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lundi 7 décembre 2009

Aminatou Haidar et le Polisario se vengent de l’Espagne et s’impliquent dans l’enlèvement de trois espagnols en Mauritanie


Aminatou Haidar et le Polisario se vengent de l’Espagne et s’impliquent dans l’enlèvement de trois espagnols en Mauritanie


Le Polisario prend sa revanche de l’Espagne et soutient l’enlèvement des trois ressortissants espagnols en Mauritanie.



Selon l’Agence France presse un ex cadre du Polisario dénommé Azouz est à l’origine de l’ l’enlèvement des trois espagnols en Mauritanie. Le Polisario a soutenu matériellement cette opération terroriste en guise de vengeance de l’Espagne qui a accepté d’accueillir Aminatou Haidar après avoir été refoulée de Laâyoune.



D’après des sources fiables proches de l’enquête, l’investigation sur l’enlèvement le 29 Novembre des trois humanitaires sur la route Nouadhibou-Nouakchott tend à démontrer qu’un soutien opérationnel de membres du Front Polisario aurait été apporté à Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI). Portant notamment sur le repérage des itinéraires des trois étrangers, ainsi que sur la transmission d’informations relatives à leur action en Mauritanie, le soutien de membres du Front Polisario à l’organisation terroriste AQMI devrait poser un grave problème d’image au mouvement, au moment où l’Algérie tente par tous les moyens de lui construire une crédibilité.



Depuis plusieurs semaines, l’on assistait de la part des autorités mauritaniennes à une intensification de la lutte contre AQMI, avec la multiplication d’arrestations et le renforcement de la coopération avec le Niger et le Mali. Il était donc techniquement difficile pour l’organisation terroriste d’organiser un enlèvement de cette ampleur sans utiliser une base logistique connaissant la région, et prête à s’allier avec les islamistes afin de diversifier ses sources de revenus.



En effet, selon la même source, une demande de rançon pourrait être formulée très rapidement par les ravisseurs, portant sur un échange de prisonniers et non sur du numéraire, ce qui tendrait à démontrer la fébrilité d’AQMI, ainsi que le virage mercantile pris par une frange du Front Polisario, qui était jusqu’alors spécialisée dans le trafic de marchandises et dans le transport de stupéfiants en connexion avec des groupes mafieux sud-américains. Or, depuis plusieurs mois, la lutte contre le narcotrafic au Sahel a réduit la marge de manœuvre des terroristes et du Front Polisario, et il restait donc à conquérir l’ultime bastion de la criminalité : le Kidnapping d’étrangers. De l’avis de plusieurs spécialistes, le virage pris par le terrorisme et la criminalité au sein de l’arc sahélien constitue un défi très important à relever, car la constitution d’une alliance « opportuniste » entre une frange du Front Polisario et AQMI pourrait constituer un cocktail extrêmement difficile à neutraliser, dans un contexte régional particulièrement complexe.



De surcroit, l’« alchimie » dans le nord ouest de

la Mauritanie

est tout à fait particulière, car des activistes mauritaniens au sein de la branche maghrébine d’Al Qaida côtoient de trafiquants du Polisario qui risquent de se radicaliser devant l’impasse qui leur est offerte par leur mouvement. Le risque, à très court terme : que le front Polisario devienne les « FARC » du Maghreb, c'est-à-dire une organisation qui a recours aux enlèvements massifs d’étrangers, mutualisés (ou pas) avec AQMI, les uns répondant à une obligation « alimentaire », les autres obéissant à un impératif idéologique…Dans les deux cas, c’est la stabilité du Maghreb et du monde qui est perdante. Ce ne serait pas là la première fois que le front Polisario s’allie avec AQMI. Le 6 Juin 2005, lors de l’attaque contre la base militaire de Lemgheity, la participation d’un membre du Front Polisario, Mouawiya Ould Lamine Loubeid (décédé depuis) a été établie par l’équipe chargée de l’enquête.

