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mardi 17 novembre 2009

Les propos d'Aminatou Haidar, une déviation de l'unanimité nationale et une trahison à la Nation (Biadillah)


Les propos d'Aminatou Haidar, une déviation de l'unanimité nationale et une trahison à la Nation (Biadillah)


Le secrétaire général du Parti authenticité et modernité (PAM), M. Mohamed Cheikh Biadillah a fermement dénoncé les déclarations faites, vendredi, par la dénommée Aminatou Haidar, affirmant que cet acte provocateur constitue "une déviation de l'unanimité nationale et une trahison à la Nation".

Dans une déclaration à la MAP, M. Biadillah a rappelé qu'"en dépit du fait qu'elle ait sillonné plusieurs capitales mondiales pour porter atteinte à l'intégrité territoriale du Maroc et offenser les sentiments patriotiques des Marocains, la dénommée Aminatou Haïdar était, il y a encore peu, une citoyenne marocaine", une réalité qu'elle renie aujourd'hui.

Tout le monde sait que "les services secrets d'un pays voisin sont derrière Aminatou Haidar et ses semblables qui naviguent dans le même sens", en mettant à profit le climat de liberté qui prévaut dans le Royaume à des fins personnelles qui n'ont rien à voir ni avec la liberté ni avec les droits de l'Homme, a souligné le SG du PAM.

Selon M. Biadillah, les agissements de la dénommée Aminatou Haidar s'inscrivent dans le cadre d'une campagne de mensonges et de fausses allégations, conduite par les ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume et certaines parties européennes qui ignorent la réalité dans la région. Aminatou Haidar perdra cette guerre et comprendra avec le temps ce qu'elle ignore aujourd'hui, a-t-il dit.

Le discours adressé par SM Le Roi Mohammed VI à la nation à l'occasion du 34è anniversaire de la glorieuse marche verte, institue pour une nouvelle étape où les populations des provinces du Sud auront une plus grande conscience de leur avenir et leurs droits, et s'inscriront ainsi dans la dynamique créée par le discours royal", a indiqué M. Biadillah.

Cette dynamique, a-t-il expliqué, a ressuscité l'esprit de la marche verte et du serment que nous avons fait de rester fidèle à cet esprit, de défendre notre patrie, son intégrité territoriale et sa souveraineté de toutes nos forces".

"Nous souhaitons une Intifada dans les camps de Tindouf pour que les populations qui y sont séquestrées prennent conscience qu'elles sont exploitées à des fins étrangères à leurs droits et le devenir de leurs enfants", a-t-il affirmé.

"Que font-ils là-bas depuis 33 ans", s'est interrogé M. Biadillah, affirmant que "les générations qui sont nées dans ces camps veulent être associées à l'édification de leur avenir et n'aspirent nullement à voir éclore un Etat nain dans la région".

Le Secrétaire général du PAM a, par ailleurs, indiqué que l'initiative marocaine d'autonomie, qui a suscité l'intérêt et l'adhésion de grandes puissances mondiales, de la communauté internationale et des Nations Unies, constitue la seule voie pour régler définitivement le conflit artificiel autour du Sahara marocain et "aller ensemble, la main dans la main, pour édifier notre avenir".

Cette option préserve la dignité de l'Algérie, du +polisario+ et de certains égarés", a-t-il estimé.

M. Biadillah a, dans ce sens, formé le vœu que "les générations d'après la Marche verte puissent bien comprendre ces +batailles auxiliaires+ que nous imposent des parties étrangères qui prennent pour alibi les droits de l'Homme pour s'élever contre nos intérêts".

"Tout le monde sait très bien que les droits de l'Homme dans les provinces du Sud sont respectés au point que Aminatou Haidar et ses semblables se permettent de sillonner le monde avec des passeports marocains et d'attaquer le Maroc", a-t-il conclu

La presse nationale dénonce le comportement de la dénommée Aminatou Haidar


La presse nationale dénonce le comportement de la dénommée Aminatou Haidar


Les quotidiens nationaux paraissant, ce lundi, sont unanimes à dénoncer le comportement et les propos de la dénommée Aminatou Haidar qui a renié, samedi à Laâyoune, sa nationalité marocaine et refusé de se conformer aux règles d'usage dans les aéroports du Royaume.

La presse retrace les tenants et aboutissants de cette nouvelle provocation orchestrée par les adversaires de l'intégrité territoriale du Royaume, précisant que cette banale traîtresse, refoulée sur les Iles Canaries, n'est qu'un pion de trop téléguidé par Alger et les séparatistes du polisario.

