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mardi 15 décembre 2009

Affaire Aminatou Haidar : Du militantisme à l'imposture, Amina…Two


Affaire Aminatou Haidar : Du militantisme à l'imposture, Amina…Two



De militante des droits de l’homme, Aminatou Haidar s’est reconvertie avec une remarquable mais néanmoins suspecte aisance en manœuvrière de haut vol… Les dessous d’un coup tordu qui sent la barbouzerie. Pour insolite qu’elle soit l’image d’une femme pique-niquant dans l’enceinte d’une aérogare fait désormais partie du décor de celui de Lanzarote – Iles Canaries. La dame Haidar y campe, sur tapis et sous couvertures, depuis plus d’une vingtaine de jours.



Il est à cette scène un aspect assez cocasse qui rappelle étrangement le film « Terminal ». Un film qui relate la situation plutôt kafkaïenne d’un passager - Tom Hanks- qui se trouve bloqué dans une aérogare. La comparaison s’arrête là bien évidement. Parce que dans le cas de Aminatou Haidar rien ne l’oblige à prolonger son séjour dans cette aérogare, si ce n’est sa propension à vouloir disputer aux fluctuations boursières l’ouverture des Unes de certains journaux.

Pathétique, cette scène l’est aussi.

Jusqu’où Aminatou Haidar compte t-elle aller dans le bras de fer qui l’oppose aux autorités marocaines ? Hormis elle, et ceux, bien entendu, qui instrumentalisent cette affaire, personne n’est en mesure dans l’immédiat d’apporter de réponse à cette question.

Retour sur une affaire qui sent la barbouzerie

Aminatou Haidar une militante des droits de l’homme
Née en 1966, à Tata, une localité se trouvant, faut-il le préciser, en territoire non contesté, Aminatou Haidar, qui a obtenu son baccalauréat à Laâyoune, sera arrêtée en 1987 pour trouble à l’ordre public. Elle sera mise en détention pour une durée de 4 ans. Faisant prévaloir ses droits à une indemnisation – elle l’a fait, faut-il le rappeler là aussi, en sa qualité de marocaine - auprès de l’Instance Equité et Réconciliation (IER) elle sera indemnisée, au même titre que les autres victimes des années de plomb, à hauteur de 480.000 DH. Elle obtiendra par ailleurs un poste à la municipalité de Boujdour.

Totalement inconnue jusque là, elle sera condamnée de nouveau à 7 mois de prison ferme, en 2005, pour trouble à l’ordre public. Elle sera libérée après un mois de détention. C’est à compter de cette date qu’Aminatou Haidar va occuper par intermittence la Une des médias. Le Polisario ayant bien évidement pris le soin de diffuser largement des photos montrant son visage ensanglanté, des suites de heurts avec les forces de l’ordre. Une brutalité qui arrive comme partout dans le monde.

Au titre de son militantisme pour les des droits de l’homme elle sillonnera le monde, accompagnée le plus souvent de responsables polisariens, parfois d’officiels algériens. Et c’est en partie grâce à l’intense et pressant lobbying du tandem algéro-polisarien et de diverses associations pro-polisario qu’elle recevra plusieurs distinctions.

En Espagne où elle reçoit, en 2006, le prix Juan María Bandres, décerné par la Commission espagnole d'aide aux réfugiés (CEAR). En 2007 l’organisation internationale Solimar lui attribuera le prix Silver Rose. Enfin, aux Etats-Unis c’est grâce à la US-Western Sahara Foundation, une association pro-polisario active sur le sol américain, qu’elle pourra se prévaloir de l’appui aux Etats-Unis du Robert F. Kennedy Center, créé en 1968 par la famille Kennedy pour faire progresser les droits de l'homme dans le monde. Cette organisation lui attribuera son prix au titre de l’année 2008. La même année, l'organisation pacifiste américaine American Friends Service Committee propose sa nomination au prix Nobel de la paix. C’est dire combien peuvent être efficaces les réseaux de lobbying algéro-polisariens aux Etats-Unis et en Europe… Mais aussi combien le sont moins ceux du Royaume.