Une ONG exprime son étonnement des déclarations sur le Sahara attribuées à Ban-Ki-moon

Une ONG exprime son étonnement des déclarations sur le Sahara attribuées à Ban-Ki-moon


La Ligue des défenseurs des droits de l'Homme au Sahara a exprimé, vendredi, son étonnement des déclarations attribuées au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, au sujet de la question du Sahara et du contenu de sa lettre au "président" de la prétendue "RASD".






Dans une lettre adressée au secrétaire général de l'ONU, la ligue souligne que ces déclarations "contiennent des contrevérités préjudiciables au processus de négociations entre les parties, parrainées par l'ONU".

Dans cette lettre, dont copie est parvenue à la MAP, la Ligue indique que "le devoir de réserve et la neutralité requis dans l'action de l'organisation des Nations unies exigent de ne pas se fier aux allégations du Polisario et son parrain, l'Algérie", notant que "toute insinuation que l'arrestation et la présentation devant la justice d'un groupe d'individus seraient source de tensions entre les parties, est une fuite en avant et un désengagement des responsabilités".

Elle précise, à cet égard, que l'arrestation de ce groupe est "la conséquence naturelle de pratiques menées par la direction du Polisario, qui vont dans le sens de l'escalade, pour saper les efforts déployés par la communauté internationale en vue de dépasser l'impasse actuelle".

"Cette escalade dans laquelle s'est engagé le polisario ne date pas d'aujourd'hui", dénonce l'ONG, ajoutant que "le polisario, comme le sait très bien la Minurso, procède, depuis des années, à des violations flagrantes du cessez-le-feu, en organisant des défilés militaires provocateurs dans la région tampon".

Elle s'est dite également surprise par "la préoccupation exagérée du secrétaire général de l'ONU vis-à-vis du cas de ces individus qui se cachent derrière des slogans mensongers et exploitent la question des droits de l'homme", l'appelant "à se préoccuper de la situation des droits de l'homme dans les camps de Tindouf où sont commises violations et abus des droits de l'homme à l'encontre des habitants et dont les souffrances sont exploitées comme fonds de commerce dans les différents forums internationaux".

Elle a attiré l'attention du SG de l'Onu sur les détournements par les dirigeants du Polisario des aides humanitaires, invitant M. Ki-moon "à ne pas se laisser aller derrière les campagnes de propagande commandées, visant à induire en erreur la communauté internationale sur la situation des droits de l'homme dans les provinces du sud".

L'ONG réitère son appel à l'établissement d'un recensement pour connaître le nombre réel des sahraouis établis dans les camps de Tindouf et à œuvrer pour la création d'un mécanisme onusien chargé de la distribution et

jeudi 3 décembre 2009

Aminatou Haidar et le Polisario se vengent de l’Espagne et s’impliquent dans l’enlèvement de trois espagnols en Mauritanie


Aminatou Haidar et le Polisario se vengent de l’Espagne et s’impliquent dans l’enlèvement de trois espagnols en Mauritanie

Le Polisario prend sa revanche de l’Espagne et soutient l’enlèvement des trois ressortissants espagnols en Mauritanie.



Selon l’Agence France presse un ex cadre du Polisario dénommé Azouz est à l’origine de l’ l’enlèvement des trois espagnols en Mauritanie. Le Polisario a soutenu matériellement cette opération terroriste en guise de vengeance de l’Espagne qui a accepté d’accueillir Aminatou Haidar après avoir été refoulée de Laâyoune.



D’après des sources fiables proches de l’enquête, l’investigation sur l’enlèvement le 29 Novembre des trois humanitaires sur la route Nouadhibou-Nouakchott tend à démontrer qu’un soutien opérationnel de membres du Front Polisario aurait été apporté à Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI). Portant notamment sur le repérage des itinéraires des trois étrangers, ainsi que sur la transmission d’informations relatives à leur action en Mauritanie, le soutien de membres du Front Polisario à l’organisation terroriste AQMI devrait poser un grave problème d’image au mouvement, au moment où l’Algérie tente par tous les moyens de lui construire une crédibilité.