A cet égard, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, M. Taib Fassi Fihri, cité par la presse, a indiqué que le Maroc rejette totalement les allégations de certains médias et organisations étrangers, qui se sont empressés à recourir à la désinformation, faisant état "d'arrestation", de "pression", de "contrainte exercée" sur la dénommé Aminatou Haidar ou encore de "violation de la légalité internationale".

Les quotidiens qui se réfèrent au discours royal à l'occasion du 34ème anniversaire de la Marche Verte dans lequel le Souverain a notamment affirmé qu'"il n'y a plus de place pour l'ambiguïté et la duplicité: ou le citoyen est Marocain, ou il ne l'est pas", soulignent la nécessité d'une mobilisation contre les traîtres.

+Libération+ écrit qu'"apparemment, il y en aurait qui s'entêtent à ne pas vouloir comprendre et qui donnent l'air de trop se complaire dans une ambiguïté et dans une duplicité innommables" citant le cas de la séparatiste Aminatou Haidar.

Sous le titre "la renégate", +L'Opinion+ fait constater que "Aminatou Haidar, notoire activiste sahraouie, semble se complaire dans son statut de renégate à la solde des services algériens et des tortionnaires du polisario. Elle s'y plait et elle le fait savoir".

Il s'agit d'"une autre gesticulation au fait qui s'ajoute à celle du tristement célèbre Ali Tamek face aux avancées significatives qu'a connues le dossier du Sahara marocain au niveau international et des Nations Unies et en particulier la nouvelle dynamique de négociations engagée à la faveur de l'initiative marocaine d'autonomie", souligne la publication.

Deux associations sahraouies dénoncent la visite d'un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon du Sahara marocain

Deux associations sahraouies dénoncent la visite d'un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon du Sahara marocain



Deux associations sahraouies basées à Dakhla ont dénoncé la visite entreprise récemment par un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon de "Bir Lahlou" au Sahara marocain.

Dans un communiqué commun, l'Association Arrai pour la défense de la marocanité du Sahara et des séquestrés de Tindouf et l'Association de nos enfants pour la solidarité et le travail social se sont dites "sidérées par le comportement irresponsable imbibé d'esprit belliqueux dont a fait montre une délégation parlementaire algérienne dans les territoires du Sahara marocain, plus précisément à Bir Lahlou ".

"Cette visite, loin d'être une action de solidarité avec les sahraouis, est une action de sabotage des efforts de l'ONU et de la communauté internationale" et "une pleutre tentative pour contrecarrer l'accueil favorable réservée à l'initiative d'autonomie marocaine, solution idoine pour l'extinction de ce foyer de tension et l'avènement d'une paix dans cette région nord ouest africaine", souligne le communiqué.

Les deux associations sahraouies ont lancé à cette occasion un appel à l'ONU et à la communauté internationale pour intervenir en vue "de mettre fin à ces provocations algériennes qui interviennent au moment où l'on se rapproche d'une solution permettant aux Sahraouis de regagner leur mère-patrie et de se libérer du calvaire qu'ils endurent dans les camps de Tindouf".

Deux associations sahraouies dénoncent la visite d'un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon du Sahara marocain

Deux associations sahraouies dénoncent la visite d'un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon du Sahara marocain



Deux associations sahraouies basées à Dakhla ont dénoncé la visite entreprise récemment par un groupe de parlementaires algériens dans la zone tampon de "Bir Lahlou" au Sahara marocain.

Dans un communiqué commun, l'Association Arrai pour la défense de la marocanité du Sahara et des séquestrés de Tindouf et l'Association de nos enfants pour la solidarité et le travail social se sont dites "sidérées par le comportement irresponsable imbibé d'esprit belliqueux dont a fait montre une délégation parlementaire algérienne dans les territoires du Sahara marocain, plus précisément à Bir Lahlou ".

"Cette visite, loin d'être une action de solidarité avec les sahraouis, est une action de sabotage des efforts de l'ONU et de la communauté internationale" et "une pleutre tentative pour contrecarrer l'accueil favorable réservée à l'initiative d'autonomie marocaine, solution idoine pour l'extinction de ce foyer de tension et l'avènement d'une paix dans cette région nord ouest africaine", souligne le communiqué.

Les deux associations sahraouies ont lancé à cette occasion un appel à l'ONU et à la communauté internationale pour intervenir en vue "de mettre fin à ces provocations algériennes qui interviennent au moment où l'on se rapproche d'une solution permettant aux Sahraouis de regagner leur mère-patrie et de se libérer du calvaire qu'ils endurent dans les camps de Tindouf".

L'UJA réitère son soutien à l'intégrité territoriale du Maroc


L'UJA réitère son soutien à l'intégrité territoriale du Maroc

malgré le chantage algérien l'Union des journalistes arabes (UJA) a réitéré, jeudi, par la voix de son bureau permanent, son soutien à l'intégrité territoriale du Maroc face à toutes les formes de séparatisme.

