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mardi 15 décembre 2009

La dénommée A. Haidar agit selon un stratagème monté par le "polisario" et l'Algérie (Ould Errachid


La dénommée A. Haidar agit selon un stratagème monté par le "polisario" et l'Algérie (Ould Errachid

Le président du Conseil Royal consultatif pour les affaires sahariennes (CORCAS), M. Khalihenna Ould Errachid a affirmé que la dénommée Aminatou Haidar agit selon un stratagème monté, ailleurs, par le "polisario" et l'Algérie dans le but d'embarrasser le Maroc et l'Espagne.




En fomentant ce plan, le "polisario" et l'Algérie tentent de se désengager de leurs responsabilités vis-à-vis des résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU appelant à trouver une solution urgente et négociée à la question du Sahara, en vue d'instaurer la paix, promouvoir la coopération et édifier l'Union du Maghreb Arabe, a indiqué M. Ould Errachid, qui était samedi l'invité du JT de la chaîne satellitaire MBC.

La dénommée A. Haidar a choisi le "moment opportun" afin de jouer ce spectacle "politisé" pour des raisons n'ayant aucun lien avec sa propre personne ou les activités qu'elle exerçait à Laâyoune, mais qui s'inscrivent en droite ligne dans un plan visant à nuire aux intérêts suprêmes du Maroc en ce qui concerne sa souveraineté et son unité territoriale.

La dénommée A. Haidar, a-t-il relevé, pourrait regagner sa patrie, mais ceci dépend d'elle, précisant qu'elle peut mettre fin à sa grève de la faim et demander à recouvrir sa nationalité, avec son engagement de reprendre ses anciennes activités dans le domaine des droits de l'Homme dans le respect de la Constitution et des lois marocaines

Naciri: le Maroc n'a aucune suite à donner à l'affaire de la dénommée Aminatou Haidar


Naciri: le Maroc n'a aucune suite à donner à l'affaire de la dénommée Aminatou Haidar

Le cas A. Haidar n'affectera pas les bonnes relations du Maroc avec les Canaries

Le cas A. Haidar n'affectera pas les bonnes relations du Maroc avec les Canaries

Le cas Aminatou Haidar n'affectera pas les bonnes relations entre le Maroc et les îles Canaries, a affirmé, lundi soir à Las Palmas, M. Mohand Laensar, ministre d'Etat, secrétaire général du Mouvement populaire (MP), en visite dans l'archipel. Dans une déclaration à la presse, au terme de sa rencontre avec le chef régional du Parti Populaire (PP), vice-président et conseiller à l'Economie et aux Finances du gouvernement autonome canarien, M. José Manuel Soria, M. Laensar a indiqué que "le Maroc, les îles Canaries et l'Espagne sont tous victimes de la situation d'A. Haidar", précisant que le Maroc "ne va pas céder au chantage" exercé par cette femme. Le secrétaire général du MP a qualifié d'"excellentes" les relations maroco-canariennes, qui ne vont aucunement être affectées par cette situation, précisant que la dénommée A. Haidar exerce un chantage aussi bien sur le Maroc que sur l'Espagne et les Iles Canaries. Il a tenu à rappeler que cette femme a renié sa nationalité marocaine, et qu'elle a pendant des années pu circuler librement et défendre ses idées en toute liberté. Le problème a surgi quand elle a affirmé qu'elle n'est pas Marocaine, a dit M. Laensar, précisant que le Sahara est un territoire marocain et par conséquent les personnes qui y résident sont des Marocains. Pour sa part, M. Soria a indiqué que le renforcement des relations économiques entre le Maroc et les îles Canaries constituent un "objectif prioritaire" pour l'archipel, qualifiant ces relations de "bonnes et qui resteront toujours bonnes". Selon le président du PP aux îles Canaries, la rencontre a été une occasion pour aborder également le cas A. Haidar "du point de vue humanitaire, et non pas politique", dans le but de lui trouver une solution. De son côté, Mme Zahra Chagaf, parlementaire et présidente de l'Union des femmes du MP, a dénoncé l'exploitation par la dénommée A. Haidar de ses enfants dans ce chantage. Lors de son séjour aux Canaries, M. Laensar a été reçu, lundi matin au siège du Parlement autonome à Santa Cruz de Tenerife, par le président de la Chambre régionale, M. Antonio Castro, membre de la Coalition Canarienne (CC). Il a eu également des entretiens avec Mme Cristina Tavio, présidente insulaire du PP et vice-présidente du Parlement autonome, et avec M. Santiago Perez, porte-parole du Groupe socialiste (PSC-PSOE) à la Chambre régionale. Ces entretiens se sont déroulés en présence de Mme Zahra Chagaf, de M. Mokhtar Jomani, conseiller et membre du bureau politique du parti, et du Consul général du Royaume à Las Palmas, M. Abderrahmane Leibek. La délégation marocaine a tenu, en outre, une réunion avec l'ex-chef du gouvernement autonome des îles Canaries, M. Adan Martin Menis et l'ex-conseillère chargée de la Culture à l'Exécutif régional, Dulce Xerach, membres de la Coalition Canarienne. Elle aura mardi une rencontre avec le chef du gouvernement canarien, M. Paulino Rivero, et la déléguée du gouvernement espagnol à Las Palmas, Mme Carolina Darias. Selon M. Laensar, la visite aux îles Canaries a pour objectif de réitérer aux Canariens, au Parlement et au gouvernement autonome, la volonté et l'intérêt du Maroc à développer des relations de coopération et d'amitié avec l'archipel, et leur expliquer la position du gouvernement marocain en ce qui concerne le problème créé autour de la dénommée Aminatou Haidar, qui est "un problème politique exploité sous une couverture humanitaire et des droits humains". Il s'agit d'une manoeuvre obéissant à la stratégie de l'Algérie et du polisario, a dit M. Laensar, notant que tout le monde sait que cette femme est instrumentalisée dans cette affaire.