Depuis plusieurs semaines, l’on assistait de la part des autorités mauritaniennes à une intensification de la lutte contre AQMI, avec la multiplication d’arrestations et le renforcement de la coopération avec le Niger et le Mali. Il était donc techniquement difficile pour l’organisation terroriste d’organiser un enlèvement de cette ampleur sans utiliser une base logistique connaissant la région, et prête à s’allier avec les islamistes afin de diversifier ses sources de revenus.



En effet, selon la même source, une demande de rançon pourrait être formulée très rapidement par les ravisseurs, portant sur un échange de prisonniers et non sur du numéraire, ce qui tendrait à démontrer la fébrilité d’AQMI, ainsi que le virage mercantile pris par une frange du Front Polisario, qui était jusqu’alors spécialisée dans le trafic de marchandises et dans le transport de stupéfiants en connexion avec des groupes mafieux sud-américains. Or, depuis plusieurs mois, la lutte contre le narcotrafic au Sahel a réduit la marge de manœuvre des terroristes et du Front Polisario, et il restait donc à conquérir l’ultime bastion de la criminalité : le Kidnapping d’étrangers. De l’avis de plusieurs spécialistes, le virage pris par le terrorisme et la criminalité au sein de l’arc sahélien constitue un défi très important à relever, car la constitution d’une alliance « opportuniste » entre une frange du Front Polisario et AQMI pourrait constituer un cocktail extrêmement difficile à neutraliser, dans un contexte régional particulièrement complexe.



De surcroit, l’« alchimie » dans le nord ouest de

la Mauritanie
est tout à fait particulière, car des activistes mauritaniens au sein de la branche maghrébine d’Al Qaida côtoient de trafiquants du Polisario qui risquent de se radicaliser devant l’impasse qui leur est offerte par leur mouvement. Le risque, à très court terme : que le front Polisario devienne les « FARC » du Maghreb, c'est-à-dire une organisation qui a recours aux enlèvements massifs d’étrangers, mutualisés (ou pas) avec AQMI, les uns répondant à une obligation « alimentaire », les autres obéissant à un impératif idéologique…Dans les deux cas, c’est la stabilité du Maghreb et du monde qui est perdante. Ce ne serait pas là la première fois que le front Polisario s’allie avec AQMI. Le 6 Juin 2005, lors de l’attaque contre la base militaire de Lemgheity, la participation d’un membre du Front Polisario, Mouawiya Ould Lamine Loubeid (décédé depuis) a été établie par l’équipe chargée de l’enquête.

mardi 1 décembre 2009

Une ONG exprime son étonnement des déclarations sur le Sahara attribuées à Ban-Ki-moon

Une ONG exprime son étonnement des déclarations sur le Sahara attribuées à Ban-Ki-moon


La Ligue des défenseurs des droits de l'Homme au Sahara a exprimé, vendredi, son étonnement des déclarations attribuées au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, au sujet de la question du Sahara et du contenu de sa lettre au "président" de la prétendue "RASD".






Dans une lettre adressée au secrétaire général de l'ONU, la ligue souligne que ces déclarations "contiennent des contrevérités préjudiciables au processus de négociations entre les parties, parrainées par l'ONU".

Dans cette lettre, dont copie est parvenue à la MAP, la Ligue indique que "le devoir de réserve et la neutralité requis dans l'action de l'organisation des Nations unies exigent de ne pas se fier aux allégations du Polisario et son parrain, l'Algérie", notant que "toute insinuation que l'arrestation et la présentation devant la justice d'un groupe d'individus seraient source de tensions entre les parties, est une fuite en avant et un désengagement des responsabilités".

Elle précise, à cet égard, que l'arrestation de ce groupe est "la conséquence naturelle de pratiques menées par la direction du Polisario, qui vont dans le sens de l'escalade, pour saper les efforts déployés par la communauté internationale en vue de dépasser l'impasse actuelle".

"Cette escalade dans laquelle s'est engagé le polisario ne date pas d'aujourd'hui", dénonce l'ONG, ajoutant que "le polisario, comme le sait très bien la Minurso, procède, depuis des années, à des violations flagrantes du cessez-le-feu, en organisant des défilés militaires provocateurs dans la région tampon".