Profitant de l’ouverture démocratique initiée dès l’avènement du nouveau souverain, le Roi Mohamed VI, Aminatou Haidar va non seulement pouvoir donner la pleine mesure de son activisme sur le registre des droits de l’homme mais elle affichera également son soutien aux thèses indépendantistes sans avoir à souffrir de contraintes particulières, si ce n’est celles qui s’appliquent dès lors que se confondent activisme et intelligence avec l’ennemi.

Des droits de l’homme à la collusion
Obnubilée par son aura à l’international, Aminatou Haidar n’a pas vu, ou n’a pas voulu voir, venir le processus de récupération dont elle commençait à faire l’objet. Le tandem algéro-polisarien ne pouvait évidement pas laisser passer une telle aubaine. Aussi, surfer sur la vague des droits de l’homme est l’axe charnière autour duquel s’articule désormais la nouvelle stratégie du tandem (voir encadré : l’instrumentalisation de la question des droits de l’homme). Une stratégie dont la finalité, comme escomptée par le duo algéro-polisarien, est le torpillage du processus de négociation initié à Manhasset et que compte poursuivre Christopher Ross, envoyé spécial du secrétaire général des Nations Unis pour le Sahara.

L’image à forte charge symbolique montrant Aminatou Haidar drapée dans l’étendard algérien en compagnie de A. Baâli, ambassadeur d’Algérie aux USA est la parfaite illustration de cette récupération. Une récupération dont la dame Haidar, comme le montre d’ailleurs cette photo, semble ne pas s’offusquer du tout. Et comme l’indique son large sourire, elle semble même en être aux anges.

Récupération consommée donc pour Aminatou Haidar qui de militante des droits de l’homme s’est reconvertie, sans gloire aucune, en simple exécutante d’une besogne plus que douteuse, ayant qui plus est un agenda politique, comme l’a déclaré Taieb Fassi Fihri, le ministre marocain des Affaires Etrangères.

Amina Two est née…

Acte de défiance à Laâyoune
De retour d’une tournée quasi planétaire qui 7 mois durant l’avait menée aux quatre coins du monde, Aminatou Haidar débarque, le 13 novembre, à l’aéroport de Laâyoune… Accompagnée de deux journalistes espagnols : Pedro Barbadillo et Pedro Guillen. Lors de l’accomplissement des formalités d’usage, elle mentionne sur sa fiche de débarquement Sahara Occidental, en lieu et place de Royaume du Maroc, comme lieu de résidence. Et laisse vide la case réservée à la nationalité. Visiblement, Aminatou Haidar signait là un acte de provocation délibéré. Les agents de la police des frontières de l’aéroport useront de beaucoup de tact pour éviter l’escalade recherchée par la dame Haidar. S’en suivront de longues tractations, notamment avec sa propre famille, pour la faire revenir à la raison. Rien n’y fera. Devant le procureur venu pour l’auditionner, elle se proclamera non-marocaine et lui jettera littéralement son passeport et sa carte d’identité marocaine. Ayant renié sa nationalité marocaine et rejeté les documents qui en attestent elle ne pouvait de ce fait rentrer sur le territoire marocain. Situation qui a motivé son refoulement, le lendemain, 14 novembre, vers Lanzarote, aéroport d’où elle avait embarqué.

Provocation ou défiance ? Assurément les deux, en attestent autant son arrivée à Laâyoune accompagnée de deux journalistes, les deux Pedro, que le timing choisi, quelques jours à peine après le discours du souverain, du 6 novembre, dont la fermeté du ton et la clarté du propos ne laissaient pourtant aucun doute sur le changement d’attitude des autorités marocaines face au double jeu auquel s’adonnent les séparatistes dits de l’intérieur. . "L'heure est à la clarté : ou on est patriote ou on est traître", avait notamment déclaré le Souverain lors de son dernier discours du Trône.