vendredi 2 octobre 2009

Le Maroc et l'Andalousie ont développé une "alliance stratégique" en économie (président andalou)


Le Maroc et l'Andalousie ont développé une "alliance stratégique" en économie (président andalou)



Le Maroc et l'Andalousie ont développé une "alliance stratégique", notamment dans le domaine économique, a affirmé, lundi à Rabat, le président du gouvernement autonome d'Andalousie, M. José Antonio Grinan, actuellement en visite officielle de quatre jours dans le Royaume.

Lors d'une conférence de presse conjointe avec le Premier ministre, M. Abbas El Fassi, au terme de leurs entretiens, le responsable espagnol a souligné l'importance de maintenir en hausse, en dépit de la crise économique mondiale, le volume des échanges commerciaux entre le Maroc l'Andalousie, qui représentent plus de 17 pc du total de ceux entre le Royaume et l'Espagne.

Il a ainsi formé le vœu de voir la coopération entre les deux pays toucher d'autres secteurs clés à l'image de l'eau, l'agriculture, la technologie et les énergies renouvelables.

M. Grinan a, par ailleurs, appelé à consolider davantage la coopération bilatérale aux niveaux culturel, éducatif et de formation en vue de favoriser une meilleure connaissance mutuelle.

"Une relation économique fructueuse est tributaire d'une coopération culturelle profonde", a estimé le responsable andalou qui a rendu hommage au rôle joué par la Fondation des Trois Cultures et des Trois Religions de la Méditerranée.

Concernant la question de l'intégrité territoriale du Royaume, M. Grinan a qualifié "d'intéressante" l'initiative marocaine d'accorder une large autonomie à ses provinces du sud, ajoutant que "le règlement de la question du Sahara doit s'opérer dans le cadre des Nations Unies avec la collaboration des pays amis ".

De son côté, M. Abbas El Fassi a mis en exergue les relations de coopération existant entre le Maroc et l'Espagne d'une part, et le Maroc et l'Andalousie d'autre part, soulignant que la visite au Maroc de M. Grinan, le premier déplacement du chef de l'exécutif régional andalou à l'étranger, reflète les liens d'amitié et de bon voisinage.

Le Premier ministre a indiqué avoir rappelé au responsable andalou les réformes initiées par le Maroc, notamment en matière de démocratie.

Le code la famille, la liberté de la presse ainsi que le respect des droits de l'Homme au Maroc ont été également au centre de cette entrevue, a-t-il ajouté.

