loi de finances 2010 l'article 42 ordonnant à la conservation foncière de "radier les noms des propriétaires des biens immobiliers +abandonnés+".
"La presse algérienne a beau prétendre qu'il s'agit de propriétés d'européens dans le cadre du conflit algéro-français, nous savons pertinemment que les biens des Marocains sont visés en premier lieu", souligne l'association.
L'ADMEA affirme que face "à ce vol manifeste des propriétés d'autrui sans motif légal", le bureau national a saisi plusieurs responsables, dont les chefs des gouvernements français, espagnol, italien et portugais, outre la présidence de l'Union européenne, leur demandant "d'intervenir d'urgence, au niveau international, pour mettre un terme à ces opérations d'expropriation.
Rabat, 24/02/10 - L'Association de défense des Marocains victimes d'expulsion arbitraire d'Algérie (ADMEA) a lancé un appel "pressant" aux organisations nationales et internationales de droits de l'Homme pour faire face à la décision du gouvernement algérien de les exproprier de leurs biens.
Dans un communiqué rendu public mercredi, le bureau national de l'ADMEA a invité l'ensemble de ses membres, à l'intérieur du Maroc comme à l'étranger, à prendre part au sit-in que compte organiser, ultérieurement, l'association devant le consulat d'Algérie à Oujda.
"Le gouvernement algérien a décidé, dans un acte provocateur et en violation de toutes les lois et conventions internationales, d'exproprier définitivement de leurs biens les Marocains expulsés d'Algérie", indique le communiqué, précisant que le gouvernement algérien a intégré dans la loi de finances 2010 l'article 42 ordonnant à la conservation foncière de "radier les noms des propriétaires des biens immobiliers +abandonnés+".
"La presse algérienne a beau prétendre qu'il s'agit de propriétés d'européens dans le cadre du conflit algéro-français, nous savons pertinemment que les biens des Marocains sont visés en premier lieu", souligne l'association.
L'ADMEA affirme que face "à ce vol manifeste des propriétés d'autrui sans motif légal", le bureau national a saisi plusieurs responsables, dont les chefs des gouvernements français, espagnol, italien et portugais, outre la présidence de l'Union européenne, leur demandant "d'intervenir d'urgence, au niveau international, pour mettre un terme à ces opérations d'expropriation.
Entretien de M. Fassi Fihri avec le président du Parlement portugais

Entretien de M. Fassi Fihri avec le président du Parlement portugais
Rabat - Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taib Fassi Fihri, s'est entretenu, mercredi à Rabat, avec le président du Parlement portugais, M. Jaime Gama, des moyens de renforcer la coopération bilatérale.
Ces entretiens ont porté sur plusieurs questions d'intérêt commun, notamment les efforts déployés pour l'instauration d'un climat de stabilité, de paix et de progrès dans le pourtour méditerranéen, a indiqué M. Gama, dans une déclaration à la presse à l'issue de cette entrevue.
Le responsable portugais a réitéré, à cette occasion, le soutien de son pays aux initiatives de l'Union européenne (UE) visant à consolider et intensifier ses relations avec le Maroc, rappelant l'adhésion du Maroc aux activités et à plusieurs mécanismes et instruments du Conseil de l'Europe.
Le président du Parlement portugais a, par ailleurs, indiqué que son pays accorde une attention particulière aux efforts déployés par le Royaume dans plusieurs domaines, notamment ceux visant à trouver un règlement définitif à la question du Sahara.
Pour sa part, M. Fassi Fihri a indiqué avoir examiné avec le président du Parlement portugais les relations bilatérales et les moyens de renforcer les consultations entre les deux pays sur les questions d'intérêt commun.
"Nous avons également évoqué les relations du Maroc avec l'UE à la lumière du statut avancé octroyé au Royaume et la situation en Afrique", a-t-il ajouté.
L'accent a été également mis sur les efforts consentis par le Maroc pour trouver une solution politique à la question du Sahara, en particulier l'Initiative d'autonomie dans les provinces du sud du Royaume, a-t-il indiqué.
Ces entretiens ont été également l'occasion d'exposer au président du Parlement portugais les avancées réalisées par le Royaume dans les domaines politique, économique et social, ainsi que la vision de SM le Roi Mohammed VI concernant l'Union du Maghreb arabe (UMA), a noté M. Fassi Fihri.
L'initiative d'autonomie, "une proposition fiable et sérieuse" (député britannique)