Autre preuve, si besoin était d’en fournir une autre, que la dame Haidar a bel et bien un agenda politique qui la disqualifie de facto du militantisme droit-de-l’hommiste dont elle se revendiquait.

Grève de la faim à Lanzarote
Aminatou Haidar entamera, dès le 16 novembre, une grève de la faim dans l’enceinte même de l’aérogare de Lanzarote. Une grève qu’elle a poursuivie jusqu’à l’écriture de ces lignes. Soit 23 jours.

Entre temps les autorités espagnoles lui ont proposée "à titre exceptionnel" la citoyenneté espagnole et en bonus un appartement. Proposition qu’elle a évidement rejetée.

L’Espagne, qui ne sait quoi faire de cette encombrante intruse qui squatte l’aérogare de Lanzarote, tente tant bien que mal de gérer cette situation. Aussi, a-t-elle sollicité la médiation du Secrétaire Général des Nations unies, Ban Ki-Moon. Les Espagnols espèrent aussi le soutien dans ce dossier des Etats-Unis, qui se sont déclarés "préoccupés" par l'état de santé d'Aminatou Haidar après vingt jours de grève de la faim.

M. Zapatero, cité par la presse espagnole, a reconnu la difficulté de son gouvernement à trouver une solution à cette crise. Il a déclaré, le 6 décembre, que son pays « connaissait des difficultés avec le Maroc » sur le dossier de la militante sahraouie, ajoutant que « parfois, et c’est normal, il y a des difficultés » dans les relations de l’Espagne avec ses voisins.

Pour le ministre marocain des affaires étrangères, Taïeb Fassi Fihri, l'activiste s'est mise elle-même dans cette situation : "Elle doit assumer seule les conséquences juridiques et morales de son comportement." Le consul du Maroc aux Canaries a assuré pour sa part que Mme Haidar recevrait son passeport "dans la demi-heure" si elle "demandait pardon au Roi de Maroc". C’est dire que sans fermer la porte à la repentance le Maroc opte résolument, à raison d’ailleurs, pour l’intransigeance.

Rien n’y fera. Aminatou poussera son entêtement jusqu’à son paroxysme et déclarera : " j’irai jusqu’au bout ".

Jusqu’au bout de quoi ? De son intelligence avec le tandem algéro-polisarien ou de sa tentative de mettre à mal les relations hispano-marocaines ? Quand bien même elle ne l’expliquera pas, la cause est entendue. Tenter d’assombrir le clair qui prévaut dans le ciel des relations entre Rabat et Madrid, dans la foulée des objectifs que s’est assigné son sponsor algérien : contrecarrer en premier la proposition marocaine d’autonomie.

Cela dit rien n’empêche aussi de voir dans cet acte de provocation l’envie de la dame Haidar de brûler la politesse à ses compères du groupe des sept et de leur voler la vedette sur le registre de la collusion.



A retenir aussi…



La proposition d’autonomie : l’alternative la plus réaliste

A ce jour, l’initiative marocaine d’autonomie pour le Sahara reste, de l’avis de la plupart des observateurs, la contribution la plus sérieuse et la plus réaliste pour la résolution du conflit du Sahara. Cette initiative a, comme on le sait, suscité intérêt, soutien et appuis francs de la part de la communauté internationale. La résolution 1813 adoptée, le 30 avril 2008, par le Conseil de sécurité de l’ONU est venue renforcer, pour sa part, l'appui du Conseil de sécurité à la position marocaine. Elle fait, de manière forte, claire et à l'unanimité de ses membres, de la proposition d'autonomie une base réaliste incontournable en vue d'un règlement définitif, durable et acceptable à ce conflit régional. Cette résolution a permis, comme l’avait souligné en son temps et à juste titre le chef de la diplomatie marocaine, Taieb Fassi Fahri, de consolider les acquis du Maroc et d'en concrétiser de nouveaux dont le plus important consiste en l'appel à "des négociations intenses et substantielles basées sur le réalisme et l'esprit de compromis, tout en tenant compte des efforts déployés par le Maroc depuis 2006 et des développements à venir"