Le bureau a souligné, dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion au Caire, que l'UJA réitère ses positions de soutien à l'intégrité territoriale du Royaume et salue les efforts que déploie le Maroc pour parvenir à un règlement politique négocié à la question du Sahara.

Dans ce sens, l'Union a souligné "l'importance de la proposition d'autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine", appelant à "l'ouverture des frontières entre les deux pays frères marocain et algérien".

Par ailleurs, l'UJA appelle l'ensemble des journalistes arabes à redoubler d'efforts pour la défense des droits de l'Homme dans le monde arabe et de l'intégrité de la nation arabe.

Au niveau professionnel, l'Union a plaidé pour le respect vigoureux du principe "un seul syndicat pour chaque pays arabe" en vue d'unifier les efforts visant la protection des libertés, des droits et acquis de la presse, tout en insistant sur le respect du droit de la minorité à exprimer son opinion et de l'action syndicale.

D'autre part, le bureau a exprimé sa volonté de préserver des relations "solides et équilibrées" avec l'Union internationale des journalistes et les autres organisations mondiales.

L'Union a aussi rejeté toute tentative visant à porter atteinte à la place de l'UJA ou à véhiculer l'idée de diversifier les organisations syndicales de la presse dans un seul pays.

Lors de sa réunion, le bureau a évoqué les derniers développements de la question palestinienne, demandant à toutes les organisations civiles et politiques arabes et à l'ensemble des acteurs à soutenir la résistance de la ville sainte d'Al Qods face à l'agression israélienne et à la politique de judaïsation menée par Israël. Le bureau a mis en garde contre toute tentative de "solution politique visant à retarder le règlement de la question d'Al Qods sous des prétextes quelle que soit leur nature".

Ont pris part à cette réunion de deux jours les représentants de 19 syndicats dans les pays arabes.

Le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a été représenté par son secrétaire général, M. Younès Moujahid et une journaliste de la station régionale de Laâyoune de la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT), Raaboube Abha, membre du Conseil national du SNPM, outre M. Abdellah Bekkali, en qualité de vice-président de l'UJA.

Dans une déclaration à la MAP, M. Moujahid a indiqué que la réunion a examiné notamment la question des libertés dans le monde arabe sur la base d'un rapport présenté par le président de la Commission des libertés, M. Abdelwahab Zghilate, et les relations entre l'UJA et les Organisations internationales, particulièrement l'Union internationale des journalistes.

Le bureau a également évoqué l'amendement des statuts de l'Union, projet soumis par le Congrès de l'UJA, ainsi que la question du financement.

vendredi 13 novembre 2009

Parution du "Le Moussem de Tan Tan" de Kitin Munoz Valcarcel


Parution du "Le Moussem de Tan Tan" de Kitin Munoz Valcarcel



"Le Moussem de Tan Tan, chef d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité" est l'intitulé du beau-livre de Kitin Munoz Valcarcel, qui a été présenté fin octobre dernier au siège de l'UNESCO à Paris, lors d'une cérémonie solennelle.

L'ouvrage, paru en deux versions bilingues (français-anglais et espagnol-arabe), est le fruit d'un partenariat entre l'Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du sud, la maison d'édition espagnole Planeta et l'appui financier de l'ONMT et du Conseil Provincial de Tan Tan.

Dans cet ouvrage, M. Kitin Munoz, qui est par ailleurs Ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO, relate la genèse du Moussem de Tan Tan, une grande manifestation annuelle réunissant une trentaine de tribus nomades qui avait pris une forme structurée en 1963 mais a été suspendue durant les débuts des années 70 avant d'être relancée fastueusement en septembre 2004, sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI .

Natif de Tarfaya en 1958, Kitin Munoz affirme avoir reçu un livre, il y a une dizaine d'années de cela, un soir à Sidi Ifni, sur le Moussem de TanTan et dont les photos avaient suscité son intérêt pour ce grand festival nomade où, une semaine durant, se retrouvaient des tribus marocaines et d'autres venant de Mauritanie, du Sénégal, du Niger, de Mali et d'ailleurs. Des retrouvailles qui se déroulaient autour de chants, de fêtes, de courses, de récits et de poèmes.

Cet intérêt pour le festival va le mener à user de son entregent auprès de ses pairs à l'UNESCO, afin que cette manifestation soit proclamée parmi les chefs d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité, lors d'un vote unanime en novembre 2005, avant d'être inscrit en 2008 sur la Liste représentative établie dans le cadre de la Convention de 2003 afin d'assurer la sauvegarde et la revitalisation du patrimoine culturel immatériel.