L'initiative d'autonomie, "une proposition fiable et sérieuse" (député britannique)
Londres- L'initiative d'autonomie présentée par le Maroc, constitue "une proposition fiable et sérieuse" pour le règlement de la question du Sahara, a déclaré à la MAP M. Derek Conway, député britannique.
"L'initiative d'autonomie démontre l'ouverture du Maroc et sa disposition à aller de l'avant pour un règlement équitable de cette question", a dit M. Conway, membre conservateur de la Chambre des communes (Chambre basse du parlement britannique).
Le député, qui a interpelé cette semaine le gouvernement britannique au sujet de la question du Sahara, en particulier la situation des sahraouis marocains retenus contre leur gré dans des camps de séquestration à Tindouf en territoire algérien, a souligné que "des pressions doivent être exercées sur l'Algérie en vue de l'amener à faire preuve d'ouverture et d'esprit de dialogue".
"La communauté internationale est consciente que tous les gestes de bonne volonté et de dialogue sont venus du Maroc", a-t-il dit, ajoutant qu'"il est dans l'intérêt de l'Algérie de faire preuve d'ouverture".
Revenant sur la situation des populations séquestrées dans les camps de Tindouf, le député britannique a déploré le fait que cette situation inhumaine dure depuis des années, appelant la communauté internationale "à ne plus se montrer indifférente aux souffrances de ces populations".
Le parlementaire a, par ailleurs, souligné que "nombreux sont les députés britanniques qui estiment que la proposition d'autonomie présentée par le Maroc mérite d'être encouragée, car il s'agit de la meilleure façon d'avancer vers un règlement".
M. Conway s'est, par ailleurs, félicité des progrès démocratiques et de modernisation réalisés par le Maroc, sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, citant notamment les progrès au niveau de la consolidation des droits de la femme.
"Qu'il s'agisse de la démocratisation, de la modernisation ou de l'ancrage de la culture des droits de l'Homme, le Maroc montre la voie à suivre dans sa région", a-t-il dit, soulignant l'importance du projet novateur de régionalisation lancé par le Maroc.
"Tous ces progrès sont favorablement accueillis par les communautés politiques et des affaires dans le monde", a-t-il conclu.
Exclusif: viol d'une fonctionnaire onusienne à Tindouf

Exclusif: viol d'une fonctionnaire onusienne à Tindouf
Selon des sources proches de la minurso contactées à Laayoune par infosahara (www.infosahara.com), une fonctionnaire du HCR, a été victime d’un viol collectif commis par trois individus aux visages masqués et habillés en tenues militaires du Polisario, alors qu’elle se rendait en tournée d’inspection dans les camps des séquestrés de Tindouf, dans le sud-ouest algérien.
Le hasard a voulu que la victime soit une Algérienne, il s'agit de Rahmouna Dahousse .Les agresseurs se sont également livrés à des actes barbares à l’encontre de la fonctionnaire onusienne. Cette dernière, qui a été abandonnée en plein désert après ce viol collectif a été recueillie par une équipe de la Minurso avant d’être emmenée dans un dispensaire à Rabouni pour avoir les soins nécessaires. Le médecin de garde ,vu l'état grave de la victime , a délivré une attestation d' arrêt maladie de deux mois, et qui atteste que Rahmouna a été belle et bien victime de viols multiples ainsi que de coups et blessures.
Rahmouna, a décidé de porter plainte, mais les barbouzes de Mohamed Abdelaziz et grâce à l'impunité dont ils jouissent depuis toujours, ont mis mains et pieds pour la dissuader. Devant l'insistance de la victime, le Polisario a dépêché un émissaire un peu spécial : Khadija Hamdi, l’épouse du secrétaire Général du Polisario , ministre de la culture de la pseudo "Rasd" , caissière de la "république" et d'origine algérienne surtout pour régler ce "malentendu". Rahmouna Dahousse a refusé catégoriquement l'offre "généreuse" d'une compensation financière pour les dommages subis .Devant cet échec, Khadija Hamdi a changé de tempérament et a accusé la victime, devant l'étonnement de tout le monde, d'être responsable de ce qui s'est passé et que c'est elle-même qui a "séduit " ses agresseurs !!!Vu qu'elle portait une tenue qui n'est pas convenable!!! Aurait- elle du mettre "le burqaa"pour ne pas subir ce malheureux calvaire???
Quel sera le dénouement de cette affaire ? Et qu'en est- il des milliers de femmes sahraouies séquestrées à Tindouf si ce qui s'est passé est arrivé à une Algérienne et fonctionnaire de l'ONU.
La minurso assumera – elle sa responsabilité dans la protection de ses employés ou cédera-t-elle aux pressions du Polisario ? la justice algérienne aura –elle le courage de rendre justice à une citoyenne algérienne violée et maltraitée par les chouchous du Polisario???
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