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jeudi 10 décembre 2009

Haidar «a trahi la cause féminine»

Haidar «a trahi la cause féminine»



L'instrumentalisation du genre social pour le séparatisme et la conspiration est «la plus cruelle» des violences, a affirmé, mardi à Rabat, la secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Latifa Akharbach.

Mme Akharbach, qui intervenait à l'occasion du lancement de la 7e campagne nationale de lutte contre la violence à l'égard des femmes sous le signe «Ensemble pour lutter contre la violence à l'égard des femmes», a souligné que la dénommée Aminatou Haidar «a trahi sa Patrie et la cause féminine en acceptant de faire le jeu de parties étrangères».

Elle a, également, exploité ses statuts de femme et de mère «pour s'attirer compassion et sympathie dans l'objectif de servir les desseins de parties étrangères connues», qui ne cessent de comploter contre les intérêts suprêmes du Maroc, son intégrité territoriale et sa souveraineté nationale», a ajouté Mme Akharbach.

Aminatou Haidar «a été choisie pour fourvoyer l'opinion publique internationale et propager des valeurs malsaines», a-t-elle poursuivi, soulignant que cette dame n'est pas une défenseure des droits de l'Homme, mais plutôt une pièce d'un jeu immonde.

La secrétaire d'Etat a considéré, d'autre part, que la traîtrise est devenue le gage de certains milieux à l'étranger, soulignant que le Maroc a été le premier pays arabe de la région qui a eu le courage politique d'appréhender son passé.

Le cas d'Aminatou prouve qu'elle est l'exception qui confirme la règle, celle que tous les autres sont de véritables citoyens.

Par ses comportements, A. Haidar a «vendu son humanité» et offensé les sentiments de tous les Marocains, particulièrement ceux qui ont enduré le calvaire des geôles de la honte à Tindouf en Algérie, ainsi que les mères sahraouies privées de la visite de leurs enfants et de leurs parents, a dit Mme Akherbach.

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