S'agissant de la question de l'intégrité territoriale du Royaume, M. Abbas El Fassi a indiqué avoir exposé à son interlocuteur les derniers développements de la question du Sahara, soulignant, à cet égard, que le Maroc a récupéré ses provinces du sud dans le cadre de la légalité internationale, tout en rappelant le soutien de la Communauté internationale à l'initiative marocaine d'accorder une large autonomie à ces provinces

L'Algérie a transformé les camps de Tindouf en un espace d"'illégalité absolue


L'Algérie a transformé les camps de Tindouf en un espace d"'illégalité absolue


L'ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l'Office des Nations unies à Genève, M. Omar Hilale, a affirmé, mercredi, que par son abdication de ses obligations internationales, l'Algérie a transformé les camps de Tindouf en un espace d'"illégalité absolue".





M. Hilale, qui intervenait lors de la 60ème session du Comité exécutif du Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), a étayé ses propos en présentant les éléments du rapport mondial sur les réfugiés, du Comité américain pour les réfugiés et les migrants pour l'année 2009 (World Refugee Survey of the US Committee for Refugees and Immigrants), qui confirme que l'Algérie a totalement failli à ses responsabilités internationales à l'égard des populations des camps de Tindouf.

Ce rapport dresse un tableau accablant sur la situation humanitaire et des droits humains dans ces camps qui devrait interpeller le HCR et son Comité exécutif, a insisté le diplomate marocain, ajoutant que les constats de ce document, qui ne sont pas nouveaux, ont cependant le triste mérite de confirmer la poursuite des violations des droits de l'homme dans les camps de Tindouf.

Le rapport, a précisé M. Hilale, relève six graves violations dans les camps de Tindouf, à savoir le refus du recensement de leurs populations par l'Algérie, le détournement de l'aide alimentaire, le caractère militaire de ces camps, les restrictions à la liberté de circulation et de résidence, les restrictions et discrimination en matière d'emploi et intégration et la persistance de l'esclavage dans les camps.

L'ambassadeur marocain a affirmé que les constats de ce rapport prouvent que l'Algérie viole la légalité internationale, les décisions du Comité exécutif du HCR consacrées à la question du recensement et celles relatives à l'impératif de préserver le caractère civil des camps. Ils constituent également, a-t-il signalé, une violation par l'Algérie du droit international des réfugiés, des résolutions pertinentes de l'Assemblée générale de l'ONU, des dispositions pertinentes de la Déclaration universelle des droits de l'homme, de la Convention de Genève et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques.

M. Hilale a noté que le rapport du comité américain corrobore, s'agissant de la persistance de l'esclavage dans les camps, les conclusions du dernier rapport de Human Right Watch (HRW) (2008) sur l'esclavage dans lesdits camps et confirme les témoignages recueillis par deux journalistes australiens dans leur film "L'Apartheid du désert".
Le diplomate marocain a ajouté que les restrictions à la liberté de circulation et de résidence dans les camps de Tindouf relevées par le document, confirment bien que leurs populations sont victimes de séquestration.

En raison de la persistance de l'opposition algérienne au rapatriement des populations des camps de Tindouf librement consenti, a-t-il indiqué, le Maroc réitère sa demande au HCR d'intégrer ces population dans sa stratégie pour les solutions durables et ses efforts pour mettre en œuvre particulièrement leur réinstallation dans des pays tiers.

Il a rappelé que depuis le déclenchement du conflit sur le Sahara marocain, le Maroc n'a pas cessé d'attirer l'attention du HCR et de la Communauté internationale sur la situation humanitaire dramatique des populations séquestrées dans les camps de Tindouf et le traitement dégradant qu'elles y subissent, précisant que les inquiétudes du Royaume ont été confirmées par plusieurs rapports internationaux dont ceux d'Amnesty International et de HRW (2009), qui ont sévèrement critiqué la démission de l'Algérie de ses responsabilités internationales dans les camps, en faveur du polisario.

Une telle attitude, a-t-il dit, porte gravement atteinte aux droits des populations des camps et constitue un obstacle sérieux au mandat du HCR en matière de protection de ces populations.