Pris de court, autant par la pertinence de la proposition marocaine que par les résolutions 1783 et 1813 - Conseil de sécurité de l’ONU - qui en font une base de négociation sérieuse, le tandem algéro-polisarien n’a cessé, depuis, de montrer des signes évidents de panique. Plus encore, depuis que l’Algérie s’est vue pointée du doigt et clairement désignée par Pieter Van Walsum, l’ex-envoyé spécial du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara, comme étant le véritable protagoniste dans le conflit du Sahara. Mise à mal par cette mise à nu publique de son véritable rôle dans ce conflit, l’Algérie va réorienter sa stratégie. Elle tentera de faire focaliser sur des subterfuges pour détourner de l’essentiel. La finalité étant, du moins comme elle l’espère, de torpiller l’initiative marocaine.

Se succèderont dès lors, coups bas, coups fourrés et coups tordus. Des registres sur lesquels Alger a un réel savoir-faire.

Mise sur les rails, la nouvelle stratégie du couple algéro-polisarien s’appuiera essentiellement sur une instrumentalisation tous azimuts de la question des droits de l’homme au Sahara. Aussi, mission d’annoncer la couleur de cette stratégie algérienne de sape échoira au représentant permanent de l’Afrique du Sud à l’ONU, Dumisani Kumalo, qui dès avant le vote de la résolution 1783 a déclaré « regretter que le projet de résolution ne fasse aucune mention des droits de l'homme au Sahara occidental ». Une déclaration qui n’est pas pour étonner. Du moins pas ceux qui savent ce que sont les termes du deal qui a sous-tendu la mise en place de l’axe Alger –Pretoria.



L’instrumentalisation de la question des droits de l’homme

Ne pouvant faire prévaloir de nouveaux faux fuyants et autres arguments–échappatoires pour maintenir la situation de blocage qui prévalait avant la mise sur la table de la proposition marocaine d’autonomie, algériens et polisariens vont tenter une diversion en jouant à fond la carte de l’instrumentalisation de la question des droits de l’homme au Sahara.

Aussi, pour les besoins de cette chevauchée droit-de-l’hommiste, Alger mettra à contribution d’énormes moyens logistiques et diplomatiques - des moyens pompés, comme on peut sen douter, sur ses recettes pétrolières et gazières - qui vont permettre à ses diplomates, séparatistes dans les bagages et sous la main, de se déployer tous azimut pour glaner, ici et là, des appuis auprès de lobbies complaisants, souvent rémunérés, et d’ONG pas toujours au fait des véritables dessous d’un conflit complexe à plusieurs égards.

Seront également mises à contribution de manière vicieuse quelques prestigieuses institutions, notamment le parlement européen qui dépêchera dans la région une commission parlementaire noyautée par quelques eurodéputés acquis d’avance aux thèses du tandem algéro-polisarien. Pour rappel, le projet de rapport de ladite délégation du parlement européen sur le Sahara avait fait l’objet, avant discussion, d’une « fuite » savamment orchestrée par le député européen Carlos Iturgais (PP basque). Une pratique pour le moins suspecte. C’est dire aussi, que c’est Alger qui, dans le dessein que l’on devine, était incontestablement derrière cette fuite. Quel en a été le prix ? La question reste posée.

Quand bien même affecté par ce « raté » européen, le couple algéro-polisarien n’en démord pas. Lui reste, entre autres stratagèmes, la fomentation de troubles au sein des universités marocaines par une poignée d’étudiants plus excités qu’acquis aux thèses indépendantistes. Et aussi invraisemblable et cynique que cela puise paraître, tout sera fait pour que ces troubles accouchent d’un, voire de plusieurs « martyrs ».