Outre l'historique du Moussem, l'ouvrage livre des descriptions techniques de cette manifestation organisée chaque année sur la " Place de la Tolérance et de la Paix " -appellation décrétée par l'UNESCO, située à deux kilomètres du centre-ville de Tan Tan sur un espace de plus de treize hectares, délimitée au nord par Oued Benkhil, au sud par la ceinture verte de Tan-Tan, à l'est par le monticule dominant le quartier Tiguiria et à l'ouest par un espace de pâturage attenant à la zone de Lahmidia.

L'ouvrage moult autres détails sur la vie dans les provinces sahariennes et livre des glossaires sur divers aspects du quotidien nomade.

Pour l'ancien Directeur général de l'UNESCO, Koichiro Matsuura, l'ouvrage de M. Kitin est une " illustration parfaite du Maroc de l'engagement, du Maroc en faveur de la sauvegarde de ses cultures traditionnelles les plus représentatives et constitue un bel hommage aux cultures nomades par l'un de ses plus ardents défenseurs".

L'auteur, M. Kitin Munoz est chercheur en histoire et en ethnologie, dont les études s'inscrivent en continuité des travaux de l'explorateur norvégien Thor Heyerdahl sur la navigation primitive. Il a participé et dirigé de nombreuses expéditions notamment au Pérou, aux Marquises et à Tahiti et réalisé plusieurs documentaires sur l'Histoire, la nature et les peuples indigènes.

Un règlement politique de la question du Sahara possible si l'Algérie avait la volonté nécessaire


Un règlement politique de la question du Sahara possible si l'Algérie avait la volonté nécessaire


Un règlement politique de la question du Sahara aurait été possible si l'Algérie avait la volonté politique nécessaire, a affirmé le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, M. Taïb Fassi Fihri.

Dans un entretien au quotidien "Acharq Al Awsat", publié mercredi, M. Fassi Fihri a indiqué que "le dernier discours prononcé par SM le Roi Mohammed VI à l'occasion du 34è anniversaire de la glorieuse marche verte, était très clair", ajoutant que "l'initiative marocaine d'autonomie, qui a été à l'origine de la dynamique des négociations, est toujours là".

"Nous sommes toujours disposés à négocier, et si les autres parties avaient la volonté politique nécessaire, on serait parvenu au règlement politique souhaité par la communauté internationale, à savoir une solution consensuelle et négociée", a-t-il dit.

Le ministre a expliqué, à ce propos, que pour ce faire, les différentes parties doivent faire preuve de réalisme et de compromis, tel qu'il a été clairement stipulé dans les dernières résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU.

Les autres parties ont recouru, après l'annonce de la proposition marocaine, à des pratiques connues de tous visant à saper les efforts du Royaume, évoquant ce qu'ils ont qualifié d'"exploitation" des ressources naturelles du Sud par l'Etat ou encore de "violation" des droits de l'Homme, a rappelé M. Fassi Fihri, soulignant que le Maroc n'a de leçons à recevoir de personne dans ce domaine.

S'agissant de "certains individus qui traitent avec les autres parties pour servir leurs propres intérêts", le ministre a souligné qu'"il s'agit d'un acte inconcevable que ni la loi ni le peuple marocains ne peuvent accepter", faisant savoir que "la justice dira son mot et statuera sur la trahison de ces individus".

Abordant les relations maroco-algériennes, le ministre a déploré l'absence de toute évolution, jusqu'à présent, à ce sujet, soulignant que "le Maroc regrette cette situation, eu égard aux aspirations des peuples des cinq pays de l'Union maghrébine, notamment marocain et algérien pour une action commune".

"Malheureusement, a-t-il relevé, aucun signal ne nous est parvenu jusqu'à présent des frères algériens, concernant le processus de normalisation ou de communication, l'engagement d'actions bilatérales ou encore des signaux relatifs à la réouverture des frontières".

Sur la position du Royaume quant à l'incursion d'un groupe de rebelles sur le territoire de l'Arabie Saoudite, M. Fassi Fihri a réitéré l'entière solidarité du Maroc avec ce pays frère pour son intégrité territoriale, ainsi que sa condamnation de tout acte pouvant porter atteinte à la quiétude et à la stabilité de ce pays, quels qu'en soient les motivations ou les commanditaires.

La région est très sensible, et la stabilité et la sécurité du Golfe en général et de l'Arabie Saoudite en particulier, est une priorité pour le Maroc, a-t-il estimé.

M. Fassi Fihri a, par ailleurs, indiqué que la question de normalisation ou d'échange diplomatique avec Israël n'est pas à l'ordre du jour au vu de la conjoncture actuelle, rappelant que le Royaume du Maroc est partie prenante à l'Initiative arabe de paix et ne peut, de ce fait, qu'encourager les différentes parties à aller de l'avant dans le processus de paix.