Elle s'est dite également surprise par "la préoccupation exagérée du secrétaire général de l'ONU vis-à-vis du cas de ces individus qui se cachent derrière des slogans mensongers et exploitent la question des droits de l'homme", l'appelant "à se préoccuper de la situation des droits de l'homme dans les camps de Tindouf où sont commises violations et abus des droits de l'homme à l'encontre des habitants et dont les souffrances sont exploitées comme fonds de commerce dans les différents forums internationaux".

Elle a attiré l'attention du SG de l'Onu sur les détournements par les dirigeants du Polisario des aides humanitaires, invitant M. Ki-moon "à ne pas se laisser aller derrière les campagnes de propagande commandées, visant à induire en erreur la communauté internationale sur la situation des droits de l'homme dans les provinces du sud".

L'ONG réitère son appel à l'établissement d'un recensement pour connaître le nombre réel des sahraouis établis dans les camps de Tindouf et à œuvrer pour la création d'un mécanisme onusien chargé de la distribution et du contrôle des aides humanitaires".

L'autonomie est conçue par le Maroc comme "une forme de régionalisation extrême


L'autonomie est conçue par le Maroc comme "une forme de régionalisation extrême



Le Maroc a présenté la proposition d'autonomie des provinces du Sud en tant que " forme de régionalisation extrême", dans le cadre d'une double démarche visant à faire aboutir le processus de règlement sous l'égide de l'ONU et promouvoir une régionalisation élargie dans tout le Royaume, a affirmé le ministre de l'Intérieur, M. Chakib Benmoussa.

"A défaut d'un accord sur la question du Sahara, la régionalisation élargie s'effectuera dans un cadre strictement maroco-marocain, avec une priorité qui sera accordée aux régions du Sud", a indiqué le ministre.

Dans un entretien publié par l'hebdomadaire international +Jeune Afrique+ dans sa dernière livraison, M. Benmoussa a rappelé que "le Maroc a proposé une régionalisation plus poussée", en soulignant que "cette initiative devrait se réaliser dans le cadre d'une solution politique définitive de la question du Sahara avec l'ensemble des parties concernées et dans le respect de l'intégrité territoriale du Royaume et de son unité".

"Les deux démarches peuvent être complémentaires si le processus politique sous l'égide de l'ONU avance. Mais à défaut d'un accord sur la question du Sahara, la régionalisation élargie s'effectuera dans un cadre strictement maroco-marocain", a-t-il souligné, dans cette interview publiée à l'occasion de la 5-ème édition du sommet panafricain des villes et des collectivités locales +Africités+, prévu du 16 au 20 décembre prochain à Marrakech.

Selon le ministre, "la dynamique générale est un renforcement des régions, et l'autonomie est une forme de régionalisation extrême".

"Ce niveau extrême serait réservé aux provinces du Sud, dont le contexte historique est particulier", a-t-il expliqué.

"Au moment de leur récupération, les régions du Sahara étaient largement sous-équipées. Aujourd'hui, elles ont retrouvé un niveau de développement comparable à celui du reste du pays. Et parfois même supérieur, en termes d'indicateurs de développement humain", a-t-il ajouté.

Le sommet panafricain des villes et des collectivités locales que le Maroc abrite cette année se veut un espace de dialogue sur la décentralisation en Afrique.

Organisé tout les trois ans alternativement dans les différentes régions du continent, ce sommet a été lancé en 1998 à Abidjan en Côte d'Ivoire.

"Ce sommet est avant tout l'occasion d'échanges, de partage d'expériences entre les acteurs réunis: ministres en charge du développement local, élus, universitaires, experts etc.", a indiqué M. Benmoussa.

Il a estimé qu'"aujourd'hui, avec la crise, le monde se cherche, il a besoin de régulations, et la voix des collectivités locales, souvent plus proches des réalités du terrain parce qu'elles travaillent sur l'économie réelle et non sur l'économie virtuelle, est une voix qui a besoin de se faire entendre

L'autonomie est conçue par le Maroc comme "une forme de régionalisation extrême

L'autonomie est conçue par le Maroc comme "une forme de régionalisation extrême



Le Maroc a présenté la proposition d'autonomie des provinces du Sud en tant que " forme de régionalisation extrême", dans le cadre d'une double démarche visant à faire aboutir le processus de règlement sous l'égide de l'ONU et promouvoir une régionalisation élargie dans tout le Royaume, a affirmé le ministre de l'Intérieur, M. Chakib Benmoussa.