De martyr il n’en y aura point. Ces troubles auront tout au mieux permis d’établir que la plupart des étudiants qui s’y sont impliqués l’ont fait moyennant rémunération sonnante. Ce qui les met, autant que les commanditaires de ces troubles, à distance très respectable des idéaux présentés à la communauté internationale comme étant sensés sous-tendre leur action. Cet autre échec essuyé par la machine propagandiste algéro-polisarienne ne met pas fin pour autant au processus d’instrumentalisation de la question des droits de l’homme.

Tour à tour, seront par la suite sollicités des ONG, dont le domaine d’intervention relève des droits de l’homme, ainsi que l’ONU. Cette dernière est notamment sollicitée pour l’extension des prérogatives de la MINURSO, Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un Référendum au Sahara Occidental, à la surveillance des droits de l’homme au Sahara.

S’opposant à cet élargissement, le Maroc finira par faire prévaloir son point de vue. Ainsi, le conseil de sécurité de l’ONU ne tiendra aucunement compte de la perspective de voir les prérogatives de la MINURSO s’étendre à la surveillance des droits de l’homme au Sahara. Refus que traduit la résolution 1871 – avril 2009 - la dernière en date portant sur le conflit du Sahara.

Nouveau revers donc pour le binôme Algérie-Polisario. Mais c’est compter sans la hargne de ce dernier que de croire qu’il allait s’accommoder de cette collection de revers.

Lui restaient, bien évidement, d’autres cartes dans les manches. Notamment la paire TameK – Haidar.

De la récupération des symboles

Quoi de plus emblématique que le drapeau palestinien pour conférer consistance et charge symbolique à la « lutte du peuple sahraoui » ? L’insidieuse trouvaille est l’œuvre, comme on doit s’en douter, des géniteurs du Polisario. Ils en feront un usage aussi immoral que vicieux. Ainsi, seront honteusement « récupérées » les couleurs du drapeau palestinien pour concevoir celui de la RASD, que l’on sait simple appendice de la RADP (République algérienne démocratique et populaire) domicilié à Tindouf.

Le renvoi suggestif vers la noble cause du peuple palestinien ne s’est évidement pas arrêté à ce niveau de galvaudage. Trop peu pour satisfaire le goût prononcé du duo algéro-polisarien pour l’imposture.

Aminatou sera affabulée de manière fantaisiste du nom de Ghandi et appel sera fait à Aleida Guevara, la fille du Che, pour soutenir la gréviste de Lanzarote.

Aleida Guevara qui est pédiatre, a dit, lors de son récent séjour à Alger, agrémenté il va sans dire de la virée habituelle dans les camps de séquestration de Tindouf, « découvrir la lutte du peuple sahraoui ». Ah bon ! Et dire qu’elle réside à la Havane.

De la légalité de la position marocaine

Le président Mohamed Réda Taoujni et la membre du bureau national de l’ASM, Fatiha Bouchouima, ont été retenus, vendredi 4 décembre, par la police des frontières à l’aéroport de Las Palmas durant quarante minutes. «Réda Taoujni et Fatiha Bouchouima n’ont pas rempli la case «nationalité» du formulaire d’entrée sur le territoire espagnol. La police a exigé que cette case soit remplie des mains des deux personnes faute de quoi une interdiction d’entrée à Las Palmas leur aurait été signifiée», indique l’ASM. Les quarante minutes ont été nécessaires pour tester la réaction stricte et surtout rigide de la police espagnole, ajoute la même source. «L’ambiance s’est détendue lorsque les membres de l’ASM ont expliqué à la police des frontières le but de ce test». Sur ce point, Réda Taoujni a déclaré que «ce petit test montre que la démarche du Maroc contre Aminatou Haidar est une pratique légale internationale. A partir du moment où nous avons refusé de remplir la case nationalité, les autorités espagnoles nous ont menacés d’expulsion. C’est leur droit. Il s’agit là d’une preuve matérielle de la légalité de la position marocaine», explique M. Taoujni.

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