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mercredi 22 juillet 2009

Des ONG de Laâyoune s’élèvent contre les détournements du polisario : Le droit d’ingérence


Des ONG de Laâyoune s’élèvent contre les détournements du polisario : Le droit d’ingérence


nouveau, le polisario est pointé du doigt pour le détournement des aides humanitaires internationales destinée aux séquestrés à Tindouf; aide que la bande d’Abdelaziz écoule dans le sud de l’Algérie et que l’on trouve en vente dans diverses régions limitrophes à cette dernière. Afin, d’empêcher toute escroquerie, des ONG des association des droits humains de Laâyoune viennent d’adresser une lettre au ministre norvégien des AE lui demandant la création d’un mécanisme de surveillance indépendant pour contrôler la répartition des aides. Une démarche justifiée par la disette continue, qui menace cette population de malnutrition.

Voilà qui est juste, surtout que la Norvège compte parmi les principaux donateurs.
Selon certaines informations, l’aide humanitaire globale reçue par le polisario dépasse souvent les besoins de la population dans les camps de TIndouf. Cela permet aux mercenaires d’en prélever une partie et la revendre selon les pratiques de la contrebande ou tout simplement en utilisant les voies de la distribution. Outre le surplus, les aides sont fournies pour plus de 160 mille personnes, chiffre évidemment gonflé par le polisario, au moment où la population est d’à peine 50 mille individus. Sans parler des fonctionnaires et les militaires qui en prélèvent leur part.
Les responsables du polisario recourent encore à d’autres procédés malhonnêtes, comme la falsification des factures, notamment du transport ou concernant des frais inexistant. A tel point que les gens de Abdelaziz sont devenus experts en matière de matière de faux et de filouterie et de malversation.
Donc, il s’agit d’aides que le polisario transforme in fine en ressources financières, puis en devises transférables à l’étranger, par la contrebande et d’autres formes de commercialisation. Et pour continuer à profiter de ces aides, les mercenaires n’hésitent pas à donner une fausse alarme, sur la «situation humanitaire critique» et la «famine imminente» dans les camps, à travers le Croissant rouge algérien, une redoutable machine à propagande qui ne craint pas le ridicule. Un comportement frauduleux déjà condamné par de nombreuses organisations internationales et des donateurs.
Les ONG des associations de droits de l’homme à Laâyoune ont donc raison d’alerter les autorités norvégiennes et d’émettre le souhait que le gouvernement norvégien collabore avec son homologue marocain pour mettre fin aux souffrances des séquestrés de Tindouf et trouver une issue à cette situation. Ainsi, c’est à un contrôle que la Norvège est invitée. Un contrôle qui n’exclut pas ni le droit de regard et l’ingérence dans tout ce qui relève de la distribution des produit alimentaires et autres, fournis gracieusement par la communauté internationale, pour alléger les souffrances des séquestrés à Tindouf et les aider à survivre...

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