"A défaut d'un accord sur la question du Sahara, la régionalisation élargie s'effectuera dans un cadre strictement maroco-marocain, avec une priorité qui sera accordée aux régions du Sud", a indiqué le ministre.

Dans un entretien publié par l'hebdomadaire international +Jeune Afrique+ dans sa dernière livraison, M. Benmoussa a rappelé que "le Maroc a proposé une régionalisation plus poussée", en soulignant que "cette initiative devrait se réaliser dans le cadre d'une solution politique définitive de la question du Sahara avec l'ensemble des parties concernées et dans le respect de l'intégrité territoriale du Royaume et de son unité".

"Les deux démarches peuvent être complémentaires si le processus politique sous l'égide de l'ONU avance. Mais à défaut d'un accord sur la question du Sahara, la régionalisation élargie s'effectuera dans un cadre strictement maroco-marocain", a-t-il souligné, dans cette interview publiée à l'occasion de la 5-ème édition du sommet panafricain des villes et des collectivités locales +Africités+, prévu du 16 au 20 décembre prochain à Marrakech.

Selon le ministre, "la dynamique générale est un renforcement des régions, et l'autonomie est une forme de régionalisation extrême".

"Ce niveau extrême serait réservé aux provinces du Sud, dont le contexte historique est particulier", a-t-il expliqué.

"Au moment de leur récupération, les régions du Sahara étaient largement sous-équipées. Aujourd'hui, elles ont retrouvé un niveau de développement comparable à celui du reste du pays. Et parfois même supérieur, en termes d'indicateurs de développement humain", a-t-il ajouté.

Le sommet panafricain des villes et des collectivités locales que le Maroc abrite cette année se veut un espace de dialogue sur la décentralisation en Afrique.

Organisé tout les trois ans alternativement dans les différentes régions du continent, ce sommet a été lancé en 1998 à Abidjan en Côte d'Ivoire.

"Ce sommet est avant tout l'occasion d'échanges, de partage d'expériences entre les acteurs réunis: ministres en charge du développement local, élus, universitaires, experts etc.", a indiqué M. Benmoussa.

Il a estimé qu'"aujourd'hui, avec la crise, le monde se cherche, il a besoin de régulations, et la voix des collectivités locales, souvent plus proches des réalités du terrain parce qu'elles travaillent sur l'économie réelle et non sur l'économie virtuelle, est une voix qui a besoin de se faire entendre

Le Mexique appuie la démarche de Christopher Ross pour une solution définitive à la question du Sahara (ministre des AE)


Le Mexique appuie la démarche de Christopher Ross pour une solution définitive à la question du Sahara (ministre des AE)

Le Mexique soutient "les démarches entreprises par l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU, M. Christopher Ross, pour parvenir à une solution définitive du conflit'' sur le Sahara, a affirmé la ministre mexicaine des Affaires étrangères, Mme Patricia Espinosa.




Dans un entretien à la MAP à l'occasion de sa visite au Maroc à partir de ce mardi, Mme Espinosa a souligné que le Mexique a apporté "un appui permanent" à une "solution juste, durable et mutuellement acceptable" de la question du Sahara dans le cadre de l'ONU.

La ministre a rappelé que son pays avait soutenu la prorogation du mandat de la Mission de l'ONU au Sahara (Minurso) en tant "qu'élément qui contribue aux efforts de l'ONU pour parvenir à une solution définitive".

Le Mexique "se félicite des avancées enregistrées dans l'échange de visites familiales en tant que mesure de confiance entre les parties'', a-t-elle dit, ajoutant que son pays soutient le travail dans ce sens du Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés.

Mme Espinosa entame ce mardi une visite au Maroc où elle devra avoir une série de rencontres avec les responsables marocains